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    • COINCIDENCES FATALES DANS LA VIE DE LA FAMILLE IMPERIALE

     

      COINCIDENCES FATALES DANS LA VIE DE LA FAMILLE IMPERIALE

      

      

      

    Le chiffre 17 fut fatal pour Nicolas Il et toute la famille des Romanov.

    C'est le 17 octobre 1888 que le train du tsar dérailla près de Kharkov.

    Fort heureusement la famille d'Alexandre III en sortit indemne.

      

    Lors du couronnement de Nicolas Il, dans la nuit du 17 mai 1896, se produisit la tragédie de Khodynsk (au nord-ouest de la ville de Moscou) :

      

    1389 personnes périrent dans la cohue et 1300 personnes furent blessées,

    ce qui valut au tsar le surnom de " Sanguinaire ".

      

    Le 17 octobre 1905 fut signé le Manifeste mettant fin au pouvoir absolu du monarque.

      

    L'assassinat de Raspoutine, qui prédisait que la fin des Romanov serait liée à sa propre mort, eut lieu le 17 décembre 1916.

      

    Le pouvoir fut pris par les bolcheviks en 1917. Le 17 juillet (d'après le nouveau style) 1918, la famille impériale fut exécutée à Ekaterinburg.

      

    D'autres coïncidences curieuses, liées cette fois aux noms, laissent perplexes.

      

    Le premier tsar de la dynastie des Romanov fut Mikhaïl Fedorovitch, appellé à régner alors qu'il se trouvait dans le monastère Ipatievski (près de Kostroma).

      

    Nicolas II et sa famille furent tués dans la maison qui appartenait à l'ingénieur Ipatiev, communément appelée " Ipatievski dom ".

      

    Au début de la dynastie des Romanov, le patriarche s'appelait Hermogène

    (canonnisé, d'ailleurs, sous le règne de Nicolas II, en tant que saint martyr).

      

    Un siècle plus tard, alors que les Romanov étaient exilés à Tobolsk, l'archevêque de Tobolsk s'appelait également Hermogène

    (il mourut en martyr, persécuté par les communistes).

      

     

    En 1905, le jour de la fête du Baptême du Christ dans le Jourdain, Nicolas Il et sa nombreuse suite descendirent au bord de la Néva, à l'endroit où devait avoir lieu la bénédiction de l'eau.

      

    Des salves devaient être tirées à blanc des canons de la forteresse Saint-Pierre et Saint-Paul. L'un d'entre eux se trouva chargé.

      

    Les balles passèrent au-dessus de la tête du Tsar, firent voler en éclats les vitres du Palais d'Hiver. Seul un policier, du nom de... Romanov, fut blessé.

      

    En 1909, dans une discussion avec son ministre Stolypine, Nicolas Il dit :

      

    " Croyez-moi, Piotr Arkadiévitch, j'ai la conviction profonde d'être

    voué à d'effroyables tourments pour lesquels je ne recevrai pas de

    récompense ici, sur cette terre... "

      

    On raconte que la veuve de l'Empereur assassiné Paul ler, Maria Fedorovna, avait mis dans un coffret un message mystérieux, que devait lire le souverain régnant cent ans après la mort de son mari.

      

    Nicolas Il et sa femme se rendirent à Gatchino

    (près de SaintPétersbourg) où se trouvait le coffret.

      

    Ils en revinrent pensifs et tristes.

      

    Dans le coffret se trouvait notée la prédiction du moine Abel

    qui vécut à la limite du XIXe et du XXe siècle.

     

      

    Il avait prédit avec exactitude la plupart des événements de son époque, ce qui lui valut d'être à maintes reprises mis en prison. L'existence de ce moine a pu être vérifiée grâce à des documents trouvés dans les Archives centrales de Moscou.

      

    Saint Séraphin de Sarov avait également prédit de grands troubles en Russie: "Beaucoup de sang coulera car il y aura des soulèvements contre le Tsar et l'autocratie, mais Dieu le magnifiera."

      

    La moniale Pacha Sarovskaïa, bien connue pour sa vie d'abnégation totale, avait également prédit au tsar les événements qui se préparaient, ainsi qu'un moine de l'ermitage de Gethsémani, Barnabé, dont les reliques sont conservées dans l'église de l'ermitage, non loin de la Laure Saint-Serge, à Serguiev Possad.

      

    Lorsque le 11 décembre 1916 l'impératrice Alexandra Fedorovna se rendit au monastère de la Dîme à Novgorod, la mère supérieure dit en la voyant:

      

    " Voici la martyre, la Tsarine Alexandra ".

      

    Puis elle répéta plusieurs fois:

      

    " Tu porteras une lourde croix, n'aie pas peur ".

      

    Alexandra Fedorovna relate cette rencontre dans une lettre à Nicolas Il.

      

    Le souverain était profondément croyant. Il disait " ... je crois de façon inébranlable que le destin de la Russie, mon propre destin et celui de ma famille sont dans les mains du Seigneur.

      

    Et quoiqu'il arrive, je m'incline devant sa volonté ".

      

    A partir d'une certaine date, les prédictions influencèrent son comportement au quotidien, ce qui fait dire à la majorité des historiens contemporains que les actes de Nicolas Il étaient paradoxaux.

    Source:Rousskii Dom n' 1, 2000, paru dans " La Gazette "

     

     

     

      COINCIDENCES FATALES DANS LA VIE DE LA FAMILLE IMPERIALE

      

      

    sources :

    http://www.kadouchka.com/russie/Romanov.htm

      

      

      

     

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