• L'ASSASSINAT de la FAMILLE ROMANOV et leurs SERVITEURS DEVOUES...

     

     

     

    17 juillet 1918, l'assassinat de Nicolas II, de sa famille

     et leurs serviteurs dévoués


     

     

    1er octobre 2008: Le Présidium de la Cour Suprême de Russie a reconnu que les répressions contre le tsar Nicolas et sa famille comme injustifiées et a décidé de les réhabiliter. Il ne reste plus, à cette cour de justice qu'à condamner, à titre postume, les commanditaires et les assassins. Ce qui obligerait à effacer les rues, les villes, les oblasts qui portent encore le nom des meurtriers, Lénine et Sverdlov!

     

    Grand Duchess Olga, Nicholas II, Grand Duchess Tatiana and Grand Duchess Anastasia on top of the green house roof in Tobolsk: late 1917-early 1918.

    Grand Duchess Olga, Nicholas II, Grand Duchess Tatiana and Grand Duchess Anastasia on top of the green house roof in Tobolsk: late 1917-early 1918.

      

      

    27 août 2010: La décision de la Cour suprême permet la réouverture l'enquête sur le meurtre du Tsar et de sa famille. Un acte tout sauf anodin car il permettra au peuple russe de faire connaître la vérité sur l'horreur des bolcheviks masquées par des tonnes de mensonges.
     

    L'article de Aurélia Vertaldi , “Le Figaro” du 1er octobre 2008 apporte des informations intéressantes sur la réhabilitation du tsar Nicolas II. La cour a répondu à une plainte déposée il y a 3 ans par la Grande Duchesse Maria Vladimirovna dont le bisaïeul était Alexandre II. Après avoir été rejetées plusieurs fois, la ténacité a fini par payer.

     

      
     

    Two of the grand duchesses on the balcony of the Governor’s House in Tobolsk, 1917. A caption in another version of the photo identifies them as Maria and Anastasia (although to me it is really impossible to tell).

    Two of the grand duchesses on the balcony of the Governor’s House in Tobolsk, 1917. A caption in another version of the photo identifies them as Maria and Anastasia (although to me it is really impossible to tell). 

      

      

    infinity-never-dies:

Tobolsk, 1917

This was taken at Tsarskoe Selo, not Tobolsk. You can see the Alexander Palace in the background.

     

    Tobolsk, 1917

    This was taken at Tsarskoe Selo, not Tobolsk. You can see the Alexander Palace in the background.

      

    Quant à Ivan Artsichevski, autre descendant, il a déclaré: “«Le fait que l'Etat russe a reconnu sa responsabilité pour ce meurtre est un pas vers un repentir général et la réhabilitation de toutes les victimes innocentes» des bolcheviks. Les victimes de tortures, d'arrestations arbitraires, de déportations, d'exécution par le poison, le froid, une balle ou la faim, se chiffrent à au moins 5 millions, sans compter les exilés!

     

     

     

     

    Autant les soi-disantes grandes réalisations de la soi-disante révolution d'octobre (un coup d'état financé par l'Allemagne du Kaiser) ont été célébrées par des troupeaux d'idiots utiles entraînés et trompés par une armée d'agents en manipulation et désinformation, autant cette authentique réalisation a été tout d'abord cachée, puis falsifiée.

      

    Evidemment parce qu'elle montrait l'envers du décor du bolchévisme, celle d'un régime abject et inhumain imposé par le sang et les larmes.

     

    Le massacre de l'ex-tsar Nicolas II fait partie d'un plan secret pour détruire l'ensemble de la famille des Romanov

    De juin 1918 à janvier 1919, 18 membres de la dynastie des Romanov sont assassinés

      

    et dans certains cas, les corps n'ont jamais été retrouvé.

     

    Les faits

    Nicolas II, son épouse, ses 5 enfants (les 4 grandes-duchesses Maria, Olga, Tatania, Anastasia et Alexis), le docteur Ievgueni Botkine et trois domestiques (la femme de chambre Anna Demidova, le valet de chambre Alexeï Trupp et le cuisinier Ivan Kharitonov ), ont été déportés, fin mai 1918, à Iekaterinbourg, une ville au-delà de l'Oural. Sous le contrôle de la Tchéka, dans la villa Ipatiev réquisitionnée, ils survivent dans des conditions misèrables, au contraire des chefs bolchéviks.

     

    Nicolas II Le sort des Romanov

    Nicolas II et les siens sont toujours à Ekaterinbourg (revers oriental de l'Oural), où on les surveille étraoitement. Les autorités bolchevistes les ont fait garder d'abord par des soldats russes; mais, craignant que ceux-ci ne soient trop complaisants pour la famille impériale, elles les ont remplacés par d'anciens prisonniers autrichiens et hongrois, qui se sont enrôlés dans l'armée bolcheviste. Nicolas II n'a plus auprès de lui que le général Tati (Tatichtchef?) et le docteur Botkine. Son aide de camp dévoué, le prince Dolgorouky, a été enfermé dans la prison de Ekaterinbourg,où il a rejoint le prince Lvov, ancien chef du gouvernement provisoire et l'évêque Hermogène.

    Certains membres de la famille impériale, qui se trouvaient à Ekaterinbourg avant l'arrivée de Nicolas II, en ont été éloignés lorsqu'il fut amené dans cette ville. Parmi eux sont le grand-duc George Michaïlovotich avec sa femme, née princesse de Grèce, les princes Constantinovitch. le prince Palaï et la grande-duchesse Serge, soeur de la tsarine. Tous ces membres de la famille impériale ont été déportés à Latchevskx, localité ouvrière de la région de l'Oural.

    Journal de Genève du 3 juin 1918
     

     L'ASSASSINAT de la FAMILLE ROMANOV et leurs SERVITEURS  DEVOUES... 

    Le 23 mai, Pierre Gillard et quelques autres personnes qui avaient accompagnés s

    olidairement la famille impériale sont forcés de la quitter.Qui a pris cette décision?

    Certainement pas Iourovsky, un simple exécutant?

    Ce fait est-il la preuve que la décision de massacrer Nicolas II avec sa famille avait été déjà prise?

    l'engrenage tragique se confirme quand les cousins anglais des Romanov refusent de

    leur accorder asile alors que la tsarine est la petite fille de l'impératrice Victoria.

    Dommage que la Suisse n'aie pas accueillis la

    famille de Nicolas II alors qu'elle avait reçu Lénine. Cela était pratiquement possible

    puisque le précepteur suisse, Pierre Gillard, était en contact avec

    la Légation Helvétique de Petrograd puisqu'elle a pu organiser son retour en Suisse

    avec ses nombreuses photographies de la famille Romanov. La Confération suisse avait bien

    accordé asile à Lénine et à d'autres assassins, alors pourquoi pas à la famille impériale russe?

    Photo extraite de “Précepteur des Romanov: le destin russe de Pierre Gilliard”

     

    Tsarevich Alexei standing at attention in the park: 1917.

    Tsarevich Alexei standing at attention in the park: 1917.

     

     

    A consulter la page de Wikipédia sur Pierre Gilliard, ce Vaudois précepteur durant 13 ans des enfants impériaux et également photographe, avec des nombreux détails sur la déportation et l'assassinat de la famille de Nicolas II.. Empêché de descendre du train à Ekaterinbourg, il échappa à la tuerie et put rentrer en Suisse où il publia: Pierre Gilliard, Treize années à la cour de Russie (Péterhof, septembre 1905 - Ekaterinbourg, mai 1918): Le tragique destin de Nicolas II et de sa famille, Editions Payot, 1922.

     

     

      

    L'ASSASSINAT de la FAMILLE ROMANOV et leurs SERVITEURS  DEVOUES...

      

    Captivité de Tsarskoïe-Selo

    L'empereur Nicolas II ouvrant une allée dans le parc

    de Tsarskoïe-Selo encore couverte de neige, à la fin de

    mars 1917.Le destin tragique destin de Nicolas II et de sa famille,

    Pierre Gilliard, Payot, Paris, 1922, pp 160

    Le 15 mars 1917 (2 mars calendrier grégorien), Nicolas II demande

    au professeur Fiodrof si la maladie d'Alexis est incurable.

    Ayant entendu Fiodrof

    affirmer que «le mal est inguérissable», il murmura: «c'est bien

    ce que m'avait l'impératrice… Eh bien, puisqu'il en est ainsi, puisqu'Alexis ne

    peut être utile à son pays comme je le voudrais, nous avons le droit de la garder.»

    Sa résolution est prise et le soir il remet l'acte d'abdication aux

    représentants du gouvernement provisoire et de la Douma.

    Le lendemain de l'abdication, le grand-duc Michel,

    sur le conseil de tous les membres du gouvernement

    provisoire, sauf deux, se désistait et remettait à une

    assemblée constituante de décider quelle

    sera désormais la forme du gouvernement.

    Cette assemblée normalement élue sera

    dissoute par Lénine en janvier 1918. Dans son dernier

    prikaz du 8 (21) mars 1917,

    Nicolas affirme que: «Cette guerre sans

    exemple doit être conduite jusqu'à la victoire

    définitive. Quiconque songe à la paix et la désire en ce

    moment est traître à sa

    Patrie et la livre à I'ennemi.» ce que fit Lénine

    avec la honteuse capitulation de Brest-Litovsk du 3 mars 1918.
    Page 187: «L'empereur n'a pas voulu que le sang

    d'un seul Russe fût versé pour lui. Il a toujours été prêt

    à renoncer à tout s'il avait eu la certitude que c'était bien pour

    le bien de la Russie.»

     

     

     File:Otmaincaptivity1917.jpg

      

      

    Au début juillet, Iakov Mikhaïlovitch Iourovski (de son vrai nom Yankel Chaimovitch) reçoit l'ordre de Iakov Solomon dit Sverdlov, de les abattre et de faire disparaître les cadavres. Cet ordre est exécuté à l'aube du 17 juillet 1918, dans le plus secret, et ne cherchez pas dans le journal du parti "Pravda =Mensonge", un compte-rendu de cet exploit réalisé en forçant des civils sans défense à descendre dans une cave où ils sont rejoints par une escouade de la Tchéka.

      

    C'est la quintessence de l'ignominie de la vraie nature du bolchévisme, assassiner des innocents désarmés, fait abject qui serait légitimé par une autre quintessence, celle des Lumières et de Jean-Jacques Rousseau, la justification du totalitarisme, affirmant que le progrès social autoriserait la liquidation physique de ceux qui sont qualifiés de «réactionnaires» et d'«exploiteurs», pour lesquels cette tragédie serait une sorte de dommage collatéral: la terreur rouge de 1917 se justifierait par celle de 1793! On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs, mais on peut aussi, et il ne faut surtout pas l'oublier, casser des millions d'oeufs et rater l'omelette.

     

    4 jeunes filles

      

      

    Il paraîtrait que ces 4 jeunes filles seraient des "ennemis du peuple" et que ce serait au nom de ce même peuple qu'elles ont été abattues, leurs cadavres n'ayant pas pu être incinéres, furent découpés, en partie brûlés à l'acide et jetés dans deux fosses?

    L'ignomie était telle que Lénine et Sverdlov l'ont tenue secrète !

    Est-il important de savoir si le tsar a été abattu dans la cave, les autres ailleurs, plus tard? Certainement, mais il est étonnant le nombre d'historiens qui se perdent dans les détails! En plus du plan des bolchéviks pour cacher leur forfait, le flou fut également provoqué par quelques mythomanes se faisant passer pour Anastasia ou d'autres survivants:

     

    et des margoulins usant de cette tragédie pour faire l'important. Mais cela ne doit faire perdre l'essentiel: le caractère ignoble de cet acte qui résume l'horreur du régime bolchévik. Et hélas, ce n'était que le début… Ces escrocs qui se prétendaient le peuple, ont détruit la vie de dizaines de millions d'innocentes victimes du peuple grâce à de nombreux complices.

     

    Les masses sont libres et armées: toujours les mensonges sans vergogne de Lénine

     

     

    Le Drapeau rouge du 5 avril 1924 rappelle "candidement" la vraie nature de Lénine: le pouvoir à tous prix, le pouvoir POUR LUI, les masses étant celles des "idiots utiles". «Démocratie et violence - Une révolution se distingue précisément de la "situation normale" d'un Etat, en ce sens que les questions légitimes intéressant la vie de l'Etat sont directement tranchées par la lutte des classes et des masses, lutte poussée jusque dans ses formes extrêmes comme il est inévitable lorsque les masses sont libres et armées. De ce fait essentiel ressort l'insuffisance de manifester en période révolutionnaire la "volonté de la majorité". Ce qu'il faut, c'est être le plus fort au moment décisif. En un mot vaincre.» Lénine, 26 juillet 1917.

    Le livre de Richard Pipes “La Révolution Russe” (Puf) fut escamoté et pour cause car il rapporte un témoignage de Yourovsky (Iourovsky), l'exécuteur!

     

     
    Nicholas II sawing wood in captivity in Tsarskoe Selo: 1917.
     

    Nicholas II sawing wood in captivity in Tsarskoe Selo: 1917.

     

    Les 2 commanditaires: Lénine et Sverdlov

     

    Un chef d'une bande d'assassins qui a fait basculer dans le sang et les larmes la Russie, Vladimir Oulianov dit Lénine, leader autoproclamé d'un gouvernement illégitime, ennemi du peuple, qui se fait appeler du titre fallacieux de soviet des commissaires du peuple.

    Sa vertu principale, tromper et faire tuer ceux qui ne sont pas dupes de ses mensonges!

    Mais dans l'Assemblée constituante légitime, les acolytes de Lénine, les bolchéviks sont très minoritaires, alors Lénine ordonne à sa garde de la liquider et faire exécuter

    les socialistes qui y étaient majoritaires.

    Lénine, l'ennemi du peuple! En fait, avec la création de l'Internationale communiste,

    il faudrait dire l'ennemi des peuples!

     

    Lénine Genève
    Genève: bas-relief de Paul Baud sur la tour du Molard

     

    Iakov Solomon dit Sverdlov, prétendu chef d'un gouvernement totalement illégitime, le sovnarkom

     

    En 1990, le dramaturge et historien moscovite Edvard Radzinsky annonça le résultat de ses investigations détaillées à propos des meurtres. Il retrouva les mémoires du garde du corps de Lénine, Alexei Akimov, qui racontait comment il transmit personnellement l'ordre d'exécution de [signé par] Lénine également signé par le chef du gouvernement soviétique, Yakov Sverdlov. Sans vergogne, le régime de Lénine a nommé Ekaterinbourg, Sverdlovsk, cette ville reprit son nom à la chte de l'Union soviétique, mais la région s'appelle toujours Sverdlovskaya Oblast.

     

      

      

    Akimov avait sauvé le bulletin télégraphique original

    comme archive de l'ordre secret. Léon Trotsky avait révélé que Lénine et Sverdlov avaient pris ensemble la décision de mettre à mort le Tsar et sa famille. Se remémorant une conversation en 1918, Trotsky écrivait :

    “Ma visite suivante à Moscou prit place après la chute [temporaire] de Ekaterinburg [aux mains des forces anti-communistes]. Discutant avec Sverdlov, je demandai au passage : «Au fait, où est le Tsar ?» «Terminé», répondit-il, «il a été exécuté». «Et où est sa famille ?» «La famille en même temps que lui». «Tous ?»,

    demandais-je, apparemment avec quelque surprise. «Tous», répondit Sverdlov. «Et alors ?». Il attendait de voir ma réaction. Je ne répondis pas. «Et qui a pris la décision ?», demandais-je.

    «Nous l'avons décidé ici. Illitch [Lénine] croyait que nous ne devions pas laisser aux Blancs une bannière pour se rallier, spécialement dans les circonstances difficiles du moment».
    La ville de Iekaterinburg a été appelée Sverdlovsk de 1924 à 1991. Comme c'est révélateur pour le régime bolchevique de donner le nom d'un meurtrier en série à une ville: ses "héros" sont tous des méga-criminels!

     

    Ainsi Mussolini suite à son coup de force, la marche sur Rome, serait un fasciste, mais pas Lénine? Ou Lénine et Mussolini sont deux fascistes! Ce qui est sûr c'est que relativement au nombre de morts, Lénine dépasse, et de loin, Mussolini! Mais la diversion sur le Duce permet de duper en laissant dans l'ombre l'horreur de

      

    Lénine, dont on connaît maintenant des ordres secrets d'assassinats et de meurtres de masse!

     

    Iakov Mikhaïlovitch Iourovsky, chef des exécutants, de la garde privée de Lénine, la Tchéka

     

      

    En plus de Iakov Iourovsky, sont impliqués dans l'exécution:

    - Beloborodov (Vaisbart), président du Soviet local;


    - Shaya Goloshtchekin, chef de l'administration générale à Ekaterinburg;
    - Syromolotov, Safarov, Voikov.
     

    Légende, mise en scène ou révélation du forfait: sur une paroi de la cave du massacre de la famille de Nicolas II,

    il a été mentionné le fragment d'un poème de Heine.
     

     

      

    Alors que les archives soviétiques sont accessibles, impossible de trouver l'ordre télégraphié de Sverdlov à Iourovsky, le rapport de ce dernier sur le déroulement du massacre et le journal de l'impératrice qui se termine par: «16 juillet: 22H00 Couché, 15º».

    Le Tsar de toutes les Russies, sa famille et son empire ont été victimes, d'abord de la trop grande gentillesse de Nicolas II, et surtout d'un coup d'état d'une une secte judéo-bolchévique! «En conséquence» conclut Wilton, «il n'y a pas de raison d'être surpris du rôle prépondérant des Juifs dans l'assassinat de la famille impériale. C'est plutôt le contraire qui aurait été surprenant.» Et les assassins bolchéviques ont encore de nombreux complices qui continuent à falsifier l'Histoire et à se faire ainsi les complices des bourreaux au détriment des victimes. Et en Suisse aussi, le “fan club” de Lénine continue à sévir, tromper le peuple et à infecter les âmes!

     


     

    90 ans plus tard: le tsar Nicolas et sa famille sont réhabilités

    Le régime de Lénine et de sa bande d'assassins s'est écroulé après tant de sang et de larmes. Aucun des commanditaires ni aucun des exécutants n'ont été jugés! Quand à l'idéologie marxiste-léniniste, bolchévik ou communiste, elle n'a pas été bannie en dépit du fait qu'elle constitue un crime contre l'humanité. Sa constante couverture de la saloperie intrinsèque qu'elle engendre sous prétexte des "belles intentions" continue d'opérer!

    A la chute de l'URSS, Boris Eltsine, qui avait fait pourtant détruire la maison Ipatiev* sur ordre d'Andropov, a constitué une commission pour faire toute la vérité sur cet horrible crime, rechercher les cadavres pour qu'ils reposent à Pierre & Paul (St-Petersbourg). A l'été 2008, les deux dépouilles manquantes, celles de Maria et Alexis devraient joindre les autres membres de la famille impériale.

     

    (*) La maison Ipatiev, sur la colline de l'Assomption, à Iekaterinbourg, est devenue un lieu de pélerinage où se rendent plus de 10'000 personnes chaque mois.

     


     

    L’Assassinat programmé du tsar Nicolas II.

    Article de 2004 de Russie.net (en 2008, les 90 ans sont oubliés!) mentionnant le rôle de juifs dans le massacre de la famille impériale et celui de deux vers d'un poème de Heinrich Heine! Il y est affirmé que: «Sverdlov -Yankel Solomon vint en Russie en tant qu’agent rétribué de l’Allemagne» fait non corroboré mais possible puisque Lénine le fut sans l'ombre d'un doute! En complément de l'article de 2004, citant des faits rapportés par le livre "Les derniers jours des Romanov", montrant la barbarie de Iourovsky, exécutant de Lénine et Sverdlov, deux sociopathes sanguinaires!

    Selon l'article d'Irina de Chikoff, (Le Figaro, 26/08/2005), “Ce n'est qu'en 1997 que la Commission nationale a reconnu l'authenticité des restes de la famille impériale et des quatre personnes qui se trouvaient avec les Romanov: leur médecin, Evgueni Botkine, le cuisinier Ivan Kharitonov, un valet de chambre, Alois Trupp, et la camériste de la tsarine, Anna Demidova.” Mais il manque deux cadavres!

    Irina de Chikoff, (Le Figaro, 12/10/2007), révèle que deux ans après avoir déterrés les restes de la famille impériale et de sa suite, ceux de Alexis et Maria, cachés dans un autre lieu ont été découverts. Il est confirmé que les assassins ont tenté de les brûler avec de l'acide sulfurique!

    L'ultime mystère des Romanov bientôt levé. Article du Figaro (22/10/2007 ) qui résume bien les conditions de la tuerie et les recherches qui ont dû être effectuées, les assassins ayant tout fait pour cacher les traces de leurs crimes.

    Secrets d'Histoire présenté par Stéphane Berne a consacré l'émission du 15 juin 2008 à la tuerie de la famille Romanov, à l'aube du 17 juillet 1918.

    Plus d'info à:
    - http://www.romanov-memorial.com/
    - http://www.epbroye.ch/mediawiki/index.php/Maison_d%E2%80%99Ipatiev

     

    Bibliographie
    “Les derniers jours des Romanov”, Robert Wilton (18..-1925), traduction de “The last days of the Romanovs”, Cres, 1921
    “Le tragique destin du Tsar Nicolas II”, Pierre Gilliard, Payot, 1922, BGE Te 7336
    “Les derniers jours des Romanov”, P. M. Bikov, Payot, 1931

     

    Le Vaudois Pierre Gilliard était le précepteur des enfants du tsar Nicolas II: les grandes-duchesses Olga, Tatiana, Maria, Anastasia et le tsarévitch Alexei. Il suivit la famille impériale durant leur captivité jusqu'à Ekaterinbourg, où il se fit séparer d'eux le 23 mai 1918. C'est d'ailleurs cela qui lui sauva la vie, car Nicolas II et sa famille se firent exécuter peu de temps après. De retour en Suisse, il publia en 1922 un ouvrage sur "Le tragique destin du Tsar Nicolas II". Outre les dernières photographies de la famille impériale de Russie prises dans leur vie quotidienne en captivité, le fonds Pierre Gilliard contient également de la correspondance et différentes notes prises au cours sa vie. - http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Gilliard

     

    La Suisse aurait pu donner asile à la famille de Nicolas II comme elle le fit pour l'empereur d'Autriche-Hongrie, Charles 1er installé au château de Wartegg, dans le canton de Saint-Gall, proche du lac de Constance. Cela aurait été la moindre des choses, car après avoir donné asile à Lénine qui fut un des plus grands meutriers de masse de tout les temps, assurer le sauvetage de Nicolas II et de sa famille aurait une compensation.

    Grand Duchesses Tatiana and Anastasia with some guards during their captivity at Tsarskoe Selo: June 1917.

    Grand Duchesses Tatiana and Anastasia with some guards during their captivity at

    Tsarskoe Selo: June 1917.  

     

    sources :

    http://www.fonjallaz.net/Communisme/N2/Massacre-famille-tsar/index.html

     

     

     

     

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