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    la biographie de TSARINA Alexandra Fiodorovna Romanova

     

     

    la biographie d4 Alexandra Fiodorovna Romanova
     
      
      
    Alix de Hesse, de son nom complet
    Victoria Alix Hélène Louise Béatrice de Hesse-Darmstadt, la sixième enfant du grand-duc Louis IV de Hesse et de la princesse Alice du Royaume-Uni,
    est née le 6 juin 1872 au palais de Hesse, en Allemagne.
      
    Elle était surnommée "Sunny" ("rayon de soleil") par ses soeurs et sa mère lors de son enfance.
      
      
    Même si son premier prénom était Victoria
    (tout comme une de ses soeurs et plusieurs cousines),
    tout le monde l'appelait par son second prénom :
    Alix.

     
    Alix avait cinq frères et soeurs :
     
     
    Victoria (née en 1863),
    Elisabeth (née en 1864),
    Irène (née en 1866),
    Ernest-Louis (né en 1868),
    Frédéric (né en 1870) et
    Marie (née en 1874).
      
    A peine âgé de trois ans, son frère Frédéric, atteint d'hémophilie, meurt d'une hémorragie en tombant d'une fenêtre.
     
    Puis, le 16 novembre 1878, sa jeune soeur Marie décède de la diphtérie, tout comme sa mère qui décèdera quelques jours plus tard.
     
    Alix quitte alors Hesse avec son père, son frère et ses trois soeurs pour l'Angleterre, où sa grand-mère maternelle, la reine Victoria du Royaume-Uni, la prend sous son aile protectrice.
     
    Alix restera traumatisée tout au long de sa vie par la mort de sa mère.

    Sa cousine, la reine Marie de Roumanie la décrira plus tard à une amie:
     
    "Son attitude vis-à-vis du monde était dépourvue de confiance, de tendresse, et dans une certaine manière, hostile...
     
    Elle était à la fois proche et lointaine comme si quelqu'un
    voulait lui voler quelque chose qui lui appartenait."
     
     
    la biographie d4 Alexandra Fiodorovna Romanova
      

    Une autre de ses cousines, la princesse Marie-Louise de Schelswig-Holstein, fatiguée de ses chagrins continuels lui dit :
      
    "Alix, tu fais toujours la malheureuse; un jour, le Tout-Puissant t'enverra des chagrins accablants et que feras-tu alors?"


    En avril 1884, sa soeur aînée Victoria épouse le Prince Louis de Battenberg.
     
    Deux semaines plus tard, sa soeur Elisabeth (surnommée Ella)
    épouse le grand-duc Serge Alexandrovitch de Russie, fils du tsar Alexandre II et de la princesse Marie de Hesse-Darmstadt (une tante d'Alix),
    de son nom russe Maria Alexandrovna.
      
    C'est lors du mariage de sa soeur Ella et du grand-duc Serge Alexandrovitch, qu'Alix fait la connaissance du tsarévitch Nicolas Alexandrovitch, fils aîné du tsar Alexandre III.
     
    Alix est alors âgée douze ans et Nicolas de seize.
     
    Elle rencontre également les frères et soeurs du jeune tsarévitch :
      
    Georges, Xenia, Michel et Olga.

     
    Les mois passent, Alix et Nicolas s'envoient régulièrement des lettres.
     
    Nicolas pense même déjà à épouser Alix.
     
    Cependant, un obstacle s'oppose à cette union.
      
    En effet, les parents de Nicolas, Alexandre III,
    mais surtout Marie Fedorovna montrent
    une hostilité courtoise envers la jeune Alix.
      
    Ni l'un, ni l'autre ne souhaitent introduire une
    nouvelle princesse allemande dans leur famille.
     
    D'ailleurs, Alix apprend quelque temps plus tard que les parents de Nicolas veulent lui imposer un mariage avec une princesse française, Hélène d'Orléans,
    fille du comte de Paris.
      
    Bien que meurtrie par la réticence dont elle est l'objet de la part de la famille impériale, Alix ne veut pas s'avouer vaincue.
     
     
      
    Afin de marquer sa prédilection pour la Russie, elle achète dans une foire des poupées taillées dans du bois de bouleau, arbre symbole dans la patrie de Nicolas.
     
    Rentrée en Angleterre, elle exige d'apprendre le russe et se lance dans de longues discussions théologiques avec l'aumônier de l'ambassade de Russie.
      
     

    Agacée de rester si longtemps dans l'expectative,
    la reine Victoria écrit à son autre petite-fille,
    la grande-duchesse Elisabeth, pour lui demander
    si Alix n'a pas attiré sur elle
    "l'attention d'un des membres de la dynastie russe".
      
     
    Dans ce cas, elle ne confirmerait pas Alix dans la religion anglicane
    et préparerait sa conversion à l'orthodoxie.
      
    Obéissant aux consignes de la cour,
    Elisabeth laisse la lettre sans réponse.
     
      
    Du coup, Alix comprend que sa présence n'est décidément pas désirée
    à Saint-Pétersbourg et se rebiffe.
     
     
    Murée dans la solitude et la fierté, elle repousse la demande en mariage d'un obscur prince allemand, cherche une consolation dans la lecture des livres de piété, se fait confirmer dans le rite anglican et déclare qu'elle
    "aimerait mieux rester vieille fille que de renoncer au protestantisme".

     
     
    Cependant, le tsar Alexandre III tombe gravement malade, et sur la demande de son fils, il accorde à Nicolas de demander la main de la jeune Alix.
     
    Mais la princesse allemande s'oppose toujours à se convertir à l'orthodoxie :
      
    "Seigneur, quelle journée!"
    écrit Nicolas,
      
    "Après le café, vers 10 heures, nous sommes allés chez tante Ella
    (Elisabeth Fedorovna) dans l'appartement d'Ernie
    (grand-duc Ernest-Louis de Hesse Darmstadt) et d'Alix.
    Elle (Alix) a remarquablement embelli, mais elle avait l'air triste.
      
     
    On nous laissa seuls et c'est alors que commença entre nous cet entretien que depuis longtemps je souhaitais et redoutais à la fois.
     
    Nous avons parlé jusqu'à midi, mais sans succès.
    Elle s'oppose toujours au changement de religion.
      
    La pauvre, elle a beaucoup pleuré.
    Elle était plus calme quand nous nous sommes séparés."
    Le lendemain, le 6 avril, nouvelle note attendrie dans le journal de Nicolas:
     
    "Alix est venue et nous avons encore eu un entretien.
      
    Mais j'ai moins touché à la question d'hier.
    C'est déjà bien beau qu'elle ait consenti à me voir et à me parler."

     
     
    Enfin, deux jours plus tard, le 8 avril, cri de victoire:
     
    "Jour merveilleux, inoubliable dans ma vie! C'est le jour de mes fiançailles avec ma chère, mon incomparable Alix...
    Nous nous sommes expliqués tous les deux (...)
      
    J'ose à peine croire que j'ai une fiancée."
      
    Alix et Nicolas rentrent en Russie pour rendre visite à Alexandre III, toujours gravement malade.
     
    Aussitôt arrivés, Alix se convertit à la religion orthodoxe,
    et est à présent appelée la grande-duchesse Alexandra Fedorovna.
     
     
    Peu de temps après sa première rencontre avec lui, le tsar Alexandre III décède de sa maladie le 20 octobre 1894.
     
    Nicolas est à présent le tsar de toutes les Russies.

     
     
    Nicolas et Alix se marient juste après la mort du tsar Alexandre III.
     
    Peu de temps après l'union du jeune couple impérial, Alix donne naissance à leur premier enfant le 15 novembre 1895, une fille prénommée
    Olga ("bien-aimée" en russe).
      
     
    Sa naissance est suivie par trois autres filles, et finalement un garçon:
    Tatiana naît le 10 juin 1897,
    Maria le 26 juin 1899,
    Anastasia le 18 juin 1901, et après plus de trois ans de prières,
    Alix donne naissance le 12 août 1904 à un fils,
    le tsarévitch Alexeï.

    Après la naissance d'Alexei, on découvre au jeune garçon une terrible maladie, l'hémophilie.
     
    Déjà à cette époque, on savait que cette maladie ce transmettait de mère en fils.
     
    En fait, Alix a hérité cette maladie de sa grand-mère maternelle, la reine Victoria.
      
     
     
    La santé du jeune tsarévitch se dégrade jusqu'à ce qu'une cousine de Nicolas présente au couple impérial un guérisseur, Grigori Raspoutine.
      
    Ses dons vont lui permettre de sauver plusieurs fois le tsarévitch de la mort.

    En 1913, la famille célébre le 300ème anniversaire de la dynastie Romanov. L'année suivante, la Russie entre en guerre contre l'Allemagne, dirigée par un cousin de Nicolas et Alexandra, le kaiser Guillaume II.
      
    La "Grande Guerre" débute.
      
    Nicolas part alors au front avec le tsarévitch Alexei.
    Alexandra envoie régulièrement des lettres à son époux parti au front et le pousse dans l'autocratie la plus extrême:
      
    "Soit Ivan le terrible, Pierre le Grand. Ecrase-les de ta grande stature" écrit Alexandra dans une de ses lettres adressées à Nicolas.
      
    Mais le tsar n'est pas fait pour être un autocrate
    et doit abdiquer suite à la révolution de février 1917.
     
      
    Alix est ensuite emprisonnée et assassinée avec
    toute sa famille le 17 juillet 1918 à l'âge de 46 ans.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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    biographie d' Alexandra Feodorovna Romanova

    la biographie d4 Alexandra Fiodorovna Romanova
      
      
      
    Alix de Hesse, de son nom complet Victoria Alix Hélène Louise Béatrice de Hesse-Darmstadt, la sixième enfant du grand-duc Louis IV de Hesse et de la princesse Alice du Royaume-Uni, est née le 6 juin 1872 au palais de Hesse, en Allemagne. Elle était surnommée "Sunny" ("rayon de soleil") par ses soeurs et sa mère lors de son enfance.
      
    Même si son premier prénom était Victoria (tout comme une de ses soeurs et plusieurs cousines), tout le monde l'appelait par son second prénom : Alix.
     
     
    photo d' Alexandra Fiodorovna Romanova
     
    Alix bébé
      

    Alix avait cinq frères et soeurs : Victoria (née en 1863), Elisabeth (née en 1864), Irène (née en 1866), Ernest-Louis (né en 1868), Frédéric (né en 1870) et Marie (née en 1874). A peine âgé de trois ans, son frère Frédéric, atteint d'hémophilie, meurt d'une hémorragie en tombant d'une fenêtre. Puis, le 16 novembre 1878, sa jeune soeur Marie décède de la diphtérie, tout comme sa mère qui décèdera quelques jours plus tard.
      
    Alix quitte alors Hesse avec son père, son frère et ses trois soeurs pour l'Angleterre, où sa grand-mère maternelle, la reine Victoria du Royaume-Uni, la prend sous son aile protectrice. Alix restera traumatisée tout au long de sa vie par la mort de sa mère.

     
    la biographie d4 Alexandra Fiodorovna Romanova
      
      
    Sa cousine, la reine Marie de Roumanie la décrira plus tard à une amie:
    "Son attitude vis-à-vis du monde était dépourvue de confiance, de tendresse, et dans une certaine manière, hostile...
      
    Elle était à la fois proche et lointaine comme si quelqu'un voulait lui voler quelque chose qui lui appartenait."
    Une autre de ses cousines, la princesse Marie-Louise de Schelswig-Holstein, fatiguée de ses chagrins continuels lui dit : "Alix, tu fais toujours la malheureuse; un jour, le Tout-Puissant t'enverra des chagrins accablants et que feras-tu alors?"


    En avril 1884, sa soeur aînée Victoria épouse le Prince Louis de Battenberg. Deux semaines plus tard, sa soeur Elisabeth (surnommée Ella) épouse le grand-duc Serge Alexandrovitch de Russie, fils du tsar Alexandre II et de la princesse Marie de Hesse-Darmstadt (une tante d'Alix), de son nom russe Maria Alexandrovna. C'est lors du mariage de sa soeur Ella et du grand-duc Serge Alexandrovitch, qu'Alix fait la connaissance du tsarévitch Nicolas Alexandrovitch, fils aîné du tsar Alexandre III. Alix est alors âgée douze ans et Nicolas de seize.
      
    Elle rencontre également les frères et soeurs du jeune tsarévitch : Georges, Xenia, Michel et Olga.

    Les mois passent, Alix et Nicolas s'envoient régulièrement des lettres. Nicolas pense même déjà à épouser Alix.
      
    Cependant, un obstacle s'oppose à cette union. En effet, les parents de Nicolas, Alexandre III, mais surtout Marie Fedorovna montrent une hostilité courtoise envers la jeune Alix.
      
    Ni l'un, ni l'autre ne souhaitent introduire une nouvelle princesse allemande dans leur famille. D'ailleurs, Alix apprend quelque temps plus tard que les parents de Nicolas veulent lui imposer un mariage avec une princesse française, Hélène d'Orléans, fille du comte de Paris.
      
      
     
      
    Bien que meurtrie par la réticence dont elle est l'objet de la part de la famille impériale, Alix ne veut pas s'avouer vaincue. Afin de marquer sa prédilection pour la Russie, elle achète dans une foire des poupées taillées dans du bois de bouleau, arbre symbole dans la patrie de Nicolas.
      
    Rentrée en Angleterre, elle exige d'apprendre le russe et se lance dans de longues discussions théologiques avec l'aumônier de l'ambassade de Russie.
     
      
    Agacée de rester si longtemps dans l'expectative, la reine Victoria écrit à son autre petite-fille, la grande-duchesse Elisabeth, pour lui demander si Alix n'a pas attiré sur elle "l'attention d'un des membres de la dynastie russe". Dans ce cas, elle ne confirmerait pas Alix dans la religion anglicane et préparerait sa conversion à l'orthodoxie.
      
      
    Photo de La grande-duchesse Olga Nicolaïevna
    De gauche à droite: Marie Fedorovna, Olga, Xenia, Irène, Olga Alexandrovna, Nicolas et Alix.
      
      
    Obéissant aux consignes de la cour, Elisabeth laisse la lettre sans réponse.
      
      
    Du coup, Alix comprend que sa présence n'est décidément pas désirée à Saint-Pétersbourg et se rebiffe. Murée dans la solitude et la fierté, elle repousse la demande en mariage d'un obscur prince allemand, cherche une consolation dans la lecture des livres de piété, se fait confirmer dans le rite anglican et déclare qu'elle "aimerait mieux rester vieille fille que de renoncer au protestantisme".

    Cependant, le tsar Alexandre III tombe gravement malade, et sur la demande de son fils, il accorde à Nicolas de demander la main de la jeune Alix. Mais la princesse allemande s'oppose toujours à se convertir à l'orthodoxie :
      
    "Seigneur, quelle journée!" écrit Nicolas,
      
      
    "Après le café, vers 10 heures, nous sommes allés chez tante Ella (Elisabeth Fedorovna) dans l'appartement d'Ernie (grand-duc Ernest-Louis de Hesse Darmstadt) et d'Alix. Elle (Alix) a remarquablement embelli, mais elle avait l'air triste. On nous laissa seuls et c'est alors que commença entre nous cet entretien que depuis longtemps je souhaitais et redoutais à la fois. Nous avons parlé jusqu'à midi, mais sans succès.
      
      
    Elle s'oppose toujours au changement de religion. La pauvre, elle a beaucoup pleuré. Elle était plus calme quand nous nous sommes séparés." Le lendemain, le 6 avril, nouvelle note attendrie dans le journal de Nicolas: "Alix est venue et nous avons encore eu un entretien. Mais j'ai moins touché à la question d'hier. C'est déjà bien beau qu'elle ait consenti à me voir et à me parler."

    Enfin, deux jours plus tard, le 8 avril, cri de victoire:
      
    "Jour merveilleux, inoubliable dans ma vie! C'est le jour de mes fiançailles avec ma chère, mon incomparable Alix... Nous nous sommes expliqués tous les deux (...)
    J'ose à peine croire que j'ai une fiancée."
      
     
      
    Biographie d'Alexandra Feodorovna Romanova
      
    Photo rare, Nicolas II et Alexandra.... ( ils s'adoraient )
      
      
      
    Alix et Nicolas rentrent en Russie pour rendre visite à Alexandre III, toujours gravement malade. Aussitôt arrivés, Alix se convertit à la religion orthodoxe, et est à présent appelée la grande-duchesse Alexandra Fedorovna. Peu de temps après sa première rencontre avec lui, le tsar Alexandre III décède de sa maladie le 20 octobre 1894.
      
    Nicolas est à présent le tsar de toutes les Russies.

    Nicolas et Alix se marient juste après la mort du tsar Alexandre III. Peu de temps après l'union du jeune couple impérial, Alix donne naissance à leur premier enfant le 15 novembre 1895, une fille prénommée Olga ("bien-aimée" en russe).
     
     
      
    Biographie d'Alexandra Fiodorovna Romanova
     
    Sa naissance est suivie par trois autres filles, et finalement un garçon: Tatiana naît le 10 juin 1897, Maria le 26 juin 1899, Anastasia le 18 juin 1901, et après plus de trois ans de prières, Alix donne naissance le 12 août 1904 à un fils, le tsarévitch Alexeï.

     
    Après la naissance d'Alexei, on découvre au jeune garçon une terrible maladie, l'hémophilie.
      
    Déjà à cette époque, on savait que cette maladie ce transmettait de mère en fils. En fait, Alix a hérité cette maladie de sa grand-mère maternelle, la reine Victoria. La santé du jeune tsarévitch se dégrade jusqu'à ce qu'une cousine de Nicolas présente au couple impérial un guérisseur, Grigori Raspoutine. Ses dons vont lui permettre de sauver plusieurs fois le tsarévitch de la mort.
      
    Biographie d'Alexandra Fiodorovna Romanova
      
      
     
    La "Grande Guerre" débute. Nicolas part alors au front avec le tsarévitch Alexei. Alexandra envoie régulièrement des lettres à son époux parti au front et le pousse dans l'autocratie la plus extrême: "Soit Ivan le terrible, Pierre le Grand. Ecrase-les de ta grande stature" écrit Alexandra dans une de ses lettres adressées à Nicolas. Mais le tsar n'est pas fait pour être un autocrate et doit abdiquer suite à la révolution de février 1917. Alix est ensuite emprisonnée et assassinée avec toute sa famille le 17 juillet 1918 à l'âge de 46 ans.
      
      
    Biographie d'Alexandra Fiodorovna Romanova
      
     
      
    sources :
      
      
      
      
      
     
      
      
     
     
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    A portrait of the Empress Alexandra

    Above: Portrait of the Empress Alexandra Feodorovna.

      
      
      
    « BOUGIE FACE AU MONDE »


    ­ ­­ ­

    Tsarina Alexandra Feodorovna, née princesse Alice Victoria Elena Louise Béatrice de Hesse-Darmštadtska -je suis né à Darmstadt, en Allemagne. Elle est la quatrième fille du grand-duc Louis IV de Hesse et du Rhin et la duchesse d'Alice, une petite-fille de la Reine Victoria. Avec Nicolas II, elle a rencontré lors d'un voyage en Russie, où son vieux soeur Ella-Grand Duchesse devenue de Elizabeth Fyodorovna-épouser Sergei Alexandrovitch. La première rencontre entre Nicolas et Alice dure aime l'autre.

    * * *


    « Le Sauveur dit: « tout ce que vous demandez de Dieu, Dieu vous donnera ». Ces mots bezkonečno sont cher pour moi, parce que dans les cinq ans, j'ai prié pour eux, les répéter tous les soirs, plaidant pour son aide Alice, de naviguer dans la foi orthodoxe et de me donne son comme sa femme. »

    * * *


    La princesse Alice arrive en Russie quelques jours avant la mort de l'empereur Alexandre III.Joindre le rite de l'Église orthodoxe qu'il avait commis tous le père pasteur John de Kronstadt.Elle a été baptisée en l'honneur de Saint Alexandra Reine-martyr.Avec tout le coeur, profondément et sincèrement a eu Alexandra Fedorovna orthodoxie, cru et veillé à ce qu'il est de la vraie foi, le peuple de Dieu.



    ­ ­­ ­

    « Votre pays est mon pays, votre peuple, mon peuple et ton Dieu, mon Dieu. »
    « Alors j'ai prié à Dieu a donné la sagesse, la sagesse et la crainte de Dieu à toutes les personnes, à l'esprit du Seigneur est jugée à tous les. Dieu, Christ comme tous êtes vraiment crucifie lui ! Il souffre toutes les heures en raison des péchés du monde... Pour nous, il est mort, a souffert et nous lui rembourser!... Il fait mal de regarder profondément dans votre âme, lisez tous le sleptsov fou âmes... Et que, pour toutes les souffrances, voit que cet enfer, sanglots, amène son fils toutes les larmes et les prières de ceux qui n'ont pas perdu à lui pour l'aide et l'intercession. Ses qu'il nous pécheurs a donné naissance à brutalement les humains nous faire souffrir, mais elle a promis de toujours prier pour tous les participants avec la prière lui. »


    ­ ­­ ­
    Coronation Anniversary Faberge EggAbove: Faberge egg with miniatures of the Imperial family and events associated with the Imperial Coronation in Moscow in May 1896.
    ­ ­­ ­

    Voici qu'un ami intime de l'impératrice et le livre de prière de la famille impériale Grigori Iefimovitch Raspoutine a parlé :
    « Maman est une cire ardent. Bougie devant le monde entier. Elle est un Saint. Parce que seuls les Saints peuvent faire la farine comme il est. Elle a une grande farine parce que le œil voit comme dalé lui l'esprit. Sans hypocrisie, sans mentir, sans tricher. Grande fierté. C'est un fier, c'est puissant. Si n'importe qui aurait pense toujours peut tromper l'il.
    Loin de son homme, mais elle est de toutes ses prétentions. « Si je croyais en lui, si l'homme stoûŝij! »Ici ' s.
    C'est spécial. Seul un tel et vu dans sa vie. Et beaucoup de gens ont vu et qu'elle n'a pas un indice sur. Pensez à un fou... ou... dvusmyslie même il certains. Et c'est une âme particulière. Et elle, dans son orgueil Sainte, aller nulle part, sauf le martyre, aucun moyen. »
    « Sa Majesté était reine avant et reste avec elle. La tsarine réel : magnifique, magistral et majestueux »-c'est l'impression globale et l'opinion comme des personnes qui ont de la famille royale au moment de la conclusion d'et travail-gardiens de la villa Ipatiev de. « Est utilisé, le Tsar, dit les courtisans, gardiens, tous autour d'eux des étrangers, aucun menâeš′sâ. C'est elle d'une certaine manière involontairement oderneš′sâ et podtâneš′sâ ».
    « Souffrir, mais ne pas perdre courage, c'est ce qui a amené le CHEA... Partout où nous a conduit à Dieu, partout où nous trouver et l'évacuation, et à la très tranquille fois pensée ».

    ­ ­
    Sa Majesté l'impératrice était habile, avec un fort caractère, une femme très courageuse, assaisonnée. Traits de son personnage, qui avait été obligé de voir et sentir que la Reine n'a pas de traits négatifs, le résultat de l'arrogance, vanité, brutales-quelles qualités parfaitement en elle. Elle était tout aussi importante est la majestueuse Reine dans ses sentiments, attitudes et surtout les attitudes spirituelles et religieuses.

      

    L'impératrice était žalostlivost′û et la gentillesse des bezkonečnoj. Natif d'infirmière, elle souvent visite les malades, offrant le soutien et les soins sincères et ne peut pas aller à la souffrance elle-même, envoyée des filles. Alexandra fedorovna considère que les enfants devraient voir la souffrance et misère et d'apprendre à les réconforter et aider les autres.

     



    ­

    ­­ ­

    « Les enfants ont besoin d'apprendre à réaliser grâce à, d'apprendre à renoncer à leurs propres désirs pour d'autres personnes. »
    « Le devoir des parents pour les enfants pour les préparer à la vie,

    aucun tests qui peuvent de Dieu. »

     

     


    Contemporains, appelée la Reine podvižnicej de la charité. Être la parfaite épouse et mère, elle sympathise avec le gorestâm autres mères et fournie une assistance et des soins. Au cours de l'année de famine 1898, elle a fait don de la huitième partie du revenu annuel de la famille.
    Alexandra Feodorovna ont souvent besoin d'une aide financière par le biais de leur fermeture, essayant de garder un secret. L'impératrice arrangées bazars de la charité, le produit qui est allé aux malades, il a organisé des ateliers de formation dans tout le pays pour les pauvres et ouvre une école pour les infirmières.

      

    Sur leurs finances personnelles, la Reine a construit une maison pour les soldats invalides de la guerre russo-japonaise, où ils ont appris les divers métiers d'art.
    Mme Bittner, professeur, enseigne la langue russe héritier en exil à Tobolsk, rappelle :
    « Une fois qu'elle a demandé que je suis envoyer de l'argent à ma mère. C'était justement une fois quand me mère envoyer Manche. Puis elle insiste pour que je prendre l'argent et l'a envoyé à ma mère, bien qu'à cette époque, les questions d'argent famille étaient très lourdes.
    Au cours de la première guerre mondiale, l'impératrice avec ses filles ont été formés à the Sisters of mercy et a travaillé dans des hôpitaux militaires avec des infirmières et infirmiers chirurgicaux.

      

    Grâce à leurs mains des centaines de blessés.
    « J'ai eu un terrible accident de panser les blessures, ils restent à peine dans l'avenir. Je suis tout nettoyé, lavé, oint, iodinom podvâzala. Tout cela est très bien ».
    « J'avais mutilé des hommes avec de terribles blessures. J'ai mal pour eux. J'ai surtout sympathise comme épouse et mère. »

    ­ ­­ ­

    Neispovedimymi le destin de Dieu, héritier du trône Cesarevitch Alexey souffrait d'une hémophilie maladie héritée de sang incurable, sont constamment menacées et sa vie. Cela a causé de graves souffrances mère de coeur et, bien sûr, affecte tous le mode familial de leurs Majestés.
    Lorsque la maladie s'aggravent, Prince souverain effectué une énergie énorme, a connu peu indefatigability, effectué lorsqu'un malade jour et nuit toutes les fonctions d'une mère, infirmière, Maid, presque ne quittaient pas sa chambre, tandis que le maintien de la paix d'esprit complète et forçant vous-même à sourire de fils pour lui montrer autour de son esprit, aucune fatigue et pris en charge par tous à proximité de PEP et la puissance de la foi dans le salut du patient.


    ­ ­­ ­

    Elle s'est assise à son chevet dans la Chambre, qu'elle a apporté un patient et les intervalles de facilité condition douloureuse du fils a été impliquée dans des métiers d'art ou de lire ses livres et eBooks russe héritier du trône de l'écriture sainte. Si c'est arrivé pour une raison ou l'autre de ces jours aller pendant quelques minutes dans sa chambre, puis sur son apparence après que négociation ses sbires jamais aurait pu conclure qu'il est déjà plusieurs nuits éveillés, à peine mangé et avait un fabuleux repas pour enfant malade un proche souffrant. Ses yeux expressifs brillé avec une lumière surnaturel et čudilos′ en eux, qu'ils voient quelque chose de léger, claire, qui n'est pas disponible pour vous le reste de la population, leur foi a brûlé...

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    Tension résister aux périodes de la maladie du fils de l'impératrice dans le service, lui affectant sa santé. Après avoir récupéré elle communément Alexeï Nikolaïevitch ressenti une terrible désintégration des forces, qui, à la prikovyval de temps elle au lit.

      

    Elle était vieille, tombe malade. Au fil du temps, la maladie de coeur du devenue Alexandra Fyodorovna a pris un caractère permanent et les jours, sur laquelle il pouvait être réputé pour être complètement sain, est passé de moins en moins. Seulement la volonté extraordinaire et un grand voisin, elle a consciencieusement avant podymala eux-mêmes et l'amour de l'ensemble de la famille et des affaires publiques, activités philanthropiques.
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    « Abnégation est pure, Sainte, efficace vertu de FES couronnes et sanctifie l'âme humaine ».
    « Plus je vis, plus je me rends compte que la principale différence entre les puissants et les faibles et le grand vide est l'énergie, détermination invincible, l'objectif ferme de mort-victoire ».
    « Dans le mot » courage » est quelque chose qui parle de la presque endémique à l'héroïque dans le cœur humain. Mais c'est peut-être vrai courage, c'est souvent moins héroïque, mais plus serré et les affaires que nous avons tendance à être. C'est principalement en raison des très petites cas, la valeur entière qui ne peut se faire qu'avec la foi en Dieu : masquer leur humeur, ne pas pour dire un mot au sujet de vos douleurs, à porter avant pourrait prendre d'autres, pardonner les autres mais il me le pardonnerait pas. »

    L'impératrice était homme profondément religieux. Aucun mensonge, aucune terpevšaâ il en allant à la foi orthodoxe a adopté pas en forme, pas de nécessité, mais avec tout notre cœur, esprit, toute la volonté. Elle a vécu la foi, sincère et pure, elle est nourrie par la prière, et c'était pour son inépuisable force cross.

    Contemporain de la famille impériale, général Diterihs écrit: « le temps viendra quand le ressuscité la Russie orthodoxe catholique et fait revivre une sincère repentance raconteront leur peuple russe plus récent et le dernier mot sur le règne de l'empereur et tragiquement l'impératrice l'impératrice.

      

    Mais l'homme russe de la période prérévolutionnaire de dire que les mots ne pouvaient pas : il a vécu et connaissait le roi et la Reine ne sont pas la façon dont ils étaient en réalité, et qu'ils étaient un cauchemar de l'intrigue, tristement célèbres, vente de tirages et les couches sales de la société et sa perversité, émoussant la pensée. La société russe a été nourrie avec des informations sur le Royal famille n'est pas de ceux qui savait, ou aurait pu savoir la vérité à leur sujet, et de ceux qui, intentionnellement, ne voulait pas connaître la vérité et délibérément dénaturé si il savait.

      

    Pas l'affaire que lorsqu'une personne est maintenant imminent et cauchemardesque crime les commanditaires dans la villa Ipatiev, terrain pour spéciale diffusion de mensonges au sujet de la famille royale a été élu à sa religiosité. »

     

     

     

     

    "СВЕЧА ПЕРЕД ЛИЦОМ МИРА"


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    Царица Александра Федоровна, урожденная принцесса Алиса Виктория Елена Луиза Беатрис Гессен-Дармштадтска­я родилась в Германии, в Дармштадте. Она была четвертой дочерью великого герцога Гессенского и Рейнского Людвига IV и герцогини Алисы, внучкой английской королевы Виктории. С Николаем II она познакомилась во время поездки в Россию, когда ее старшая сестра Элла - Великая Княгиня Елизавета Федоровна - выходила замуж за великого князя Сергея Александровича. С первой встречи Николай и Алиса крепко полюбили друг друга.

    * * *


    "Спаситель сказал: "Все, что ты просишь у Бога, даст тебе Бог". Слова эти безконечно мне дороги, потому что в течение пяти лет я молился ими, повторяя их каждую ночь, умоляя Его облегчить Алисе переход в Православную веру и дать мне ее в жены".

    * * *


    Принцесса Алиса прибыла в Россию за несколько дней до кончины Императора Александра III. Чин присоединения ее к Православной Церкви совершил всероссийский пастырь отец Иоанн Кронштадтский. Она была наречена Александрой - в честь святой царицы-мученицы. Всей душой, глубоко и искренно приняла Александра Федоровна Православие, уверовала и убедилась, что это единая истинная вера, данная людям Богом.



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    "Твоя страна будет моей страной, твой народ - моим народом и твой Бог - моим Богом".
    "Так молилась, чтобы Господь дал разум, премудрость и страх Божий всем людям, чтобы Дух Господень нашел бы на всех. Боже, как все Христа распинают! Как Он ежечасно страдает из-за грехов мира... За нас Он умер, страдал и так мы Ему отплатили!... Больно на душе, вглубь смотреть, читать все в душах безумных слепцов... И Та, за всех страдающая, видит этот ад, рыдания своих детей, приносит Сыну Своему все слезы и моления тех, которые еще не забыли прибегнуть к Ней за помощью, участием и предстательством. Ее, которая Его для нас грешных родила, жестоко мы, люди, заставляем страдать, но Она обещала всегда молиться за всех к Ней прибегающих с мольбой".


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    Вот что говорил о Государыне близкий друг и молитвенник Царской Семьи Григорий Ефимович Распутин:
    "Мама - это ярый воск. Свеча перед лицом всего мира. Она - святая. Ибо только святые могут вынести такую муку, как она несет. Несет она муку великую потому, что глаз ее видит дале, чем разум разумеет. Никакой в ней фальши, никакой лжи, никакого обману. Гордость - большая. Такая - гордая, такая - могучая. Ежели в кого поверит, так уж навсегда обманешь ее.
    Отойдет от нее человек, а она все свое твердит. "Коли я в него верила, значит, человек стоющий!"
    Вот.
    Такая она особенная. Одну только такую и видел в своей жизни. И много людей видал, а понятия об ей не имеют. Думают либо сумасшедшая... либо... же двусмыслие в ней какое. А в ней особенная душа. И ей, в ее святой гордости, никуда, окромя мученичества, пути нет".
    "Государыня как была Царицей раньше, так и осталась ею. Самая настоящая Царица: красивая, властная, величественная", - это было общее впечатление и заключение как людей, состоявших при Царской Семье во время заключения, так и рабочих-охранников из Ипатьевского дома. "Идет, бывало, Государь, - рассказывают придворные, охранники, все окружавшие их посторонние люди, - нисколько не меняешься. Идет она - как-то невольно обязательно одернешься и подтянешься".
    "Страдать, но не терять мужество - вот в чем вели чие... Куда бы ни вел нас Бог, везде мы Его найдем, и в самом изматывающем деле, и в самом спокойном раз мышлении".

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    Государыня Императрица была умная, с сильным характером, очень мужественная, выдержанная женщина. Черты ее натуры, которые заставляли видеть и чувствовать в ней Царицу, вовсе не являлись отрицательными чертами, результатом надменности, самомнения, жестокой властности - такие качества совершенно в ней отсутствовали. Она была именно величественна, как Царица, величественна в своих чувствах, взглядах и особенно в духовных, религиозных воззрениях.


    Государыня отличалась безконечной добротой и жалостливостью. Прирожденная сестра милосердия, она очень часто посещала больных, оказывая им сердечную заботу и поддержку, а когда не могла пойти к страдающим сама, посылала дочерей. Александра Федоровна считала, что дети должны видеть человеческие страдания и беды и учиться утешать, помогать ближним.


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    "Дети должны учиться самоотречению, учиться отказываться от собственных желаний ради других людей".
    "Долг родителей в отношении детей - подготовить их к жизни, к любым испытаниям, которые ниспошлет им Бог".
    Современники называли Царицу подвижницей благотворительности. Будучи безупречной женой и матерью, она особенно сочувствовала горестям других матерей и оказывала им посильную помощь и заботу. Во время голода 1898 года она пожертвовала страдающим восьмую часть годового дохода семьи.
    Александра Федоровна часто передавала денежную помощь нуждающимся через своих приближенных, стараясь сохранить это в тайне. Государыня устраивала благотворительные базары, выручка от которых шла на помощь больным, она организовывала по всей стране учебные мастерские для бедных и открыла училище сестер милосердия. На свои личные средства Царица построила дом для солдат инвалидов русско-японской войны, где они обучались различным ремеслам.
    Госпожа Биттнер, учительница, преподававшая русский язык Наследнику в ссылке в Тобольске, вспоминает:
    "Однажды она спросила, посылаю ли я деньги моей матери. Как раз было такое время, когда мне матери послать было нечего. Тогда она настояла, чтобы я взяла у нее денег и послала бы моей матери, хотя в это время денежные дела самой семьи были очень тяжелы".
    В годы Первой мировой войны Государыня с дочерьми обучились на сестер милосердия и работали в госпиталях хирургическими сестрами. Через их руки прошли сотни раненых.
    "Мне пришлось перевязывать несчастных с ужасными ранами, они едва останутся мужчинами в будущем. Я все промыла, почистила, помазали иодином, подвязала. Все это вышло вполне удачно".
    "Я принимала искалеченных мужчин с ужасными ранами. У меня болит за них сердце. Я им особенно сочувствую как жена и мать".

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    Неисповедимыми судьбами Божиими, наследник Престола Цесаревич Алексей был болен неизлечимой наследственной болезнью крови - гемофилией, постоянно угрожавшей его жизни. Это причиняло сильнейшие страдания сердцу матери и, естественно, отражалось на всем семейном укладе их Величеств.
    Когда болезнь Цесаревича обострялась, Государыня исполнялась громадной энергией, неутомимостью, почти не знавшей границ, исполняла при больном и днем и ночью все обязанности матери, сиделки, прислуги, почти не покидала его комнаты, сохраняя полное спокойствие и заставляя себя улыбаться сыну, дабы не показать ни ему, ни окружающим своего страшного утомления, и поддерживала во всех ближних бодрость духа и силу веры в спасение больного.


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    В комнату больного ей приносили есть, она сидела у его изголовья и в промежутки облегчения болезненного состояния сына занималась каким-либо рукоделием или читала Цесаревичу его книги и книги Священного Писания. Если ей случалось почему-либо в эти дни выходить на несколько минут из его комнаты, то по ее внешнему виду встречавшие ее приближенные никогда не смогли бы заключить, что она уже несколько ночей не спала, почти не питалась и несла в себе невероятную муку страданий за любимого больного ребенка. Ее выразительные глаза горели неземным огнем, и чудилось в них, что они видят что-то светлое, ясное, что недоступно взору остальных людей, в них горела вера…

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    Напряжение, которое Государыня выдерживала в периоды болезни сына в служении ему сказывалось на ее здоровье. После выздоровления Алексея Николаевича она обыкновенно ощущала страшный упадок сил, который на значительное время приковывал ее к постели. Она старела на глазах, болела. С течением времени болезнь сердца у Александры Федоровны приняла постоянный характер, и дни, в которые она могла считаться вполне здоровой, случались все реже и реже. Только необычайной силой воли и громадным сознанием долга перед ближними она подымала себя и целиком отдавалась семейным и общественным делам, благотворительной деятельности.
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    "Самопожертвование - это чистая, святая, действен ная добродетель, которая увенчивает и освящает человеческую душу".
    "Чем дольше я живу, тем отчетливее понимаю, что главная разница между людьми сильными и слабыми, великими и ничтожными - это энергия, непобедимая решимость, твердая цель, при которых и смерть - победа".
    "В самом слове "мужество" есть что-то, что говорит о почти неискоренимой любви к героическому в сердце человека. Но, может быть, самое истинное мужество - это часто менее героическое, но более напряженное и деловое, чем мы склонны представлять. Это, главным образом, выполнение очень мелких дел, вся ценность которых в том, что делать их можно только с верой в Бога: скрывать свое настроение, не говорить ни слова о своих огорчениях, взять на себя ношу прежде, чем ее возьмут другие, прощать другим, но не прощать себе".


    Государыня была глубоко верующим человеком. Не терпевшая никакой лжи, она, перейдя в Православие, приняла веру не по форме, не по необходимости, но всем сердцем, всем разумом, всей волей. Она жила верой, искренней и чистой, питалась молитвой, и в этом находила неисчерпаемую силу для несения своего креста.
    Современник Царской Семьи генерал Дитерихс пишет: "Настанет время, когда воскресшая Россия и возрожденный искренним раскаянием русский человек скажут свое последнее и окончательное слово о трагически погибших Государе Императоре и Государыне Императрице. Но русский человек дореволюционного периода сказать этого слова не может: он жил и знал Царя и Царицу не теми, какими они были в

    действительности, а теми, которыми их представляли ему кошмарная интрига, гнусная, продажная печать и грязные слои общества, и своя извращенная, притупленная мысль. Общество России питалось сведениями о Царской Семье не от тех, кто знал или мог знать правду о них, а от тех, кто умышленно не хотел знать правды и умышленно искажал ее, если и знал. Не характерно ли то, что когда теперь устанавливается лицо непосредственных вдохновителей и руководителей кошмарного преступления в доме Ипатьева, почвой для особого распространения лжи о Царской семье была избрана именно ее религиозность…"

    "Царица Александра"

    Жила любовью просто, молитвенно и скромно.
    Я перед целым миром сказать не побоюсь:
    Царица Александра, Архангелам подобна,
    Что для времен последних вымаливают Русь.

    Приняв оковы кротко, на Бога уповала.
    По подвигу подобной тебя на свете нет.
    Любимица Христова за Русь святую пала,
    Пречистой упованье и Серафимов свет.

    Мятется, пропадая, народ слепой и пленный,
    Возлюбленный тобою, потопленный в слезах.
    Царица Александра, среди цариц вселенной
    Как матери России нет равной в Небесах.

    Звучит, не умолкая, твое святое имя,
    Томится дух изнывший, изнемогает плоть.
    Царица Александра, молитвами твоими
    Распятую Россию помилует Господь.

    Взойдет в сердцах народных любовь твоя сторицей,
    Духовною пшеницей, молитвенно горя.
    Царица Александра, великая Царица,
    Любимая Царица священного Царя.



    Песня Ж. Бичевской. Муз. Г. Пономарева, сл. С. Бехтеева

     

     

     

     

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     Empress Alexandra Feodorovna painted by A. Sokolov, 1901

     

     

     Alexandra Feodorovna Romanov

     

    Alexandra Feodorovna (de son vrai nom Alix de Hesse Darmstadt) voit le jour le 6 juin 1972.Contrairement à son mari,Alexandra n'a pas eu une enfance joyeuse: la sienne est remplie de drames et de mort.Cela commença avec la mort de sa mère, la princesse Alice du Royaume-Uni, en 1878, qui la changea à jamais: en effet, la petite fille surnommée"Sunny"par son entourage du fait de sa gaieté et de son éternel sourire devint un petit être fragile et triste.

    En 1884,elle rencontra pour la première fois Nicolas Romanov à l'occasion du mariage de sa soeur Elisabeth avec un oncle du tsarevitch(Nicolas).Quelques années plus tard, en 1894, ils se fiancent puis se marient.Mais, dès le début de son mariage, le comportement d'Alexandra montra des signes nets de dépression, puis il révéla un personnalité névrosée.
      
    La naissance de son fils les aggrava: le tsarevitch Alexei était atteint d'hémophilie.Elle va rencontrer plus tard Raspoutine, un moine qu'elle croyait capable de soulager ses crises et même de les arrêter.
     
    Elle fut assassinée en 1918 avec ses proches.
      
      
      
      
      
     
      
      
      
      
      
      
     
     
           
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    Chapitre II

    Enfance 1879-1888

     


     

     

      

      

    La princesse Alix l'habitude de dire, en après des années, que ses premiers souvenirs étaient d'un sommeil irradiait, heureux, de soleil perpétuel, puis d'un grand nuage....

    Décès de la grande-duchesse Alice laissé un vide inexprimable dans le palais.Il a fallu longtemps avant que ceux qu'il pourraient ajuster eux-mêmes à une vie qui avait perdu la main qu'il guidé.Le Grand duc Louis IV avait à peine récupéré de sa propre maladie sévère au moment de la mort de sa femme.Tous les enfants ont été déplacés dès que possible dans les environs de froids, peu familiers de la vieille ville-château et de ses fenêtres pauvre petite princesse Alix, puis à peine six ans, a vu la procession funèbre de sa mère patte son chemin entre le nouveau palais et le mausolée de la famille à la Rosenhohe.

    Le grand-duc a fait tout en son pouvoir pour lieu de sa femme avec sa mère enfants.Il était un homme de bon cœur, honnête, avec un regard merveilleusement juste sur les choses et les événements et il a été adoré par ses enfants.Naturellement il a gâché la plus jeune un peu : la princesse Alix semblait tellement solitaire et désolé sans son petit playfellow, princesse mai.

     

     À gauche : La Reine Victoria avec la princesse Victoria, Elizabeth et Alix de Hesse, en 1879.

     

     

    La grande-duchesse Alice avait toujours eu la gestion entière de l'éducation des enfants, et après que sa mort, le Grand duc a suivi scrupuleusement les directives qu'elle a donnée.Elle n'était pas plus, mais son influence reste.Gouvernantes des Princesses consulté le grand-duc sur des détails mineurs, mais essentiel suivre les idées de sa femme.Trop, depuis cette époque, la Reine Victoria a pris un intérêt particulier à ses petits-enfants orphelins.Les Miss Jackson et de Prince Ernest Louis tuteur devait écrire des rapports mensuels à la Reine, dont les réponses autographes de Miss Jackson montrent qu'elle est allé dans chaque petit détail et qu'il a souvent donné des instructions précises.

    Ces lettres expriment des idées de la Reine sur l'éducation féminine.Ils peuvent frapper le lecteur comme démodés, mais Miss Jackson, tout en gardant dans les grandes lignes de conseils judicieux de la Reine, évidemment adaptés aux exigences des temps plus modernes.

     

     
    Le Grand duc avec ses enfants, dans le sens horaire de gauche, Ernest-Louis, Elizabeth, Irene, Victoria, le grand-duc Louis et Alix (Alexandra)

      

    Les premiers mois après le décès de sa mère étaient des souffrances indicibles et la solitude de la princesse Alix et probablement a jeté les bases de la gravité qui réside au fond de son personnage.Elle était maintenant tout seule dans la pépinière.Même Prince Ernest Louis, qui avait maintenant dix ans, avait un tuteur pour l'empêcher de leçons tous les jours, et la princesse Irène, qui a six ans, avait rejoint les Princesses aînées dans la salle de classe.Princesse Alix de rappeler longtemps après ces mois mortel tristes quand, petit et solitaire, elle s'est assise avec les vieux « Orchie » en pépinière, essayer de jouer avec des jouets de nouveau et inconnus (tous ses plus anciennes ont été brûlés ou être désinfecté).

    Quand elle l'a regardé, elle a vu sa vieille nourrice pleurer silencieusement.La mort de son bien-aimé de la grande-duchesse et de la princesse mai avait presque brisé son cœur fidèle.

    Jusqu'à cette époque la princesse Alix avait été dans l'ensemble un enfant joyeux.Elle était colérique et désiré ardemment les choses, même si elle a montré la grande modération même à un âge précoce.Elle était généreuse et même dans son sommeil incapable de tout mensonge enfantin.Elle avait un cœur chaud et affectueux ;était obstinée et très sensible.

    Un mot chance pourrait se blesser, mais, même comme une petite fille, elle n'a pas montré comment profondément qu'elle avait été blessée.C'est le caractère de son enfance, et de nombreux traits indique la future femme.

    La Reine Victoria, qui aimait le Grand duc de Hesse comme un fils, le pressa de venir à lui avec tous ses enfants dès que possible, et en janvier 1879, la famille alla à Osborne pour un long séjour.Ici, par degrés, ils ont récupéré, mentalement et physiquement et revient à Darmstadt deux mois plus tard, accompagné par le Prince Léopold (duc d'Albany).Il avait toujours été un oncle préféré.

    Les deux Princesses aînées a essayé de prendre place de leur mère comme compagnons de leur père et étaient constamment avec lui.La princesse Victoria de seize ans, s'occupait de ses frère et sœurs et a agi comme maîtresse de la maison.La famille Grand ducale qui alla première année à Schloß Wolfsgarten, et le nouvel environnement et l'élasticité de la jeunesse a aidé les enfants à retrouver leur vitalité.Leur retour pour le nouveau palais à l'hiver 1879-1880, et la princesse Alix a commencé sa vie solitaire schoolroom.Elle était acharnée à son orthographe sous les yeux du fidèle Orchie ;maintenant est venu l'assez formidable Fraulein Anna Textor, une connexion de Goethe lui-même, qui, en vertu des orientations générales de Miss Jackson, à bord de son éducation.

    Miss Margaret Hardcastle Jackson, « Madgie » comme la princesse Alix affectueusement appelée plus tard, était une femme esprit, cultivée, qui ont rapidement acquis une forte influence sur ses élèves, particulièrement l'aîné.Elle a impressionné la grande-duchesse Alice par ses idées avancées sur l'éducation féminine.Elle a tenté non seulement afin de transmettre des connaissances à ses élèves, mais de former leurs caractères moraux et d'élargir leurs points de vue sur la vie.

    Un homme politique vif, elle était toujours profondément intéressée à toutes les questions politiques et sociales importantes de la journée.Jeunes comme ils l'étaient, Miss Jackson discute toutes ces questions avec les enfants, éveiller leur intérêt pour les questions intellectuelles.Ragots de toute sorte n'était pas permis par elle.Les Princesses ont été formées pour parler sur des sujets abstraits.Il est regrettable que Miss Jackson estime trop vieux et fatigué et qu'il devait prendre sa retraite avant d'avoir achevé assez éducation de la princesse Alix, lors de son exposé plus jeune a seulement quinze ans, comme elle aurait certainement pu à habituer les pour faire sortir de sa réserve et acquérir une perspective plus simple et plus facile sur la vie.

    Avec le souci du détail qui a toujours caractérisé lui, princesse Alix a donné son énergie tout à ses leçons.Elle a toujours eu un fort sens du devoir, et ses professeurs certifient qu'elle souhaite toujours volontiers abandonner tout plaisir qu'elle croyait pourrait empêcher sa finition certaines tâches pour le lendemain.Des échantillons de son écriture à l'âge de sept ans montrent qu'il est merveilleusement soignée et ferme, et elle avait une mémoire très retention.Au moment où qu'elle avait quinze ans, elle est bien ancrée dans l'histoire, la littérature, la géographie et toutes les matières générales, notamment celles relatives à l'Angleterre et l'Allemagne.

    D'après ses lettres à sa sœur aînée, elle s'est acharnée sans un murmure à sec fonctionne comme la de Guizot Reformation de littérature, de la vie de Cromwell et Geschichte der Hohenstaufen de Raumer en neuf volumes : par rapport à celles-ci, Paradise Lost, dont elle a lu dans les intervalles, doit ont semblé lecture très léger !Elle avait un professeur de français, et bien que son accent était équitable, elle jamais devient complètement à domicile dans cette langue et toujours ressenti » étroit, » comme elle dit, elle, à une perte de mots.Cela lui gêné plus tard en Russie, où le français était la langue officielle à la Cour.L'anglais était, bien sûr, son langage naturel.

    Elle a parlé et il a écrit à son frère et sœurs et plus tard à son mari et ses enfants et à tous ceux qu'elle connaissait bien.

    La princesse Alix avait une de ces natures sensibles qui réagissent plus facilement de la musique.Elle a « adoré » Wagner et les classiques, et quand elle a grandi à chaque concert à sa portée.Son professeur de musique était un hollandais, W. de Haan, à l'époque directeur de l'opéra de Darmstadt, qui loue grandement sa capacité musicale.

    Elle joue du piano avec brio, mais sa timidité fait extrêmement timides chaque fois qu'elle a joué devant des gens.Elle a dit à l'auteur de la tourment qu'elle endure quand la Reine Victoria lui a fait jouer en présence de ses invités et suite à Windsor.Elle a dit ses mains moites senti littéralement collés aux clés et qu'il était un des pires épreuves de sa vie.

    Elle ne pas excel en dessin, mais était un bon artisane et conçu bagatelles attrayants, qui elle a donné à ses amis ou à des bazars de charité.Son intérêt pour l'art développé en général plus tard sous l'influence de son frère.

    Le Grand duc Louis IV a été beaucoup avec ses enfants et en été, aimait à leur propos de prendre avec lui aux fonctions dans différentes villes, ou à des manoeuvres.Princesse Alix avait un très grand amour pour son père, et son plus grand plaisir ne connaissait aucuns limites lorsqu'elle a été incluse dans ces expéditions.Elle aimait son pittoresque « Hessenland. »

    Elle chérie les souvenirs de son enfance et la jeunesse et toujours dans son esprit séparé Hesse complètement du reste de l'Allemagne, où elle avait l'air sur la Prusse et comme un pays différent.Elle se rend à Berlin que deux fois sur courtes visites avant son mariage.

    Presque chaque automne pour que le grand-duc de Hesse a pris ses enfants à Windsor ou à Osborne, ou plus souvent, à Balmoral, il était un sportif passionné et un bon coup.Ces visites étaient la meilleure partie de l'année de sa plus jeune fille.Ils ont développé son mental, trop, comme ils l'a amenée en contact non seulement avec ses cousins, mais aussi avec l'entourage de la Reine, les politiciens et notables de toutes sortes.En écoutant leur conversation au déjeuner, son intérêt pour les questions au-delà de ses années a été inconsciemment réveillé, et à treize ans la princesse Alix regardé et parlé comme une fille beaucoup plus vieux.Son point de vue anglais sur de nombreuses questions en fin de vie était certainement en raison de ses nombreuses visites en Angleterre à cet âge plus impressionnable.

    La famille Grand ducale considérés eux-mêmes presque comme une branche de la maison royale britannique.Ils sentaient un avec elle et prit part à toutes les fêtes familiales.En 1885, fêtes de la de princesse Alix ont été pressés sur pour lui permettre d'agir en tant que demoiselle d'honneur de sa tante, la princesse Béatrice, qui épousa le Prince Henri de Battenberg, le 23 juillet 1885.C'était bien sûr un grand événement pour les treize années vieille princesse.

    À Wolfsgarten le Grand Ducal famille avait des visites fréquentes de leurs relations avec les anglaises : le Prince de Galles (le roi Edward VII), le marquis et marquise de Lorne (Princess Louise), le duc d'Albany et, le plus souvent, le Prince et la princesse chrétienne, dont les enfants, Princesses Marie Louise et Helena Victoria, ont été de grands amis de la princesse Alix.Les jeunes enfants de la princesse de Couronne - Allemagne (plus tard l'impératrice Frederick), les Princesses Sophie et Margarethe, maintenant reine-douairière de la Grèce et le landgrave de Hesse, vint aussi souvent à Wolfsgarten.

    Les Princesses aînées ont été rapides croissante dans la féminité.La princesse Victoria et la princesse Elizabeth (Ella) sortirent en 1881, mais la princesse Alix seulement entendu des échos de leurs faits et gestes gay.Elle a été promue afin de partager la salle de classe avec Irène âgé de 15 ans, mais ce dernier avait ses propres amis et princesse Alix a encore beaucoup de choses par elle-même.Dans son environnement immédiat, ses deux dames ont certainement un rôle dans le développement du personnage de la princesse Alix.Il s'agissait de baronne Wilhelmine Senarclens Grancy, Dame de compagnie pour les quatre Princesses et plus tard Dame de Alix princesse, Fraulein Margarethe (Gretchen) von Fabrice.Grancy baronne était une femme de la vieille école, dressée, honorable, genre, si peut-être un trifle stricte.

    Elle a été un véritable ami de la famille et tendrement aimé petite princesse Alix, qui, quant à tout, elle ne pas abstenir parfois donner un peu de son esprit.Le flexible, robuste, petit, vieille dame était incapable de toute sincérité et l'incarnation de l'obligation.Jamais elle-même permettant la relaxation d'un moment, elle prêchait toujours que « on doit rassembler soi-même, » et ne donne pas, physiquement ou moralement ;et elle a inculquée ce principe dans la princesse Alix, qui a toujours été très dure avec elle-même toute sa vie.Sa manière vers l'extérieur a été brève et brutale, et, dans les premières années, la princesse Alix peut ressentir son plus un ami d'un mentor.

    Fraulein von Fabrice a été nommée Dame d'honneur de la princesse Alix spécial lorsque la princesse a seize ans, et qu'elle était dans la vingtaine.Elle a vécu en Angleterre comme gouvernante de la princesse Christian filles.But de Fraulein von Fabrice était de guider la princesse.Elle avait des idéaux élevés et nobles et était très religieuse, mais, comme elle était timide elle-même, elle ne pouvait aider la princesse à lutter contre sa timidité.Son idéalisme a certainement influencé la princesse Alix, qui a formé une grande amitié avec elle, mais elle devint rapidement réticent en parlant des choses qui lui touché profondément, craignant sa sympathie trop démonstratif.

    Toni Becker, ami de son enfance, a été accueilli, parfois, de partager ses pensées, et le jeune héréditaire grand-duc Ernest Louis, quand il était à la maison, partage beaucoup d'autres.Il était le seul véritable ami de sa jeunesse, et amour de leur enfance et de la compréhension approfondi comme la différence entre leurs âges a égalisé par heure ;et quand il est allé à l'Université elle manque lui cruellement, pour une fois de plus, elle était seule.

    En 1884, il y avait grand enthousiasme parmi les jeunes gens au Palais de Darmstadt, de leur sœur aînée, la princesse Victoria, qui régnait toujours sur la pépinière et avait si habilement porte ses jeunes sœurs depuis la mort de leur mère, est fiancée à son cousin, le Prince Louis de Battenberg.Les festivités de mariage a eu lieu à Darmstadt le 30 avril 1884 ; La Reine Victoria, le Prince et princesse de Galles et le Prince de Couronne allemand et la princesse étant présents.Les jeunes Princesses ont été tellement excitées par l'événement que cette première pause dans leur cercle familial n'avait aucune tristesse, particulièrement comme la princesse Victoria a promis de revenir à Darmstadt dès que son mari marin était en mer.

    Pas plus tôt a l'excitation de ce mariage diminué, que les préparatifs pour le mariage de la princesse seconde, Elizabeth, qui avait été engagée pendant un certain temps le grand-duc Serge, le frère de l'empereur Alexandre III de Russie.Princesse Elizabeth avait connu le Grand duc de l'enfance, comme il était souvent resté pendant des mois à la fois à Jugenheim avec sa mère, l'impératrice Marie Alexandrovna, épouse d'Alexandre III.La princesse Elizabeth (Ella) a été une très jolie fille, haute et équitable, avec des caractéristiques régulières.Elle est la personnification de l'altruisme, toujours prête à faire n'importe quoi pour faire plaisir aux autres.Elle est joviale, avec un solide sens de l'humour et comme un enfant toujours le pacificateur en pépinière et en salle de classe, un favori avec toutes ses sœurs et frères et un lien entre eux.

    Après une visite en Angleterre au printemps 1884, toute la famille Grand ducale se rend à Saint-Pétersbourg pour le mariage de la princesse Ella.La princesse Alix, âgé de seulement douze ans à l'époque, était plein de joie et d'anticipation à l'idée du voyage.Remonter les long laids étendues de pays de la frontière russe à Saint-Pétersbourg, empreintes de princesse Alix de ce qui devait être son pays ne peut pas été aussi très thrilling ones.Mais, heureusement, elle s'intéresse à tout, et tous les jeunes gens sont arrivés dans une ambiance très joviale à Peterhof, puis la résidence de la Cour de Russie.La future grande-duchesse fait son entrée d'État dans le capital d'un entraîneur doré dessiné par palfreys blancs qui étaient dirigés par des fonctionnaires d'or-liveried.

     

    À Saint-Pétersbourg, que les cérémonies de mariage superbe a eu lieu, suivie de nombreuses festivités, dans laquelle la princesse Alix, à son grand dam, n'a pas pris part.Mais elle a été récompensée par les jours délicieuses que toute la famille a par la suite passée à Peterhof, où, pour la première fois, elle a rencontré son futur mari, le tsarévitch Nicolas Alexandrovitch, et ses frères et sœurs.Le groupe de jeunes se sont amusés dans les jardins et a sight-seeing de Alix ensemble, la princesse le plus vif parmi eux.Elle pourrait rejoindre toujours plaisir soigneusement et pouvait rire à une blague jusqu'à ce les larmes coulèrent sur ses joues, même dans les jours plus tard, mais il n'a pas été amenée à définir le rire va.

     

    Orientés.1 de la grande duchesse Serge était plus triste que ceux de la princesse Victoria.La sœur aînée avait ses parents-dans-Loi de Hesse, et il y avait la perspective de voir souvent, alors que la distance de la Russie était grande.Le cercle de famille a été réduit pendant l'hiver à Darmstadt.Il a été encore plus petits par la mort de la mère du Grand duc, ancienne princesse Charles.Elle avait beaucoup de douleurs et a vécu une vie très ancien dans son propre palais à Darmstadt, beaucoup de temps à consacrer à des œuvres charitables ;mais elle avait été très aimable à ses petits-enfants motherless et a été sincèrement pleurée par eux.

      

    Au printemps 1885, le grand-duc et la grande-duchesse Serge vient à Wolfsgarten et a passé une partie de l'été il.Le Prince et la princesse Louis de Battenberg bientôt les rejoint avec leur petite fille, la princesse Alice (princesse Andrew de la Grèce), un merveilleux jouet pour la princesse Alix.C'est le premier d'une série d'heureuses rencontres familiales qui ont lieu presque chaque année.

    Le grand-duc Serge était beaucoup apprécié par la famille de sa femme.Il a été un véritable grand seigneur, de haute culture, tempérament artistique et l'activité intellectuelle, bien qu'une certaine timidité fit paraître en apparence rigide et insensible.Il a pris un goût de grand à petite princesse Alix, qu'il admirait beaucoup.Il a utilisé pour lui taquiner sans et souvent réduite à un état de confusion blushing, qu'elle a vraiment aimé plutôt.Le Grand duc de Hesse était toujours prêt à se joindre à l'amusement de ses enfants et aimait faire avec ses quatre jolies filles.Princesse Irene agissait maintenant comme hôtesse pour son père.

      

    La princesse Alix utilisé parfois pour être accueilli comme un grand plaisir à apparaître dans les thés dansants, qui ont été donnés pour la princesse Irène, et dans les années 1886-1887, elle a commencé à voir quelque chose des jeunes gens de Darmstadt.La dernière année a été marquée par des célébrations du jubilé de la Reine Victoria, dont le Grand duc a eu ses deux plus jeunes filles.

      

    Mais comme la princesse Alix ne sort pas », « beaucoup à son grand regret, elle a vu seulement la procession dans les rues.

     

     

    Sources

    http://www.microsofttranslator.com/bv.aspx?from=&to=fr&a=http%3A%2F%2Fwww.alexanderpalace.org%2F2006alix%2Fchapter_II.html

     

     

     

     

     

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    Dans cette biographie, j'ai essayé d'être impartiale.

    J'ai eu le privilège de connaître l'impératrice Alexandra Feodorovna bien.

      

    Je connaissais ses qualités et ses faiblesses.

    J'ai regardé son inlassable travail pour son pays et sa famille.

    Je l'ai vue en jours de joie et en jours quand l'âme humaine est dépouillée de toutes les conventions qui entourent le grand.

     

     

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    J'ai essayé de faire cela, pas la biographie officielle d'un État souverain, mais la vie d'une femme très humaine, contrainte par le destin d'être une héroïne de tragédie.

     
     
     
    Ci-dessus : Gauche, comtesse Hendrikov ;
    à droite, Baronne Sophie Buxhoveden.
     
     
     
     
    Caractère de l'impératrice était très complexe.
      
    Amour pour son mari et ses enfants était son trait dominant.
    Elle était une épouse idéale et la mère ; ses pires ennemis ne peuvent pas nier sa ce.
     
     
     
      
    Elle était une femme très féminine et pas toujours logiquement raisonnable lorsqu'il s'agissait d'un conflit entre la raison et de l'affection.
      
    Son intelligence est toujours subordonné à son cœur.
     
     
    Les enfants Romanov
      
      
    Dans ses rapports avec d'autres personnes, son idéalisme souvent lui fait trouver le bien que sa propre nature l'a amenée à s'attendre.
      
    Sa timidité inhérente, qui elle n'a jamais étée capable de conquérir, a été mal comprise et considéré comme fierté.
     
     
      
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    Elle a jamais acquis la manière vers l'extérieur facile et prêt sourire que gagner le cœur du public et sa modestie lui empêché de se battre pour la popularité qu'elle a si ardemment souhaitée à cœur.
     
     
     Les enfants Romanov

     

      

    Son intense amour pour son fils unique, qui souffrait de la terrible maladie héréditaire de l'hémophilie, et son inquiétude pour son état de santé a augmenté sa foi en Raspoutine, guérisseur, .

      

    Elle s'accroche à lui quant à la dernière paille qui pourrait s'avérer

    l'épargne de son enfant.

     

    La nature de l'impératrice a un mystique côté-elle descendait dans la maison de Hesse (Brabant) de Saint Elizabeth de la Hongrie et l'idée de la guérison par la prière avait pour elle un appel.

      

    C'est sur ce côté et de ce côté seulement, que Rasputin influencé .

      

     

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    L'impératrice a été cruellement calomniée et une injustice flagrante.

    Son manque d'expérience politique, sa confiance en la bonne innée de l'humanité, a fait son commettre beaucoup d'erreurs de politique.

     

      

    Mais dans tout ce qu'elle a fait, elle a été guidée uniquement par son amour pour le pays de son adoption.

      

    Elle arrive en Russie avec de grands idéaux de l'obligation.

      

    Elle croyait que l'épouse du souverain est la mère du pays - le « Validé »,

    comme le peuple tartare appelé lui.

     

     

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    Elle travaille sans cesse à améliorer les conditions des classes les plus pauvres, fondateur des écoles et les hôpitaux, combats avec ténacité contre les nombreuses difficultés de mise en route.

      

      

    Elle n'a à cet égard pour la Russie n'a jamais été informé et a, depuis la révolution, été systématiquement ignoré par tous ceux qui ont écrit sur elle.

      

    L'impératrice adoré la Russie et les Russes.

      

    Aucun sacrifice ne pourrait être trop grand pour la Russie, même la Couronne de son mari et à l'héritage de son fils.

      

    Lorsqu'elle a entendu parler de l'abdication de l'empereur, ses seuls mots étaient « Dieu donne que cela sauve la Russie! »

     

      

    L'histoire se répète. Dans une révolution il y a toujours une figure sur laquelle les hautes lumières de l'automne et dont chaque action est susceptible d'une interprétation erronée. En ces temps un mot peut définir la boule de calomnie laminage ;

      

    Elle pousse comme une boule de neige, jusqu'à chaque mal, chaque acte regrettable, est attribuée à l'un, souvent innocente, cause.

      

    Marie Antoinette, bien que son personnage était tellement différente de celle d'Alexandra Feodorovna, a joué le même rôle dans l'histoire de la Révolution française.

     

    Olga et Tatiana Romanov : Grandes Duchesse de Russie  

      

      

    Vers la fin l'altruisme et la sérénité spirituelle de l'impératrice grandit chaque jour et sont visibles dans le courage et la noblesse, avec laquelle elle portait, sans un souffle, le long martyre d'humiliation incessants de dix-sept mois.

      

    Sa faim et la soif ont été pour la justice.

      

    À la dernière, dans son mémoire chrétienne au divin sera, elle doit avoir reconnu la vérité, elle a demandé, et c'est la Pitié suprême qui lui a envoyé l'accomplissement de la prière de Ruth et avec son mari l'a quittée.

     

      

    Ce livre est l'enregistrement d'une vie, pas le récit d'événements quotidiens à la Cour. Ces que mai un jour dire à mes propres souvenirs.

      

    C'est un compte exact de la vie de l'impératrice Alexandra Feodorovna,

    que je sache il a été.

     

     

      Olga Romanov

      

    Peut il aider à supprimer les fausses impressions données par des personnes qui, au mieux, savaient lui que légèrement, et à l'avenir elle peut aider le redécoupage sain d'esprit de l'histoire !

     

      Image du Blog croissantdelune.centerblog.net

      

    J'ai eu l'avantage de la référence à des sources plus authentiques.

      

    L'impératrice elle-même, dans nombreuses conversations, m'a donné des détails que je cite sur son enfance et sa jeunesse.

      

    J'ai vu et parlé à beaucoup de gens qui connaissait en Allemagne et en Angleterre dans ses jeunes années.

      

    J'ai été capable de lire les lettres, non accessible à l'écrivain ordinaire et ont ajouté mes propres impressions et souvenirs.

      

    De 1913, tous les incidents que je décris sont celles dans laquelle j'ai participé.

      

    Dates précédentes, noms, incidents, etc., ont été vérifiés par mes deux collègues anciens, la princesse Elizabeth Nicholaevna Obolensky et

    la princesse Marie Viktorovna Bariatinsky.

     

      

    Je dois mendier l'indulgence de mes lecteurs pour beaucoup d'erreurs.

      

    Je suis un russe et écrire dans une langue pas toute ma propre, sans expérience littéraire, si précédent. J'ai mis sur l'enregistrement des événements et de mes idées à leur sujet, comme ils sont venus à moi. Dans certains cas j'ai été obligé d'éviter de mentionner les noms, en raison de la triste situation maintenant dans mon pays malheureux.

     

      

    Je dois la plus profonde gratitude aux relations et aux amis de l'impératrice Alexandra Feodorovna pour m'avoir gentiment prêté lettres et photographies pour publication ; également à M. Pierre Gilliard pour obtenir la permission d'utiliser une partie de ses photographies et de faire des citations de son livre 11 treize ans à la Cour de Russie « (MM. Hutchinson).

      

    Je suis redevable de certaines citations de lettres de l'impératrice « Souvenirs de la Cour de Russie » de Mme Vyroubova (MM. Macmillan) et « The Real tsarine » de Mme Lily Dehn (MM. Butterworth).

      

    Aussi « Die Tragedie der Zarenfamilie » du Dr Ernst Seraphim et de M. Paléologue de « Mémoires d'un ambassadeur » (MM. Hutchinson) pour quelques extraits.

      

    Je suis bien obligé de MM. Payot et Cie pour les autorisant à moi pour publier des photos qui ont paru dans leurs publications et de Frau von Kaulbach pour obtenir la permission de reproduire dans ces pages un portrait de l'impératrice, peint par la fin F. A. von Kaulbach.

     

    Je tiens à présentér ma plus chaleureuse grâce à M. J.C. Squite et M. R. Longman pour leur intérêt et de la nature critique de mon travail, et aussi à mon amie, Mlle Kathleen Conyngham Greene, pour ses encouragements constants et les conseils utiles, pour tous dont je remercie chaleureusement.

      

    Enfin, à Miss Grace Chapman, dont j'apprécie profondément les précieuses suggestions et aide à la lecture de la preuve.

     

    SOPHIE BUXHOEVEDEN
    BRUXELLES
    Juillet 1928

     

     

    Sources:

    http://www.microsofttranslator.com/BV.aspx?re

    f=IE8Activity&a=http%3A%2F%2Fwww.alexanderpalace

    .org%2F2006alix%2Fpreface.html

      

      

      

     

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