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    LE DRAME DES ROMANOV

      

    Dans la nuit du 17 juillet 1918, le Tsar Nicolas II, son épouse Alexandra Feodorovna, leurs enfants Olga, Tatiana, Maria, Anastasia et Alexis ainsi que leurs serviteurs sont massacrés par les bolchevicks.

    Le règne de Nicolas II s'était achevé le 2 Mars 1917 par une abdication.

    Comment la dynastie ROMANOVen est-elle arrivée là ?

     

    ***

    D'abord, un peu d'HISTOIRE :

    En 1605 "le tsar" (césar, empereur) Boris Goudounov, qui avait succédé, après avoir été choisi par l'assemblée des "boyards" (seigneurs) à Ivan IV le terrible, meurt.

     

    Suit une période de troubles pendant laquelle plusieurs prétendants au trône sont en lutte. Le 21 février 1613 l'assemblée élit comme nouveau tsar Michel Romanov (16 ans) dont le grand-père était le frère de la première épouse d'Ivan IV. C'est le début de la dynastie des Romanov.

     

    ---------- A titre de repère sachons qu'en France, Henri IV a été assassiné en 1610 et que Louis XIII (9 ans en 1613) règne, sous la Régence de sa mère Marie de Médicis. ----------

    Michel 1er et ses successeurs vont rétablir l'ordre, agrandir et asseoir leur Empire pour en faire un des principaux Etats du monde. Parmi les tsars de cette dynastie notons particulièrement :

      

    Pierre 1er le grand, qui en 1689 prend le pouvoir, fonde Saint-Pétersbourg, ouvre la Russie sur l'Occident et la modernise ;

    Catherine II la grande, dès 1762, fut un "despote éclairé"qui agrandit l'Empire et réorganisa l'administration ;

      

    Alexandre 1er, en 1801, rival de Napoléon 1er et dit "le libérateur de l'Europe"

    Alexandre II, en 1856, tsar réformateur qui abolit le "servage" et entama de nombreuses réformes mais fut assassiné en 1881 ; Alexandre III qui lui succède, entreprend la répression du terrorisme (durcissant à nouveau le régime impérial) et est l'artisan de l'alliance franco-russe .

    Il meurt très rapidementen 1894 ; son fils Nicolas II n'est pas préparé à règner...

     

     

    Pierre Ier le grand ------ blason des Romanov ----- Catherine II

    Alexandre Ier                 Alexandre II                        Alexandre III

     

    http://ancrehistoire.fr/romanov/romanov.html--->

      

     

    LE REGNE DE NICOLAS II

     

    Les premières années

    Le jeune tsar est très réservé, bien éduqué (il est bon cavalier, parle plusieurs langues, ...) mais n'a pas été initié à la politique sauf pour des démarches officielles.

    C'est au cours d'un de ces voyages qu'il rencontre sa future femme Alix de Hesse, cousine de Guillaume II de Prusse.

    Il l'épouse, le 28 novembre 1894, sous le nom russifié d'Alexandra Fédorovna.

    Le 26 mai 1696 il est couronné à Moscou Empereur et autocrate de "toutes les Russies" (terme hérité du temps de diverses principautés russes) et Basileus (ancien titre des empereurs de Byzance) de l'église orthodoxe russe.

     

    Couronnement de Nicolas II

    Conseil d'Etat présidé par le Tsar
    Serge de WITTE

    Un règne difficile

    Malgré une conjoncture économique favorable et un premier ministre, Serge de Witte, très entreprenant qui sait attirer les capitaux étrangers pour moderniser le pays, Nicolas II ne voudra pas comprendre que la modernisation du pays passe aussi par l'évolution sociale, particulièrement l'amélioraion du sort des ouvrierset des paysans.

      

    Il ne conçoit pas non plus cèder lea moindre parcelle de son pouvoir autocratique Le 22 Janvier 1905 une manifestaion pacifique est menée à Saint-Pétersbourg devant le palais impérial (d'où le Tsar est absent) et réprimée dans le sang - le dimanche rouge - prélude à une première Révolution qui amènera Nicolas II à autoriser la Douma assemblée parlementaire aux pouvoirs limités... qu'il s'efforcera vite de réduire.

    En politique extérieure il souhaite renforcer ses positions par des victoires de prestige et fait occuper la Mandchourie en 1901. Début 1904 les Japonais, menacés dans leur hégémonie asiatique, attaquent l'escadre russe ; c'est la guerre et l'accumutation des défaites pour l'armée russe jusqu'à la paix en 1905.

     

    A partir de 1906, Piotr Stolypine est au pouvoir. Il pense que seul le développement économique du pays peut stopper la montée révolutionnaire et va mener de front une politique de répression et de modernisation, particulièrement une "réforme agraire" qui va lui valoir la haine des grands propriétaires fonciers qui seront probablement à l'origine de son assassinat en Septembre 1911.

     

     

    Malheureusement son oeuvre, qui aurait pu sauver le régime tsariste, n'est pas poursuivie.

    Les troubles et les grèves redoublent.

     

    Parallèlement, l'emprise du moine Raspoutine sur l'esprit du Tsar, et surtout de la Tsarine, s'est affirmée et ne contribue pas à la popularité de cette dernière... (voir sur ce même site, dans "Enigmes " : Raspoutine.)

     

    Quelques bonnes mesures sociales sont cependant adoptéese n 1912 et, en 1913, la célébration du tricentenaire de la Dynastie Romanov est un grand succès populaire... mais qui sera de courte durée car déjà la Guerre se prépare en Europe.

     

    Piotr Stolypine

    Tricentenaire de la Dynastie ROMANOV

     

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     Tsarevich Alexei:

     

    Les années sombres

    Nicolas et Alexandra ont eu 4 filles mais le trône attend un héritier, accueilli dans la liesse le 12 août 1904.

    Mais quelques semaines plus tard on se rend compte que le tsarévitch Alexis est atteint d'hémophilie (maladie génétique transmise par les femmes - ici sa grand-mère Victoria de Grande Bretagne- qui n'atteint que les hommes).

     

    L'enfant est très fragile, sujet à de fréquentes hémorragies, maladie que les médecins sont impuissants à soigner à cette époque.

     

    La vie de la famille impériale va se concentrer sur le petit malade .

     

    Il semblerait que le moine Raspoutine l'aurait sauvé, par l'impostion des mains et la prière, en 1907 et en 1912, d'où son influence à la Cour.

     

    La situation internationale est alors très tendue.

     

    En juillet 1914 un Serbe assassine l'héritier de l'Empire austro-hongrois.

     

    L'Autriche déclare la guerre à la Serbie ; la Russie s'est rangée aux côtés des Serbes (slaves), laPrusse à ceux de l'Autriche.

     

    Par le "jeu des alliances" la France et l'Angleterre vont entrer en guerre contre la Prusse...

     

    Alexis Nicolaïevitch Romanov

    Alexis et Nicolas II passant les troupes en revue

     

     

    La Guerre

    Les opérations militaires s'ouvrent à l'est par l'offensive des troupes russes en Prusse orientale.

     

    Cette offensive est écrasée par Hindenburg, montrant le manque d'équipement et d'armement de l'armée impériale.

     

    En août 1915, Nicolas II prend lecommandant des armées, écartant son oncle le grand-duc Nicolas Romanov.

     

    Plus tard il fera venir à ses côtés le tsarévitch dont la santé s'est provisoirement améliorée.

     

    Trop éloigné de la capitale il laisse le pouvoir à l'impératrice Alexandra Feodorovna et à celui qui est devenu son conseiller, Raspoutine, tous les deux discrédités auprès de la noblesse et du peuple.

     

    L'assassinat de Raspoutine, en décembre 1917, ne rétablit pas la situation politique.


    La Douma et les partis ouvriers s'agitent.

    On demande alors ouvertement l'abdication du tsar et l'exil de la tsarine !

     

    Alexei Romanov, only son of Tsar Nicholas II of Russia and Tsaritsa Alexandra.:

    Des promesses du Tsar à la Douma pour donner à celle-ci plus de pouvoirs seraient absolument indispensables.

     

    Il s'y refuse.
    Les mouvements des grève ont repris et se s'amplifient d'heure en heure.


    Les militants bolcheviks s'emploient à démoraliser les troupes.


    Lénine veut transformer la guerre en guerre civile pour renverser le régime.

    Le Tsar, loin de Pétrograd (Saint-Pétersbourg) est à son Q.G. en Biélorussie.


    Le 25 février, ne réalisant pas le danger de la situation, il ordonne de faire cesser par la force les désordres à Pétrograd.



    Ce refus de toute négociation, de tout compromis fait basculer cette révolte en une révolution .

    Le 27 février, la garnison de Pétrograd (150 000 hommes) se joint aux insurgés.

    L'État-major fait pression sur le Tsar pour que celui-ci abdique afin de sauver l'indépendance du pays et assurer la sauvegarde de la dynastie.


    Le 2 mars 1917, Nicolas II renonce au trône, non en faveur de son fils qu'il sait très fragile, mais de son frère, le grand-duc Michel.
    Devant l'opposition populaire celui-ci renfuse
    la couronne le lendemain.

    L'Acte d'Abdication de Nicolas II

     

    - En moins d'une semaine le Régime impérial des Romanov a été abattu. -

     

     

    Le Calvaire

    Consignés à Tsarkoïé Selo (palais d'été) de Mars à Juillet 1917 les prisonniers ont encore une vie presque normale, même si sorties et visites leur sont interdites ; ils sont dans le palais avec leurs serviteurs et les ex-souverains s'improvisent précepteurs de leurs enfants.
    Le Gouvernement provisoire de Kérensky souhaite, au départ, favoriser l'exil de la famille vers la Grande-Bretagne, mais celle-ci, y compris le Roi, cousin du Tsar, n'y sont pas favorables.... Les choses traînent et deviennent impossibles.


    La surveillance et les brimades se multiplient ; les gardes changés souvent, sont de plus en plus hostiles et grossiers.

    Le 31 juillet, les prisonniers sont transférés à Tobolsk, en Sibérie, dans la maison du Gouverneur où la vie est encore convenable ; ils ont toujours leurs serviteurs, peuvent parfois sortir et les habitants leur apportent fréquemment des provisions car les vivres commencent à manquer.

    En Avril 1918, les bolchevicks se sont installés. On prévient l'ex-Tsar qu'il va être transféré.
    Il est arrêté dans l'Oural, à Eckatérienbourg. L'état d'Alexis ne lui permettant pas de voyager il va rester avec 3 de ses soeurs encore quelque temps à Toboslk avant que la famille soit à nouveau réunie.
    Ils sont alors enfermés dans une grande bâtisse inconfortable, la maison Ipatiev, bientôt entourée d'une palissade, fenêtres barbouillées de peinture afin de ne pas voir - et de n'être pas vus- à l'extérieur. Les portes intérieures sont constamment ouvertes ne laissant aucune intimité et les Gardes sont choisis parmi les plus farouches ennemis du régime impérial ; la famille subit les obscénités et les pires vexations.

    - Seule leur unité et leur foi en Dieu ont pu permettre leur survie dans de telles conditions -

     

     

    L'ex-Tsar, à Tsarkoïé-Selo
    où il est prisonnier avec sa famille,
    gardé, dès la mi-mars, par des contingents révolutionnaires.

    Tobolsk : 1918

     

    La maison Ipatiev

    Pendant ce temps la situation du Gouvernement russe, maintenant assuré par Lénine,
    depuis Octobre, s'est détériorée tant à l'extérieur qu'à l'intérieur où une armée "blanche" (monarchiste) a été levée et s'approche d'Ekatérienbourg.
    Lénine
    aurait alors donné alors l'ordre de tuer la famille impériale.

    L’exécution a lieu dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918 au sous-sol de la maison Ipatiev où toute la famille est rassemblée .


    Le Massacre

    Les premières balles tuèrent sur le coup le Tsar, sa femme, son fils et leurs serviteurs. Les autres balles avaient blessé les filles du Tsar.

     

    Le groupe s'approcha d'elles et les exécuta d'une balle dans la tête.

     

    Puis, en cas de doute, les corps furent achevés à coup de hache et de baïonnette. sur le même lieu, en même temps étaient assassinés le médecin de la famille, la femme de chambre, le valet de chambre et le cuisinier.


    Les corps sont ensuite chargés dans un camion et jetés dans un ancien puits de mine après avoir été dépouillés de tous leurs vêtements et bijoux.

     

    De crainte qu'ils ne soient retrouvés, la nuit suivante, un autre groupe récupère les corps pour les enfouir plus loin dans les bois.

     

    Deux corps sont brûlés pendant que l'on creuse une fosse pour les autres que l'on arrose d'acide sulfurique avant de les recouvrir de terre et de traverses de chemin de fer.

    Quelques jours plus tard les "Blancs" prennent Ekatérienbourg
    mais ne savent pas ce qu'est devenue la famille impériale....

    ***

    De juin 1918 à janvier 1919, 18 membres de la dynastie des Romanov sont assassinés.


    --->

    --->

     

    Epilogue

    En 1976 deux chercheurs-enquêteurs privés, se fondant sur divers témoignages et écrits,
    se lancent à la recherche de l'emplacement où fut enterrée la famille impériale.

    En 1979, sur les lieux, à 80cm de profondeur, ils découvrent des ossements.
    Ils reboucheront soigneusement la fosse sans en parler le contexte politique
    de l'époque n'y étant pas favorable.

    En 1989, le système s'étant quelque peu modifié, ils révèlent leur découverte aux autorités.

    En 1991 les corps, au nombre de 9, sont exhumés et, grâce aux tests ADN, identifiés.
    Il s'agit bien des restes du tsar, de la tsarine et de 3 de leus filles.
    Les 4 autres étant ceux de leurs serviteurs massacrés avec eux.
    Manquent ceux du tsarévitch et d'une des grandes-duchesses (Maria ou Anastasia).

    En 1998 les restes des Romanov (et de leurs serviteurs) sont officiellement inhumé
    à Saint-Pétersbourg dans la cathédrale Saint Pierre - Saint Paul,
    en présence des membres descendants de la famille et des autorités russes.

    Le tombeau de Nicolas II et sa famille

    En 2000 l'ancien tsar et sa famille sont canonisés à Moscou

    (Cathédrale SaintSauveur)

    Icône repésentant la famille impériale

    Eglise construite sur l'emplacement
    de la maison Ipatiev,
    à Ekatérienbourg

    En 2007, à quelque distance de la première fosse sont découverts les 2 derniers corps, authentifiés aussi par l'ADN, du tsarévitch Alexis et d'une de ses soeurs.

    En 2008 le Parquet Général de Russie a décidé de réhabiliter le tsar et sa famille les considèrant comme "victimes de répressions politiques",

     

    ADDITIF :

    On a pu noter certaines ressemblances entre les destinées de Louis XVI (et de sa famille) et celle de Nicolas II (et de sa famille) . Bizzareries de l’Histoire … Notons quelques similitudes approximatives :

    Les deux Souverains sont intelligents, cultivés, mais ni prêts ni intéressés à règner. De plus ils sont tous les deux timides et velléitaires.

    Louis XVI a 20 ans quand il succède à Louis XV... Nicolas II 23 à la mort d’Alexandre III.

    Lors des fêtes publiques du Mariage de Louis avec Marie-Antoinette, des estrades s’effondrent dans la foule faisant des centaines de victimes... Lors fes fêtes du Couronnement de Nicolas et d’Alexandra la même catastrophe se produit.

    La Couronne de France attend un héritier pendant 15 ans, ...celle de Russie pendant 10.

    Marie-Antoinette, pour sa légèreté et ses dépenses, est vite détestée et surnommée "l’Autrichienne" ... Alexandra, pour son manque d’implication populaire, devient "l’Allemande".

    Louis XVI est obligé de convoquer les Etats Généraux... et Nicolas II de former la Douma.

    Révolution française en 1789 ... Révolution russe en 1917.

    Après 23 ans de mariage pour les Souverains français, c’est leur exécution ainsi que l’effroyable mort lente en prison du Dauphin... Après 24 ans de mariage c’est le massacre de la famille impériale russe.

    Pendant longtemps rumeurs de survie de Louis XVII et du Tsarévitch Alexis

    20 janvier 1793 : Les adieux de Louis XVI à sa famille la veille de son exécurtion

    Avril 1918 : Dernière photo de la famille impériale, à Tobolsk

     

    *****

    Bibliographie succincte :

    Jean des Cars : La saga des Romanov
    Henri Troyat : Nicolas II
    Hélène Carrère d'Encausse : Nicolas II
    Marc Ferro : Nocolas II

      

     

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    Dans la semaine qui suit l'assassinat des Romanov, les troupes Blanches prennent la ville d'Ekaterinbourg aux Bolchéviques. Une enquête est directement ouverte sur le meurtre de la famille impériale. L'armée monarchiste présente dans la ville commence des fouilles dans un puits de mine désaffecté situé dans une forêt proche d'Ekaterinbourg où ils ne retrouvent que des cendres et quelques objets qui semblent appartenir aux grandes-duchesses.

      

    Nicolas Sokolov, le magistrat chargé de l'enquête, interroge plusieurs personnes. Selon certains habitants, il manquerait un corps: celui d'Anastasia.

      

    Les rumeurs débutent immédiatement: la plus jeune fille du Tsar aurait été protégée des balles grâce aux bijoux et aux pierres précieuses cousus dans sa robe...

     

    Le 17 février 1920, à Berlin, une femme tente de se suicider en sautant dans l'eau glacée du canal Landwehr. Un policier, témoin de la scène, se porte au secours de la jeune femme. Sauvée in extremis, elle est conduite aux urgences.

      

    N'ayant pas de papiers sur elle, on l'interroge pour connaître son identité, mais la jeune femme refuse de parler. Au bout de quelques jours, l'inconnue est transférée à l'asile de Dalldorf.

      

      

    Deux ans après l'arrivée de la jeune femme dans l'asile, sa voisine de chambre, ayant lu un article sur la disparition des Romanov où se trouvait une photo de la famille impériale, affirme à l'inconnue qu'elle ressemble étrangement à la grande-duchesse Tatiana. La jeune femme se lève est lui dit qu'elle n'est pas Tatiana, mais Anastasia, la plus jeune des filles de Nicolas II. L'énigme d'Anastasia débute.

     

    De gauche à droite: Anastasia (1914), Anna Anderson (1920) et Tatiana (1917). La voisine de chambre d'Anna Anderson voyait une certaine ressemblance entre Anna et Tatiana.

     

    Suite à cette révélation, des proches des Romanov affluent à l'hôpital de Dalldorff. Les enfants du docteur Botkine, assassiné avec la famille impériale à Ekaterinbourg, la reconnaissent formellement.

      

    Encore plus troublant, lorsque Philippe Dassel, blessé français auquel la grande-duchesse et sa soeur Maria avaient rendu visite pendant la guerre, vient à la rencontre de l'inconnue, elle se lève en s'exclamant: "C'est l'homme aux poches".

      

    Anna ANDERSON, petite jeune fille....

    Anastasia avait effectivement surnommé cet homme ainsi, car il avait constamment les mains dans les poches lorsque Anastasia et ses soeurs le voyaient.

      

    Cependant, beaucoup de proches de la famille impériale, tels que la mère de Nicolas II, l'impératrice douairière Marie Fedorovna; la soeur de l'impératrice, la princesse Irène de Prusse ou encore le précepteur des enfants Romanov, Pierre Gilliard, ne reconnaissent pas Anna Anderson comme étant Anastasia.

      

    Fait encore plus troublant, la jeune femme ne parle ni le russe (pourtant langue maternelle d'Anastasia), ni le français, ni l'anglais (langues qu'Anastasia pratiquait couramment), mais s'exprime uniquement en allemand, une langue qu'Anastasia n'a jamais voulu apprendre, au grand désespoir de sa mère.

      

    En revanche, elle révèle aux enquêteurs qu'en 1916, le grand-duc Ernest-Louis de Hesse, frère de l'impératrice, aurait rendu visite aux Romanov.

    Or, ce détail ne peut être connu que par un membre proche de la famille impériale, car la Russie étant à cette époque en guerre contre l'Allemagne, l'annonce de cette nouvelle aurait pu provoquer un scandale d'Etat. Elle ajoute également d'autres petits détails que seul un membre de la cour pouvait connaître.

     

    Anastasia en 1915.

    Anna Anderson en 1929.

     

    Cependant, on peut se poser les questions suivantes : où est passée Anastasia de juillet 1918 à février 1920 si elle a vraiment survécu au drame? Et, comment a-t-elle fait pour se rendre à Berlin?

      

    Dans l'ouvrage "L'affaire Romanov" de Michel Wartelle, l'auteur tient une thèse assez surprenante.

    Selon lui, non seulement Anastasia aurait été épargnée, mais aussi la Tsarine Alexandra et ses trois autres filles.

      

    Après avoir fait évacuer Tatiana début juillet 1918 vers le Canada, l'impératrice et ses trois autres filles (à savoir Olga, Maria et Anastasia) auraient été transférées à la mi-juillet dans la maison Bérézine à Perm.

      

    Le 17 septembre 1918, Anastasia se serait enfuie, avant d'être blessée par balle par des gardes rouges à l'orée d'un bois. Un certain Alexandre Tchaïkovsky aurait alors organisé l'exfiltration d'Anastasia de Perm vers l'Ukraine.

    D'après le récit d'Anna Anderson, c'est ce même Alexandre Tchaïkovsky qui l'aurait sauvée du massacre de la famille impériale. Cependant, selon l'auteur de ce livre, la femme aurait inventé l'histoire du meurtre et de son sauvetage pour protéger sa mère et ses soeurs. Anastasia aurait ensuite quitté l'Ukraine pour la Roumanie avec Alexandre Tchaïkovsky dans le but de rejoindre sa soeur Maria. En Roumanie, elle se marie avec Tchaïkovsky et accouche en 1919 d'un fils prénommé Alexandre.

    Après l'assassinat de son mari en 1920, Anastasia aurait abandonné son fils pour regagner l'Allemagne où elle aurait tenté de mettre fin à ses jours en sautant d'un pont à Berlin. Ce qui rejoint l'histoire d'Anna Anderson.

     

    Alors que le lien entre Anastasia et Anna Anderson est établi, des descendants des Romanov engagent un détective privé. Il établit que la jeune femme se nomme en réalité Franziska Schwanzkowska, une ouvrière polonaise. Cependant, le frère de cette Franziska ne reconnaît pas sa soeur en Anna Anderson.

      

    Si ce n'est pas elle, qui est en réalité cette Anna Anderson? Peut-être est-ce bien Anastasia? Pourtant, même d'anciens domestiques refusent de voir en elle la grande-duchesse.

    En Allemagne, on ne croit pas en l'histoire d'Anna Anderson.

    Le tribunal de grande instance d'Hambourg rend un arrêt qui s'apparente à un déni de justice dans la mesure où la plaignante n'apporte aucune preuve de ce qu'elle avance mais où il n'est pas impossible qu'elle soit effectivement Anastasia. Fatiguée de devoir prouver son identité, Anna Anderson s'exile à Charlottesville, aux Etats-Unis, où elle épouse Jack Manahan, un professeur d'université. Elle meurt le 12 février 1984.

     

    Anastasia en 1916.

    Anna Anderson vers 1927.

    Franziska Schwanzkowska vers 1916.

     

    Anna Anderson est morte, mais l'énigme Anastasia n'est toujours pas résolue.

      

    Les partisans de la prétendante, voulant toucher l'inestimable fortune des Romanov, firent un procès pour que cet argent soit remis à la famille de Madame Anderson Manahan.

    Ils étaient bien renseignés, le Tsar Nicolas II avait placé depuis le Dimanche Rouge, plus de 20 millions de roubles-or (soit plus de 250 millions d'euros) sur des comptes en Angleterre pour chacun de ses enfants en cas d'exil forcé.

      

    Cependant, la banque dévoila que le Tsar avait vidé les coffres en 1916 pour soutenir l'effort de guerre. Finalement, on peut se demander si les motivations d'Anna Anderson n'étaient pas de toucher cette fortune?

    Pourtant, elle a toujours affirmé qu'elle ne voulait pas entendre parler de cet argent. L'affaire Anderson est alors au point mort.

     

     

     

      

    En 1991, sont découverts les restes des Romanov dans la forêt proche d'Ekaterinbourg. Tous les corps sont retrouvés mis à part ceux de deux des enfants: celui d'Alexeï et celui de Maria. Cependant, selon certains spécialistes, la fille manquante ne serait pas Maria mais Anastasia.

      

    Des doutes sur les dires d'Anna Anderson reviennent alors. Serait-elle véritablement Anastasia? A présent que les tests ADN sont possibles, un autre problème se pose: Anna Anderson a été incinérée... Mais un morceau de son intestin a été conservé suite à une opération.

    En 1994, des tests ADN sont donc réalisés sur ce morceau d'intestin appartenant à Anna Anderson.

    Les résultats sont négatifs :

    Anna Anderson ne peut pas être Anastasia ni même un membre de la famille Romanov.

      

    De plus, des analyses faciales ont prouvé que la forme du nez et des oreilles d'Anna Anderson n'était pas la même que ceux d'Anastasia. En revanche, une graphologue de renom a certifié que l'écriture d'Anna Anderson et celle d'Anastasia sont identiques.

    De plus, un mystère plane toujours: comment se fait-il qu'Anna Anderson connaissait tant de détails sur la vie des Romanov ?

    Jean des Cars, auteur de l'ouvrage "La saga des Romanov", répondra à cette question: "[Anna Anderson était] une pauvre femme traumatisée physiquement et moralement par la guerre, à qui des escrocs avaient fait croire à son identité prestigieuse, totalement inventée, dans le but d'émouvoir, de convaincre et surtout de capter le magot impérial.

      

    A partir de sa ressemblance, ils lui ont fabriqué une mémoire avec assez d'habileté pour que certaines personnes succombent et valident l'invraissemblable.

      

    La malheureuse, en partie amnésique, avait sans doute fini par y croire elle-même, victime d'une monstrueuse manipulation, la pire puisque, à elle aussi, on répétait une supercherie."

     

    Anna Anderson en 1922.

      

      

      

    SOURCES : superbe blog - http://www.les-derniers-romanov.com/laffaire-anderson.php

     

     

     

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     Файл:Pr alexis poutziato-1-.jpg

     

    Alexeï Poutziato

     

    Alexeï Poutziato serait le premier à revendiquer l'identité du Tsarévitch Alexis, il apparaît à    Omsk en 1919. Il rencontrera le précepteur des enfants Romanov Pierre Gillard.

        Celui ci témoignera comme suis :


    "La porte de la pièce était entre-ouverte et je pu observer, sans qu'il ne me voit, un jeune homme, plus grand    et plus fort que le tsarévitch, qui semblait avoir quinze ou seize ans. Son costume de marin, la couleur de ses cheveux et la façon dont ils étaient coiffés me faisait vaguement penser à Aleksey    Nicolaievitch. La ressemblance s'arrêtait là.

      

    Alexi et Mr Gilliard

      

    J'ai confié au Général D. le résultat de mes observations.

        Le garçon me fut amené.
      

      Je lui ai posé quelques questions en français: il ne répondit pas. Quand j'ai insisté pour qu'il me réponde, il me dit qu'il a comprit tout ce que je lui ai dis mais qu'il avait ses raisons    de parler uniquement en russe. Je me suis ensuite adressé à lui dans cette langue.

      

    Cette fois encore, il ne me répondit pas et dit qu'il a décidé de répondre à personne d'autre qu'à l'amiral    Koltchak. Aussi, notre discussion se termina."

     

    D'autres prétendirent être le Tsarévitch Alexis mais il semble que l'homme qui connaissait le mieux les enfants    romanov en la personne de Pierre Gillard même si celui-ci n'a pas vécu la captivité et la fin de la famille, n'ai pas reconnus en Alexeï Poutziato, le jeune Aloysha !!!

     

     

       

    Alyosha

    De plus on ne peut se dire qu'il y avait très peu de chance que le jeune Tsarévitch survive à une tarque comme celle qu'auraient mener les Bolchéviques contre l'héritier du trône surtout    connaissant le mal dont souffrait Aloysha.

      

      

    Source  témoignage Pierre Gillard :

    Alexandre Bossard

     

     

     

     

     

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    LE MYSTERE ANASTASIA

     

     

     

    Tout commence en 1917, en Russie :

     

    Les révoltes russes se font de plus en plus importent et le tsar Nicolas II est obligé d'abdiquer. Mais la révolution russe ne commence que plus tard en 1917 et là, elle concerne tout le pays.

    Cette fois, le tsar nicolas II est arrêté et envoyé en Sibérie avec toute sa famille : Alexandra, sa femme, Olga, Tatiana, Maria, Anastasia, ses quatre filles, et Alexis, son jeune fils de 14 ans, le dernier membre de la famille des Romanov.

     

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    Trois domestiques les accompagnent, ainsi que le docteur Botkine.
    Le temps passent jusqu'à la nuit tragique du 16 juillet au 17 juillet 1918. La famille impériale, leurs domestiques et le docteur Botkine sont réveillés à deux heures du matin, conduits à la cave et fusillés.

    Ce que l'on fait de leurs cadavres, nul ne le sait à l'époque.

     

    1920

     

    Le 18 février 1920, on recueille une jeune femme qui a tenté de se suicider à Berlin.Mais, àl'hôpital psychiatrique où elle est envoyée, les médecins remarquent que son corps est couvert de cicatrices, et que sa tête porte des marques de coup.

    Les médecins la baptisent "Mademoiselle l'inconnue" car elle refusait de donnait son nom.
    Elle séjourne deux année à l'hôpital,et ne prononce pas un mot. Et puis, un jour, coup de théâtre, elle déclare être Anastasia, l'une des filles du dernier tsar de Russie. C'est le début de la grande énigme.

      

     

    Les mêmes yeux.......?

     

    Comment la croire ?

     

    Certes, l'inconnue présente des similitues physiques avec Anastasia : les mêmes yeux bleu-gris, la même malformation à un doigt de la main gauche, et le même oignon à un pied.

     


    Mais comment reconnaître la princesse Anastasia, adolescente pleine de vie (elle avait 17 ans au moment de la Révolution), dans cette femme décharnée et édentée?

      

      

     

    Des faits troublants

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    Une chose trouble pourtant certains de ceux qui l'observent. L'inconnue connaît beaucoup de détails de la vie à la Cour. Mais à l'époque, il n'y avait ni télé, ni journaux.

      

    Comment est-ce possible ?


    Autre anecdote troublante : alors qu'elle vivait à Saint-Pétersbourg, Anastasia visitait des blessés de guerre à l'hôpital. Parmi eux, une certain Philippe Dassel.

    Celui-ci rencontra l'inconnue et lui montra la photo d'un des blessés. Elle s'exclama : "Mais, c'est l'omme aux poches!" Or, c'est Anastasia qui avait donné ce surnom à cet homme. Etrange !

     

    L'aide d'un détective

     

    Et voilà que les proches de la famille impériale accourent, eux aussi, au chevet de l'inconnue. Certains, comme sa cousine Xenia ou les enfants du docteur Botkine reconnaissent Anastasia.
    Mais d'autres en doutent :

    c'est le cas de son ancien précepteur, qui parle d'imposture.

    Cest vrai que, lorsque qu'on demande à l'inconnue comment elle a échappé au massacre, elle répond qu'elle ne veut pas "parler de cet horrible souvenir".

      

    Et puis, elle ne s'exprime pas en russe !

     

    Pour mettre fin à cette affaire qui commence à faire trop de bruit à leur goût, les Romanov (membre de la famille impériale russe) engagent un détective privée.

     

     

     

     

    Il conclut que l'inconnue est ouvrière polonaise, Franziska Schwanzkowska.

    Elle aurait été blessée dans une explosion en 1916 (pendant la guerre), puis internée.

    On convoque son ancienne logeuse, qui la reconnaît, et son frère qui, lui, déclare que "cette dame a de trop belles manières pour être sa soeur". On n'est guère plus avancés !

     

      

    Des procès en série

      

    Mais, à la surprise générale, il en manque deux... Les scientifiques déclarent alors que les corps manquants seraient ceux de la princesse Anastasia et de son frère Alexis.

    Le mystère est donc relancé!

     

    En 1993, l'ADN (porteur des gènes qui nous caractérisent) d'Anna, prélevé sur un morceau d'intestin est comparé à celui des ossements des squelettes retrouvés en Russie. Ils sont différents. Anna Andersen n'était donc pas Anastasia.

     

    Un verdict que les partisans "d'Anna-Anastasia" refusent. Ils parlent d'un complot de la famille Romanov pour garder l'héritage du tsar : Anastasia vivante, c'est elle qui aurait hérité.
    Quoi qu'il en soit, la mystérieuse Anna Andersen a emporté son secret dans la tombe...

     

    Suite de l'affaire (c'est un visiteur qui me l'a écrit) :

     

    Il a été prouvé depuis que Anna Anderson ne pouvait être La Grande duchesse Anastasia, puisqu'un test ADN a été fait sur les restes du gros colon de Anna Anderson avec un cousin vivant encore en Pologne et qu'il a été négatif.

     

    Le mystère est donc terminé mais il est toutefois certains que cette histoire à sa place dans la catégorie "énigmes et mystères" !!!

     

     

     Anastasia Romanov.

     

     

     

     

     

     

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    • COINCIDENCES FATALES DANS LA VIE DE LA FAMILLE IMPERIALE

     

      COINCIDENCES FATALES DANS LA VIE DE LA FAMILLE IMPERIALE

      

      

      

    Le chiffre 17 fut fatal pour Nicolas Il et toute la famille des Romanov.

    C'est le 17 octobre 1888 que le train du tsar dérailla près de Kharkov.

    Fort heureusement la famille d'Alexandre III en sortit indemne.

      

    Lors du couronnement de Nicolas Il, dans la nuit du 17 mai 1896, se produisit la tragédie de Khodynsk (au nord-ouest de la ville de Moscou) :

      

    1389 personnes périrent dans la cohue et 1300 personnes furent blessées,

    ce qui valut au tsar le surnom de " Sanguinaire ".

      

    Le 17 octobre 1905 fut signé le Manifeste mettant fin au pouvoir absolu du monarque.

      

    L'assassinat de Raspoutine, qui prédisait que la fin des Romanov serait liée à sa propre mort, eut lieu le 17 décembre 1916.

      

    Le pouvoir fut pris par les bolcheviks en 1917. Le 17 juillet (d'après le nouveau style) 1918, la famille impériale fut exécutée à Ekaterinburg.

      

    D'autres coïncidences curieuses, liées cette fois aux noms, laissent perplexes.

      

    Le premier tsar de la dynastie des Romanov fut Mikhaïl Fedorovitch, appellé à régner alors qu'il se trouvait dans le monastère Ipatievski (près de Kostroma).

      

    Nicolas II et sa famille furent tués dans la maison qui appartenait à l'ingénieur Ipatiev, communément appelée " Ipatievski dom ".

      

    Au début de la dynastie des Romanov, le patriarche s'appelait Hermogène

    (canonnisé, d'ailleurs, sous le règne de Nicolas II, en tant que saint martyr).

      

    Un siècle plus tard, alors que les Romanov étaient exilés à Tobolsk, l'archevêque de Tobolsk s'appelait également Hermogène

    (il mourut en martyr, persécuté par les communistes).

      

     

    En 1905, le jour de la fête du Baptême du Christ dans le Jourdain, Nicolas Il et sa nombreuse suite descendirent au bord de la Néva, à l'endroit où devait avoir lieu la bénédiction de l'eau.

      

    Des salves devaient être tirées à blanc des canons de la forteresse Saint-Pierre et Saint-Paul. L'un d'entre eux se trouva chargé.

      

    Les balles passèrent au-dessus de la tête du Tsar, firent voler en éclats les vitres du Palais d'Hiver. Seul un policier, du nom de... Romanov, fut blessé.

      

    En 1909, dans une discussion avec son ministre Stolypine, Nicolas Il dit :

      

    " Croyez-moi, Piotr Arkadiévitch, j'ai la conviction profonde d'être

    voué à d'effroyables tourments pour lesquels je ne recevrai pas de

    récompense ici, sur cette terre... "

      

    On raconte que la veuve de l'Empereur assassiné Paul ler, Maria Fedorovna, avait mis dans un coffret un message mystérieux, que devait lire le souverain régnant cent ans après la mort de son mari.

      

    Nicolas Il et sa femme se rendirent à Gatchino

    (près de SaintPétersbourg) où se trouvait le coffret.

      

    Ils en revinrent pensifs et tristes.

      

    Dans le coffret se trouvait notée la prédiction du moine Abel

    qui vécut à la limite du XIXe et du XXe siècle.

     

      

    Il avait prédit avec exactitude la plupart des événements de son époque, ce qui lui valut d'être à maintes reprises mis en prison. L'existence de ce moine a pu être vérifiée grâce à des documents trouvés dans les Archives centrales de Moscou.

      

    Saint Séraphin de Sarov avait également prédit de grands troubles en Russie: "Beaucoup de sang coulera car il y aura des soulèvements contre le Tsar et l'autocratie, mais Dieu le magnifiera."

      

    La moniale Pacha Sarovskaïa, bien connue pour sa vie d'abnégation totale, avait également prédit au tsar les événements qui se préparaient, ainsi qu'un moine de l'ermitage de Gethsémani, Barnabé, dont les reliques sont conservées dans l'église de l'ermitage, non loin de la Laure Saint-Serge, à Serguiev Possad.

      

    Lorsque le 11 décembre 1916 l'impératrice Alexandra Fedorovna se rendit au monastère de la Dîme à Novgorod, la mère supérieure dit en la voyant:

      

    " Voici la martyre, la Tsarine Alexandra ".

      

    Puis elle répéta plusieurs fois:

      

    " Tu porteras une lourde croix, n'aie pas peur ".

      

    Alexandra Fedorovna relate cette rencontre dans une lettre à Nicolas Il.

      

    Le souverain était profondément croyant. Il disait " ... je crois de façon inébranlable que le destin de la Russie, mon propre destin et celui de ma famille sont dans les mains du Seigneur.

      

    Et quoiqu'il arrive, je m'incline devant sa volonté ".

      

    A partir d'une certaine date, les prédictions influencèrent son comportement au quotidien, ce qui fait dire à la majorité des historiens contemporains que les actes de Nicolas Il étaient paradoxaux.

    Source:Rousskii Dom n' 1, 2000, paru dans " La Gazette "

     

     

     

      COINCIDENCES FATALES DANS LA VIE DE LA FAMILLE IMPERIALE

      

      

    sources :

    http://www.kadouchka.com/russie/Romanov.htm

      

      

      

     

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    Tsarskoïé Selo : renaissance de la dernière résidence de Nicolas II

     
    Photo: RIA Novosti

     

    La résidence de Tsarskoïé Selo, banlieue de Saint-Pétersbourg, qui est la dernière du dernier empereur russe Nicolas II sera reconvertie en musée après les travaux de restauration du Palais Alexandre ordonnés par la municipalité de la ville.

    « Le nouveau  site du Palais Alexandre pourra accueillir entre 700 et 800 visiteurs. 

    C’est d’ici que les bolcheviks ont déporté la famille du dernier tsar pour la fusiller en 1918 à Ekaterinbourg dans l’Oural », rappelle Olga Taratynova, directrice du musée réserve de Tsarskoïé. 

    « Cette histoire à la fois belle et tragique attire toujours les gens qui s’intéressent aux détails de la vie des Romanov.

     

    On sent bien ici, au Palais Alexandre, le sort tragique qui allait s’abattre sur la famille royale.

     

    L’aile Est du palais abritait les appartements privés décorés au goût de l’impératrice Alexandre Fedorovna. Les appartements sont  réalisés à taille humaine et j’ai l’impression qu’il y faisait bon de vivre », reprend Olga Taratynova. 

    D’ailleurs le Palais Alexandre était la résidence de prédilection de nombreux membres de la famille des tsars. Construit à la fin du XVIIIème siècle par ordre de Catherine II pour son petit-fils bien aimé, le futur empereur Alexandre I, le Palais est un long édifice flanqué de deux ailes.

      

    Au centre de la façade se trouve une double colonnade corinthienne. Et du côté du parc, la façade forme une demi-rotonde surmontée d’un dôme sphérique. Les plans de l’édifice et les intérieurs des salles d’apparat ont été dessinés par le grand architecte italien Giacomo Quarenghi.

      

    File:Premazzi parlour.jpg

    Le petit salon rouge du palais Alexandre, à Tsarkoïe Selo.
    Luigi Premazzi, ca. 1855.

      

    Ils sont assez bien conservés bien que pendant la guerre le palais se soit retrouvé sur le territoire occupé par les nazis. A l’opposé du somptueux palais de Catherine, les nazis se sont employés à détruire ce chef-d’œuvre baroque de Rastrelli.

      

    Le Palais Alexandre a pu être préservé parce qu’il abritait l’état-major ennemi. Après la guerre, le palais a été mis à la disposition de la Marine russe.

     

    File:Crimson Cabinet.jpg

    Le même petit salon rouge du palais Alexandre aquarellé cinq ans plus tard par Edward Hau, 1860.

      

    « On peut toujours y voir de nombreux objets : meubles, icônes, porcelaines, tapis, ayant appartenu à la famille impériale après l’effondrement de la monarchie, alors qu’ils attendaient que leur sort soit réglé.

      

    Dans la nouvelle exposition qui aura lieu au  Palais Alexandre, une tapisserie à l’effigie de Marie-Antoinette, la reine de France reprendra sa place. Son destin tragique a bien des similitudes avec celui de l’impératrice russe, Marie-Antoinette s’étant fait décapitée pendant la Révolution Française »,  rappelle la conservatrice du Palais Alexandre Elena Artemieva.

     

      

      

    La tapisserie intitulée Marie-Antoinette a été offerte à l’impératrice russe par le président français, Émile Loubet.

     

    La fin du XIXème siècle et le début du XXème siècle correspondaient à l’époque de l’Alliance franco-russe ; à cette occasion, Nicolas II et son épouse ont fait plus d’un séjour à Paris.

      

    C’est là-bas, à Versailles, que l’impératrice a vu le portrait de Marie-Antoinette réalisé par Jules Webrin. Le gouvernement français en a fait faire une copie, dans une manufacture de tapisseries, qu’Émile Loubet a offerte en 1902 à l’impératrice.

     

    Elle l’a installé dans ses intérieurs d’apparat sans y voir une allusion de mauvais augure.

    Le projet de restauration du Palais Alexandre s’étale sur trois ans. L’édifice ne subira, cela va de soi, aucune modification en extérieur et tout l’attirail technique propre à un musée moderne sera placé dans les sous-sols et sous les combles.

      

    Plan du palais Alexandre. L'aile en blanc sont les appartements privés de Nicolas II et de sa famille

      

    Diaporama:

    93 ans de l'assassinat du dernier tsar

     

    LA DEMEURE PRÉFÉRÉE DE NICOLAS II, TSARKOIE-SELO

      

     

    Bureau du tsar à Tsarkoie-Selo.

     

     

     

     

    Nicolas II dans son pavillon de chasse en 1901.

     

     
    Le palais Alexandre est surtout connu pour avoir été la résidence favorite de Nicolas II et sa famille.
      
    Le palais est situé dans le parc Alexandre à Tsarskoïe Selo, les 26 kilomètres de Saint-Pétersbourg.
     
     
     
     
     
      
      
    Le palais Alexandre a été construit par Catherine la grande à son petit-fils, le futur i Tsar Alexandre elle a commencé à planifier le bâtiment lorsqu'il a été assez nouveau et avait l'intention d'offrir lorsqu'il devient adult. Elle aimait discuter des idées sur le palais avec le jeune Alexander et l'invite à faire des croquis avec vos propres idées.
     
     
     
      
     
    L'architecte choisi pour le palais était Giacomo Quarenghi est né à Bergame en Italie en 1744 et mort à Saint-Pétersbourg en 1817.
     
     
     
     
     
      
    Étant donné que l'architecte est venu à la Russie que la tsarine de Catherine l'a engagé et a financé plusieurs de ses œuvres au cours de son règne.
      
    C'était un de ses architectes préférés. Il était un maître du dessin et produit de magnifiques plans de sépia pour le palais qui existent encore aujourd'hui.
     
     
     
     
      
      
    À l'origine, le palais Alexandre, devait être construite à Saint-Pétersbourg.
      
    Les premières esquisses montrent clairement l'intention d'une œuvre urbaine, avec un ornement de plus gros sur la façade et un aménagement intérieur complexe.
      
      
    À un moment donné, Catherine a décidé de construire à Tsarskoïe Selo et simplifié le plan.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
      
      
     
     
     
    salle de jeux pour enfants
     
      
    *
    Catarina ont choisi un emplacement près de sa propre maison, le palais de Catherine, de commencer la construction.
     
    Ce site est une petite colline de l'autre côté du parc du palais.
      
     
    L'emplacement de la ville, Palais de Tsarskoïe Selo, signifiait beaucoup de changements dans la structure originale.
     
    À Saint-Pétersbourg, le palais avait été considéré comme une résidence permanente pour toute l'année, alors qu'à Tsarskoïe Selo a été construite pour être un palais d'été, seulement pour être habité quelques mois.
     
     
     
     
     
      
    Ces circonstances ont réduit la nécessité d'investir dans de coûteux intérieur ou extérieur trop prêt à impressionner le public. Les plans de la maison ont été également adaptés pour le travail sur l'atmosphère plus calme de la résidence d'été.
     
     
     
     
     
     
      
      
    Suivant les pratiques de la hauteur, en 1792, la Cour impériale a placé des annonces dans les journaux de Saint-Pétersbourg afin que les constructeurs privés ont commencé à lancer leurs propositions pour construire le palais.
      
    L'entreprise sélectionnée a été placé sous la supervision de l'architecte russe, qui a pour mission de donner vie aux créations de Quarenghi Nilov.
     
     
     
     
    salle d'étude de grã-duquesas
     
      
      
    La construction du palais a présenté certaines difficultés liées au site. Les cours d'eau souterrains a causé le bâtiment à changer de position comme il a été construit. Au fil du temps ce problème causé plusieurs trous et fissures à la salle semi-circulaire qui peut encore être vu aujourd'hui.
      
      
    Les constructeurs ont fait beaucoup de changements dans le projet initial pour l'instant que celle-ci adaptée aux défis du site. Il a été construit une grande terrasse à l'extérieur de l'entrée aux motifs de l'édifice afin de renforcer les arches de couloirs centrales.
      
    Les délais et les coûts excessifs plus ont été retirés des bénéfices possibles, tous étaient désireux de terminer la construction du palais dès que possible.
     
    The double-headed Imperial Eagle of the Romanov Tsars, perched atop the main gate of the Winter Palace in St Petersburg. hanging on | Flickr - Photo Sharing! 
     
      
     
    La première pierre du palais sont, mais, en fait, presque l'ensemble du bâtiment est construit en briques. Il a fallu des millions de briques pour construire le palais d'Alexandre et ont tout fait dans le Tsarskoïe Selo en utilisant argile locale.
      
    C'est quelque chose qui a pris la peine.
     
     
     
    Salle Alexis
      
    Elle donna des ordres spécifiques pour protéger les forêts locales, de peur que les constructeurs de détruisent les arbres autour de la ville et de ruiner leurs points de vue
      
     
    salle de bain du Tsar
     
      
      
    Le budget initial pour la construction de l'édifice n'inclut pas l'argent pour la décoration intérieure. L'entreprise qui a construit le palais n'avait aucune responsabilité dans les intérieurs, et cette tâche a été donnée à une équipe de la décoration internationale qui comprenait des britanniques, les russes et les italiens.
      
     
     
      
     
    Bureau du Tsar Nicolas II
     
    Cependant, comme la progression de la construction, Catherine s'est retrouvée avec quelques problèmes en termes de budget et a continué de laisser la question de l'intérieur pour le fond. Ce n'était pas considéré comme un problème grave, parce que l'impératrice a conclu qu'Alexander pouvait faire ce qu'il voulait avec les intérieurs selon vos propres goûts.
     
     
     
     
    salle de la broderie
     
    Des meubles pour la maison a été ordonnée, mais la plupart ont été prise des autres palais. Par exemple, un grand nombre d'ornements a fait le vieux palais de Tauride. Catherine offre également d'autres articles de leurs propres résidences.
     
     
     
     
    ohsoromanov:

In Czarskoi Selo she [Alexandra] had a lovely room full of flowers where she had her writing table, a wonderful specimen of French art of the time of Louis XV. Next to it stood a smaller table, where she used to throw the sheets she had just finished writing upon, until all her letters were finished, when she would pick them up and put them in their envelopes. This led her sometimes to mix up one letter with another, and brought her into trouble through people getting missives which were not meant for them. 
While Queen Victoria was alive the Empress wrote to her regularly every week, but she did not much care for so doing, and used to say that it was a duty she would rather not have had imposed upon her. At Christmas and the New Year, she regularly sent her best wishes to the other European sovereigns whom she knew personally. 
In this room I have just described, which was hung up with light and bright chintz, reminding one of an English room, and which contained comfortable and at the same time costly furniture, the Empress transacted only her private correspondence. All her official writing was done in a small library opening out of her sitting room, where stood a large, ugly and practical writing table with innumerable pigeonholes, at which she used to sit when her private secretary presented to her his daily reports. It was at this table she made up her accounts and attended to all her business, and it was also here that she made out the programme for her public work, receptions, visits to charitable institutions, and so forth.
- My Empress by Marfa Mouchanow
Note: Me and Natalie from naotmaa have discussed this issue and we both agree that the room where Alexandra is at in this photo isn’t probably any of both offices that ‘Marfa’ described.

Here’s another version with a date.

    ohsoromanov:

    In Czarskoi Selo she [Alexandra] had a lovely room full of flowers where she had her writing table, a wonderful specimen of French art of the time of Louis XV. Next to it stood a smaller table, where she used to throw the sheets she had just finished writing upon, until all her letters were finished, when she would pick them up and put them in their envelopes. This led her sometimes to mix up one letter with another, and brought her into trouble through people getting missives which were not meant for them.

    While Queen Victoria was alive the Empress wrote to her regularly every week, but she did not much care for so doing, and used to say that it was a duty she would rather not have had imposed upon her. At Christmas and the New Year, she regularly sent her best wishes to the other European sovereigns whom she knew personally.

    In this room I have just described, which was hung up with light and bright chintz, reminding one of an English room, and which contained comfortable and at the same time costly furniture, the Empress transacted only her private correspondence. All her official writing was done in a small library opening out of her sitting room, where stood a large, ugly and practical writing table with innumerable pigeonholes, at which she used to sit when her private secretary presented to her his daily reports. It was at this table she made up her accounts and attended to all her business, and it was also here that she made out the programme for her public work, receptions, visits to charitable institutions, and so forth.

    - My Empress by Marfa Mouchanow

    Note: Me and Natalie from naotmaa have discussed this issue and we both agree that the room where Alexandra is at in this photo isn’t probably any of both offices that ‘Marfa’ described.

    Here’s another version with a date.

     
     
     
    Chambre de Tsarina
     
      
      
    En principe, l'extérieur du palais a été laissé exposés avec des briques.
     
    Il a pris plusieurs années pour le secassem de briques et enfin pourrait être remplissage et peindre les murs avec la sécurité.
     
    Le « nouveau palais », comme on l'appelait à l'époque, a été achevé et présenté à Alexander en juin 1796.
     
    Lui et sa femme s'installe à la nouvelle maison le 12 juin 1796.
     
      
      
    Chambres d'Anastasia et de Maria
     
     
     
    La construction a duré près de quatre ans.
     
    Catherine a donné un accueil chaleureux pour le petit-fils de 16 ans et de son épouse
    Elisabeth de Bade, sur les marches du palais avec du pain et de sel, les cadeaux pour la bénédiction d'une nouvelle maison.
     
      
      
    Chambre d'Olga et de Tatiana
     
    Alexander avait peu de temps pour profiter du palais avant la mort de la grand-mère en novembre de cette même année.
     
    Cela signifie un changement de circonstances, car Alexander serait désormais sous la supervision de son père, le nouvel empereur Paul I.
     
     
     
    Olga et de Tatiana chambre à coucher
     
     
     
     
     
    deux détails de Nicolas II
     
      
    Sous le règne de Paul, a donné la touche finale dans la peinture du palais. Depuis le principe qui a été prévu de peindre le jaune et le blanc bâtiment, mais la couleur d'origine était plus profonde que ce que vous voyez aujourd'hui.
     
      
    File:Nicholastudy.jpg
      
    Working study of Nicholas II of Russia in the Alexander Palace.
    Photo is taken before 1918.
      
    Paul n'était pas très populaire auprès de la société et a été tué dans le château de Saint-Pétersbourg Mikhailovski. Certains disent que Alexander était impliqué dans le meurtre, depuis donc arriver dès que son père.
     
    Durant son règne, Alexander préféré était de vivre dans le palais de Catherine à Tsarskoïe Selo, qui ne veut pas dire qu'il avait ignoré le palais Alexandre, qui exige de grosses sommes d'argent à maintenir.
      
      
    En 1809, il devait se passer de 600.000 roubles pour des réparations à l'immeuble.
     
    Salon privé
     
    Alexander et son épouse n'avaient aucuns enfants, donc il a décidé de nommer son frère, le futur Nicholas I, à lui succéder. Lui offrit le palais Alexandre et a commencé la tradition de ce qui en fait le palais d'été de Tsarskoïe Selo.
      
     
     
    Salle mauve
     
      
    Le palais conserve une marque incontestable de Nicholas I et de son temps. Nicholas avait une grande famille qui grandit rapidement. Bien qu'il a la réputation d'être un tsar dur, quand loin les fonctions du Royaume, il fut un homme sentimental de la famille.
     
     
     
      
    Salon mauve
      
      
    Le palais Alexandre était sa résidence favorite et il consacre beaucoup de temps pour améliorer le bâtiment. Beaucoup de modifications ont été faites pour tenir compte de la volonté de Nicolas à son tour que le palais dans un endroit plus confortable pour toute l'année et pas seulement pendant l'été.
      
      The Children's Floor - Grand Duchesses's Classroom.... Alexander Palace
    Par exemple, les cuisines spéciales construits à l'intérieur du palais, afin d'avoir vos plats préférés quand il voulait. Il se plaît à cuire. Aussi était l'empereur lui-même qui a planté des fleurs plusieurs lits et prend toutes les décisions concernant la décoration des intérieurs.
     
    Nicolas a choisi le palais Alexandre pour certains des événements plus importants de son règne comme la première transmission télégraphique en Russie.
     
     
     
     
    salle de réception du Tsar
     
        
    Comme son grand frère, Nicholas Alexander offrit le Château à son fils et héritier, le futur Tsar Alexandre II, lorsqu'il épousa. Cela a conduit à une mise à jour complète et la rénovation du palais. Techniques avancées dans d'éclairage, de chauffage et de cuisine, signifiait des changements qui allaient bien au-delà du simples tissus, meubles et nouveaux tapis.
      
      
      
    Bedroom of Grand Duchesses Marie And Anastasia in the Alexander Palace, Tsarskoe Selo (Now Pushkin-Suburb of Saint Petersburg)
      
      
      
      
      
      
      
      
    Le palais a été complètement modernisé afin de suivre les changements dans le monde dans le milieu des années 1840. Plus tard, après Alexandre devint Tsar et organiser un amant, son épouse, la princesse Maria Alexandrovna, a décidé de vivre dans le palais tout au long de l'année.
      
      
    Cela a donné beaucoup de problèmes dû au fait qu'il a été construit comme résidence d'été. Il n'y a aucun double verre Windows ni planchers reenforced nécessaires pour chauffer le bâtiment pendant les durs hivers russes, donc de nouveaux systèmes de chauffage ont été installés dans les zones occupées par la tsarine.
     
     
     
     A rare and unique set of 48 Autochrome color photograph plates, taken by Alexander Zehest in 1917 of the interiors of the Alexander Palace, including both the Parade rooms and the personal rooms of the Imperial Family, have been returned to the Alexander Palace Museum.  The Autochrome process was a rare and difficult one, invented by the Lumiere Brothers of France in 1903 and marketed in Europe and the US starting in 1907.
     
    le palais à l'époque d'Alexandre II
     
      
      
    Encore une fois lorsque le tsarévitch et le futur Tsar Alexandre III a épousé sa femme Mary, ils ont offert le palais Alexandre.
      
      
    Sa mère a continué à y vivre et l'utilisation d'Alexandre du palais était limitée jusqu'à sa mort. En 1874, une partie du palais a été réaménagée pour la lune de miel de la fille d'Alexandre II, Maria, qui épousa le Prince Alfred, fils de la Reine Victoria.
     
     
     
    Bureau d'Alexandre III
     
      
      
    L'épouse d'Alexandre III, Maria Feodorovna, aimait le palais Alexandre. Elle fournirait les parties et l'élégance de Tsarskoïe Selo à l'austérité de l'endroit favori de son mari, Gatchina.
      
    Deux des enfants de Maria et Alexander, le futur Tsar Nicholas II et son frère Jorge, sont nés dans le palais.
      
    Lorsqu'il est cultivé, les deux garçons ont continué à avoir leurs propres domaines dans le palais et utilisèrent chaque fois qu'ils étaient à Tsarskoïe Selo.
     
     
     
    la Chambre de Maria Feodorovna
     
      
      
    Quand Nicholas monta sur le trône en 1894, il et sa femme Alexandra ont décidé de rendre le palais Alexandre à leur résidence principale. En conséquence, Nicolas II et sa femme fait des changements plus importants dans le bâtiment depuis le règne de Catherine II de Russie.
    *
     
    Importantes rénovations ont été faites à l'immeuble et installé des nouveaux systèmes tels que l'électricité, téléphones, conduits, ascenseurs et l'assainissement. Une zone du palais a été reconstruite pour le rendre plus luxueuse maison.
     
    L'objectif principal de Nicolas et Alexandra a été de rendre le palais dans une maison familiale élégante et confortable.
     
    Ont également apporté des modifications avec le style « Art Nouveau » de construction intérieure et des chambres agréables pour les enfants du Tsar.
     
     
     
    salle d'étude Alexis
     
      
      
    À l'époque de la révolution russe et l'exil de la famille Romanov en Sibérie, il a été décidé de transformer le palais en un musée qui décrit la vie des Romanov dans le palais Alexandre depuis le XIXe siècle. Bien sûr, ce qui a été mis en évidence était le règne de Nicolas II.
     
     
    Olga and Tatiana's bedroom - Alexander Palace in Tsarskoe Selo
     
     
     
      
    Peu de temps après le départ des Romanov à Tobolsk, en août 1917, pièces de la maison ont été ouvertes au public pour son responsable, Lukomskii.
      
    Après le meurtre de la famille, des biens personnels qui ont été prises en Sibérie, ont été retournés.
     
     
     
    visite du palais Alexandre au cours des années 20
     
      
      
    Le Musée du palais Alexandre montre l'intérieur plus rigoureusement que possible ce qui avait été laissé en 1917.
      
    Il semblait que le Tsar et sa famille venait de quitter et peuvent revenir à tout moment.
      
      
    La tragédie de l'histoire et l'intimité de ces chambres privées ont créé une puissante impression sur ceux qui visitent, qui finit par provoquer la sympathie pour les Romanov a grandi,
    qui est entré en collision avec les idéaux du gouvernement marxiste-léniniste.
      
      
    En 1919, peu après que l'armée rouge gagne la guerre civile, une partie du palais a été transformée en colonie pour enfants, mais cette expérience s'est révélée désastreuse et ces chambres ont été retournés au Musée.
     
    Restauration a empêché ces chambres ont de nouveau ouverts au public.
      
    Dans le milieu des années 20, les pièces historiques de Nicholas et Alexandra dans le palais d'hiver, qui faisaient partie d'un autre musée y construite, ont été fermés et leurs meubles détruits.
      
    Certains éléments ont été transférés au palais Alexandre lorsque mélangé avec d'autres collections.
     
     
     
    détail de l'escalier du palais Alexandre
     
      
    Le Musée du palais Alexandre s'est avéré pour être un des musées plus populaires de la Russie et un arrêt obligatoire pour tous les étrangers qui visitent l'État soviétique.
      
    Malheureusement, le gouvernement a une attitude indifférente et presque hostile
    envers le « Musée des Romanov ».
      
      
    Les policiers ont commencé à voler des objets et le mobilier du palais à vendre étrangers et pour leur propre usage.
      
      
    Plus tard, la police secrète a exigé l'utilisation d'une partie du palais comme ses « recours » privés.
     
    Pour se préparer à la transition, ces ailes sont vidés et leurs trésors vendus à des étrangers en Russie et par une société appelée marteau, aux États-Unis.
     
     
     
    Lac du palais Alexandre
     
    Au cours des années 30, traités de gouvernement émergent pour fermer le reste du Musée et de vendre ses trésors.
     
    D'une certaine façon, les employés du Musée et le public ont réussi à convaincre le gouvernement de ne pas aller de l'avant avec cette idée, et le Musée a continué à fonctionner jusqu'à ce que les débuts de la Seconde Guerre mondiale.
      
      
    Quand Hitler déclara la guerre à l'Union soviétique en 1941, le directeur du Musée du Palais d'Alexandre, a. m. Kuchumov, reçoit l'ordre d'évacuer environ 300 objets provenant du palais afin de protéger les troupes allemandes qui avançaient.
      
    Il s'agit d'une petite sélection d'une collection de milliers.
     
    Frénétiquement et avec beaucoup de courage, travailleurs Musée réussirent à emballer et cacher d'un danger, une partie importante de la collection du Musée.
     
    Malheureusement, des milliers de morceaux de précieuses trésors de valeur historique extraordinaire ont été laissés.
     
     
      
      
      
      
    détail d'un œuf de Ferbegé représentant le palais de Gatchina
     
    Quand les Allemands occupent la ville, ont pillé les palais.
     
    Ce qu'ils exposent à transformé en balles et armes, menées en Allemagne et en Espagne, où la plupart des objets des palais demeurent aujourd'hui.
      
      
    Le palais Alexandre a été transformé en un hôpital de SS et était fortement protégé par les troupes allemandes.
     
    Dans les jardins du palais a été érigé un monument en hommage à la SS et un cimetière décorée de symboles nazis.
      
    Pendant la guerre, le palais a été endommagé par les attaques aériennes allemandes et
    de vandalisme et de ses alliés espagnols.
     
     
     
     
    dommages à la façade du Palais
     
      
      
    Même si, prenant en compte tout ce qui s'est passé durant l'occupation allemande et espagnole, le palais est resté dans le dévouement de ses travailleurs, peu de temps après la fin de la guerre, sont revenus et ont le potentiel de transformer ce qu'à l'extérieur.
      
    Dans les années 50, il a été le meilleur Palais préservé des banlieues et a été choisi comme un lieu d'accueil des œuvres arrivent en Sibérie Leningrad.
      
      
    Plans ambitieux ont été faites pour restaurer le palais pour récupérer la splendeur qu'il avait avant la guerre. Cette fois, le gouvernement, peut-être de Staline lui-même, a pris une décision cruciale sur l'avenir du Musée – ne deviennent pas un musée Rauf. Le palais doit être vidé et restauré comme un générique Palais du XIXe siècle.
      
      main floor Alexander Palace
      
      
      
    Toute restauration de présenter la vie privée, le Tsar et sa famille a été interdite. Cette restauration a commencé et les intérieurs qui avaient survécu à l'occupation allemande ont été brutalement dépouillés et détruits.
      
    Avant que ce travail est terminé, Staline a changé d'avis et a pris une autre décision et a décidé que le bâtiment allait devenir un musée d'aucune sorte et serait livré à la Marine pourrait utiliser comme compris.
     
    A rare and unique set of 48 Autochrome color photograph plates, taken by Alexander Zehest in 1917 of the interiors of the Alexander Palace, including both the Parade rooms and the personal rooms of the Imperial Family, have been returned to the Alexander Palace Museum.  The Autochrome process was a rare and difficult one, invented by the Lumiere Brothers of France in 1903 and marketed in Europe and the US starting in 1907.
     
    La collection unique et inestimable du palais a été séparée par plusieurs musées.
     
    Certaines parties ont été de Povlovsk, d'autres au Palais Catherine, pour le Hermitrage et autres lieux.
     
    Des articles plus personnels associés avec le Tsar et sa famille ont été tout simplement fermés et cachés dans un entrepôt inconnu.
     
     
    À la fin des années 80, Suzanne Massie et Bob Atchison, avec la bénédiction de l'ancien directeur du Musée du Palais d'Alexandre, a. Kuchmov m., qui avait fait la restauration du Palais de son objectif de vie, a demandé à la presse et à la ville de Léningrad à la réouverture du Musée du palais Alexandre.
      
      
      
    Alix with a rare smile
      
      
    Cet effort intense et épuisant s'est avéré pour avoir des succès et une décision du gouvernement a été fait pour rétablir le Musée. La seule demande était pour une réinstallation réussie de la marine qui a occupé le bâtiment.
     
     
    Encore aujourd'hui, il est possible de visiter le Musée à Tsarskoïe Selo et promenade dans les jardins étaient autrefois occupés par la dernière de la famille impériale russe.
     
     

     

     

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    NICOLAS II, LE DERNIER TSAR DE RUSSIE

    Nicolas II était le fils de l’empereur Alexandre III, auquel il succéda le 1er novembre 1894et de Dagmar du Danemark (1847-1928) (fille de Christian IX roi du Danemark). Le 26 novembre 1894, il épousa la princesse Alexandra de Hesse-Darmstadt (1872-1918), de son vrai prénom Alix, fille de Louis IVde Hesse-Darmstadt et d’Alice de Saxe-Cobourg et Gotha. Alix de Hesse-Darmstadt était la petite-fille de la reine Victoria et

    d’Albert de Saxe-Cobourg et Gotha.

    Elle fut connue en Russie sous le nom 

    russisé d’Alexandra Fedorovna.

    Le tsar Alexandre III et la princesse Dagmar du Danemark, les parents de Nicolas II.




    Nicolas II et Alexandra Feodorovna eurent cinq enfants :

    un fils, le tsarévitch Alexis Nicolaïevitch(1904-1918) et quatre filles,

    Olga Nicolaïevna(1895-1918), Tatiana Nicolaïevna(1897-1918),

    Maria Nicolaïevna(1899-1918) et

    Anastasia Nicolaïevna

    (1901-1918).

    En juin 1917, ils se sont rasés la tête parce qu'ils ont attrapé la rougeole.

    Dernière photo d'Alexis et d'Olga prise en mai 1918 pendant le trajet en train de Tioumen à Ekaterinbourg.

    Dernière photo d'Anastasia prise en mai 1918 lors du trajet en train de Tioumen a Ekaterinbourg.

    Mal préparé à assumer ses fonctions, Nicolas II est considéré par les historiens comme un homme faible, sans volonté, subissant constamment l’influence de son épouse

    (à laquelle il voue un amour sans faille) ou de ses conseillers, ou encore de son entourage plus large (comme Raspoutine).

     

    Jugé entêté, incapable de refus, il était trop délicat et bien élevé pour se déterminer grossièrement et, plutôt que refuser, préférait se taire.

     

    Grigori Raspoutine (1869-1916).

    Son épouse, Alexandra, était méprisée par les russes en raison de ses origines allemandes mais aussi de l’amitié qu’elle vouait à un moine, Grigori Raspoutine, qui devint l’intime de la famille impériale : capable de guérir les crises d’hémophilie dont souffre le tsarévitch Alexis, Raspoutine acquit une très grande influence sur le tsar et sur son épouse avant d’être finalement assassiné par une conjuration de hauts-dignitaires le docteur Pourichkevtch et le prince Youssoupov.

     

    Le prince Félix Youssoupoff (1887-1967), l’instigateur du complot pour assassiner Raspoutine.

    Cinq personnes furent volontaires pour assassiner Raspoutine :

    • Feliks Felisovitch Iousupov. 1ère photo.
    • Dmitri Pavlovitch de Russie. 2ème photo.
    • Mikhaïl Vladimirovitch Rodzianko. 3ème photo.
    • Vladimir Mitrofanovitch Pourichkevitch. 4ème photo.
    • Le docteur Stanislas de Lazovert fut chargé de conduire la voiture et de fournir le cyanure. 5ème photo.

    Conservateur, Nicolas II se considérait comme le maître absolu de la terre russe et entendait, dès son avènement, poursuivre la politique menée par son père, fondée sur le maintien de l’autocratie ; autocratie qu’il avait juré lors de son couronnement de défendre.

    En août 1915, Nicolas II prit les fonctions de commandant suprême des armées, écartant son oncle le grand-duc Nicolas Nicolaïevitch Romanov. Ce faisant, il laissait le pouvoir aux mains de l’impératrice et de Raspoutine; son quartier général était trop loin de Pétrograd.

    La Révolution de février 1917, sonna le glas du régime impérial. Dominé par l’impératrice Alexandra (elle-même détestée en raison de ses origines allemandes), le gouvernement perd le soutien du peuple russe, qui se révolta à Pétrogradde lui-même, faisant 1 300 morts.

    Le 10 février 1917, le président de la Douma remit à Nicolas II un rapport faisant état de l’impossibilité de gouverner l’Empire, en soulignant la nécessité de former un gouvernement responsable devant la Douma.

    Les commandants en chef des armées se prononcèrent, officieusement, en faveur de l’abdication du tsar, qu’ils jugent incapable de mener les armées russes à la victoire.

    Ne pouvant se résoudre à se séparer de son fils Alexis, hémophile et incapable de régner, Nicolas II abdiqua le 2 mars 1917 en faveur de son frère, Michel, qui n’accepta pas le pouvoir.

     

    Nicolas II fut arrêté par le gouvernement provisoire le 10 mars.

     

     

    Emprisonné à Perm, puis à Tobolsk  et enfin à Iekaterinbourg, Nicolas II et sa famille furent exécutés dans les caves de la villa Ipatiev (propriété d’un industriel de cette dernière ville : Nicholaï Ipatiev), le 17 juillet 1918, par un groupe de bolcheviks commandé par Iakov Sverdloyet Iakov Yourovsky, peut-être sur l’ordre de Lénine; les Bolchéviques craignaient que le symbole même de l’autocratie en Russie, le tsar, ne soit libéré par les Blancs.

    La villa Ipatiev ou Nicolas II et sa famille furent exécutés. Dans la pièce ou ils furent exécutés on peut voir les impacts de balles sur le mur.



    Les corps de la famille impériale furent chargés sur un camion puis transférés dans une forêt proche de Iekaterinbourg. Ils furent jetés dans un puit de mine d’où ils furent, quelques jours plus tard, retirés pour être ensevelis sous un chemin forestier.

    Le sort de la famille impériale resta pendant longtemps sujet à controverses : si le juge Nicolas Sokoloy, dépêché par l’amiral Koltchak, conclut immédiatement au massacre collectif et à l’incinération des corps, divers historiens – s’appuyant en cela sur des rumeurs répandues dans la région d’Iekaterinbourg – contestèrent ses conclusions.

    En 1990, les corps de la famille impériale ont été retrouvés et exhumés, puis identifiés par une analyse ADN. Deux corps manquent, celui du tsarévitch Alexis Nicolaïevitchet celui de l’une des filles Maria Nicolaïevna: d’après le rapport de Yourovsky, qui dirigea l’exécution, ces deux corps furent brûlés.

    Le 16 juillet 1998, Nicolas II a été inhumé avec sa famille, sauf Alexis Nicolaïevitch et Maria (dont les corps n’ont pas été retrouvés) dans la cathédrale Saint-Pierre & Saint-Paul à Saint-Petersbourg en Russie, ainsi que le docteur Eugène Botkine (médecin de la famille impériale) et leurs domestiques : Anna Demidova, Ivan Kharitonov et Alexeï Trupp. Ils furent inhumés en présence des descendants de la famille Romanov, en particulier le grand duc Nicolas Romanovitch, chef de la maison impériale de Russie.

    Le Grand Duc Nicolas Romanovitch, l’aîné des descendans mâles de la dynastie des Romanoff.

    Canonisation

    Le 14 août 2000, Nicolas II et sa famille ont été canoniséspar l’Église orthodoxe de Russie, qui les considère comme morts en martyrs.

    Le 17 juillet 1998, 80 ans, jour pour jour, après son horrible assassinat. Neuf cercueils ont été inhumés dans un caveau collectif : le tsar, son épouse Alexandra Federovna, trois de ses filles Olga, Tatiana, Anastasia (le tsarevitch Alexeï et sa sœur Maria Nicolaïevna introuvables ont, peut-être, été brûlés), le médecin de la famille et leurs trois domestiques.

    - 2007 : Découverte de restes humains dans les alentours d’Ekaterinbourg. En 2008, ils sont identifiés comme étant ceux de Maria et d’Alexis, les deux enfants manquants.
    - 2008 : La Cour suprême de Russie réhabilite les Romanov en tant que victimes des répressions bolchéviques. Cette réhabilitation clôt le dossier Romanov.
    - 2010 : réouverture du dossier Romanov à la demande de la Princesse Maria Vladimirovna, prétendante au trône de Russie.

    La Grande Duchesse Maria Vladimirovna.

    On pensait que leur histoire était terminée, que les pires horreurs avaient déjà été commises contre eux, et bien non ! La Grande-Duchesse Maria et le Tsarévitch Alexis pourraient bien ne jamais reposer avec leur famille dans le caveau impérial de la Cathédrale Pierre-et-Paul à Saint-Pétersbourg.

    Après avoir été entreposés pendant plus de trois ans dans la morgue d’Ekaterinbourg, les restes de Maria et d’Alexis ont été finalement transférés le 21 février 2011 à Moscou. Le lieu où ils reposeront définitivement n’a pas encore été défini. Le chef de la Maison Romanov, le prince Nicolas Romanov, résidant en Suisse, a demandé au Président Dmitri Medvedev de constituer une commission gouvernementale pour superviser l’enterrement des restes royaux. La requête du prétendant au trône est à ce jour restée sans réponse.

    Les restes de la Grande-Duchesse Maria et du Tsarévitch Alexis ont été exhumés en 2007 dans la forêt de Koptiaki, située non loin de la ville d’Ekaterinbourg. Les Bolchéviks avaient tenté de brûler leurs corps, mais n’ayant pas réussi à les détruire complètement, les ont enterrés à l’écart du reste de leur famille. En mai 2008, le Comité d’investigation de Russie écrit au Président Medevdev pour confirmer l’identité des restes retrouvés un an plus tôt : il s’agit bien des ossements des deux enfants du Tsar Nicolas II.

    Bien que les recherches scientifiques aient confirmé que les restes étaient bien ceux de la Grande-duchesse Maria et de son frère, le gouvernement russe a attendu trois ans avant de projeter l’inhumation des deux enfants, canonisés par l’Église orthodoxe russe en l’an 2000.

    Cependant, si les réclamations du Prince Nicolas restent sans réponse plus longtemps, le comité d’investigation n’aura pas d’autre choix que d’enterrer les restes dans une tombe commune dans un cimetière de Moscou, car seul un décret présidentiel pourrait autoriser leur inhumation dans la Cathédrale des Tsars. Maria et Alexis risquent donc de ne pas reposer auprès de leur famille dans la crypte impériale de Saint-Pétersbourg et les derniers Romanov ne seront jamais réunis.

    Evgueni Botkine (1865-1918), Anna Demidova (1878-1918), Alexei Trupp (1858-1918) et Ivan Kharitonov (1872-1918) sont les derniers serviteurs des Romanov.

    HOMMAGE AUX ENFANTS DE NICOLAS II.

    A présent, en Russie, un monument érigé en la mémoire des enfants du tsar Nicolas II a été édifié en octobre dernier devant le monastère Ganina Yama, où les corps de Nicolas II et d’une partie de sa famille ont été retrouvés en 1991. La consécration du monument a eu lieu le 15 novembre 2011, date anniversaire de la naissance d’Olga Nicolaïevna, la fille aînée du couple impérial. La sculpture a été réalisée par Igor Akimov à partir de portraits des Grandes-Duchesses et du Tsarévitch.

    Selon Ivan Dubrovin, le directeur de la fonderie, un miracle a même eu lieu durant l’installation du monument : « Le sculpture de bronze a été transportée au monastère dans un camion. L’installation du socle en pierre a pris plusieurs heures. Il neigeait. La sculpture a alors été soigneusement retirée du camion et placée à côté. C’est à ce moment là que l’un des visiteurs du monastère a dit « regardez, elle pleure ! ». En effet, après avoir bien observé les visages, on pouvait remarquer des gouttes qui coulaient des yeux de la statut représentant la Grande-Duchesse Anastasia, comme si c’était des larmes. Nous ne savons pas si c’était un miracle ou juste de la neige qui était tombée dans les yeux d’une seule des cinq statues de la composition ».

    La statut, baptisée « Les enfants impériaux », mesure plus de trois mètres de haut et pèse plus de deux tonnes. Selon le sculpteur « La statue représente les enfants de Nicolas II, descendants du paradis, avec une croix dans leur main, sur le socle en pierre inclinée. Ils sont serrés l’un contre l’autre et regardent prudemment autour d’eux. L’expression sur leurs visages innocents est celle de la peur qu’ils ont dû endurer lorsqu’ils étaient entre les mains de leurs assassins ».

    Lénine déclaré innocent dans l’assassinat des Romanov ? Dans tous les cas, il n’y a aucune preuve qui démontre que la Famille impériale a été massacrée sur ordre de Lénine, a déclaré le comité d’investigation en octobre dernier. Si des instructions orales ont été données, il n’y a eu aucune formalisation écrite de cet ordre. Le comité d’investigation n’a donc d’autre choix que d’imputer le massacre au soviet régional et de disculper Lénine de toute implication dans l’assassinat.
    Cette décision ne fait pas l’unanimité parmi les historiens, car il paraît très peu probable qu’une décision d’une telle importance ait été prise par les autorités régionales. Le professeur Mikhail Davydov estime quant à lui qu’il est possible que les documents concernant cet ordre aient été tout simplement détruits et que ce ne serait pas une première historique.

    Vladimir Ilitch Oulianov (1870-1924), plus connu sous le nom de Lénine.

    Pour terminer, concernant l’inhumation de Maria et d’Alexis, les intellectuels russes demandent à l’Église orthodoxe de prendre position. En effet, malgré l’authentification des restes retrouvés en 2007, l’Église orthodoxe doute toujours de leur authenticité.

    « Toutes les procédures légales ont été réalisées » a déclaré Artsishevsky lors d’une conférence sur les Romanov à Saint-Pétersbourg. « Qui est contre l’inhumation des restes ? Faîtes les enterrer. Et ce n’est pas pour le 400ème anniversaire de la dynastie Romanov, mais parce que nous sommes un grand pays, avec une grande histoire et une grande culture. Nous devons enterrer nos Tsars dignement, car la science à prouvé qu’il s’agissait en effet d’eux. »

    « Je n’ai aucun doute que les restes retrouvés en 2007 sont ceux de la famille Romanov » a déclaré Soloviev, le chef d’investigation. « Je peux garantir à 100% que ce sont bien les restes des Romanov. Nous avons utilisés des méthodes révolutionnaires pour le prouver. »

    Actuellement les restes sont entreposés aux archives nationales russes.

    Cependant, la Maison impériale des Romanov, avec à sa tête la Princesse Maria Vladimirovna, estime qu’il est prématuré de demander aux autorités russes de créer une commission gouvernementale pour inhumer les restes du Tsarévitch Alexis et de la Grande-Duchesse Maria.

    Récemment, certains descendants de la Maison des Romanov ont déclaré lors d’une conférence de presse que les restes d’Alexis et de Maria devraient être inhumés dans la Chapelle Saint-Catherine de la Cathédrale Saint-Pierre-et-Paul à Saint-Pétersbourg. Mais rien ne pourra être fait tant que l’Église orthodoxe russe ne donne son accord : « L’Église doit tout d’abord donner sa position définitive et seulement des décisions pourront être prises quant à l’inhumation des restes retrouvés près d’Ekaterinbourg. Si ce sont bien les restes des membres de la famille royale, ils seront certainement inhumés dans la sépulture » à déclaré le porte parole de la famille Romanov.

    « S’il apparaît que ces restes sont ceux d’autres martyrs, ils auront aussi le droit à une véritable inhumation. Mais il est inconcevable de répéter la fureur médiatique de 1998 et d’ignorer l’opinion de l’Église et de la Maison impériale », a déclaré le porte parole en référence à l’inhumation du tsar et d’une partie de sa famille en 1998.

    LES RESTES DE LA FAMILLE IMPÉRIALE RUSSE.

    LES RESTES DU DERNIER TSAR NICOLAS II.

    LA MÈRE DU DERNIER TSAR NICOLAS II INHUMÉE À SAINT-PETERSBOURG.

    SAINT-PETERSBOURG (AFP) – Maria Feodorovna, mère du dernier tsar de Russie Nicolas II décédée au Danemark après la révolution bolchevique, a trouvé son dernier repos dans le caveau impérial des Romanov jeudi à Saint-Pétersbourg au côté de son époux Alexandre III.

    Le cercueil avec les restes de l’impératrice, rapatrié mardi du Danemark où elle reposait depuis son décès, est entré dans la forteresse Pierre-et Paul au son des cloches. Il a été accueilli à l’entrée de l’église, qui abrite les tombeaux de presque tous les tsars depuis Pierre Le Grand, par des prêtres orthodoxes.

    Maria Fiodorovna, une princesse danoise qui avait épousé le futur tsar Alexandre III en 1862, est la dernière impératrice à rejoindre le caveau des Romanov. Les restes de Nicolas II, de sa femme et de trois de leurs filles exécutés par les bolcheviques en 1918 à Ekaterinbourg y ont aussi été inhumés en 1998, sept ans après la chute de l’Union soviétique, en présence du président Boris Eltsine.

    Le prince héritier Frédérik de Danemark et son épouse la princesse Mary ainsi que une cinquantaine des descendants de la famille Romanov et des représentants des gouvernements danois et russe assistaient à la cérémonie des obsèques. Le cercueil de la mère du dernier tsar de Russie avait quitté jeudi matin la résidence de Peterhof près de Saint-Pétersbourg pour être déposé aux côtés de son fils dans l’ancienne capitale impériale.

    Quatre-vingt-sept ans après avoir fui la révolution bolchevique, elle a effectué jeudi un dernier voyage à travers la ville où elle a passé la majeure partie de sa vie. A midi, le patriarche de Russie Alexis II a célébré une messe en la cathédrale Saint Isaac. Le cercueil était arrivé mardi en Russie en provenance du Danemark après des années de négociations entre les autorités des deux pays destinés à tourner la page du renversement en 1917 de la famille impériale.

    Décédée en 1928, elle sera la dernière impératrice à être inhumée dans le caveau des Romanov où gisent tous les tsars et tsarines depuis Pierre le Grand (1672-1725). La dernière volonté de l’impératrice, décédée au Danemark en 1928 où elle avait fui en 1919 après la révolution bolchevique, était de reposer aux côtés de son époux dans le tombeau familial des Romanov à la forteresse Pierre-et-Paul. Les restes de Nicolas II, de sa femme et de trois de leurs filles exécutés par les bolcheviques en 1918 à Ekaterinbourg y ont aussi été inhumés en 1998, sept ans après la chute de l’Union soviétique, en présence du président Boris Eltsine. Mère de six enfants, l’impératrice, qui a vécu 52 ans en Russie, s’est beaucoup occupée de bienfaisance et a défendu l’idée d’une monarchie constitutionnelle. Elle s’est également opposée à l’influence croissante du moine Raspoutine sur son fils. “L’enterrement de Maria Fiodorovna ne suscite aucune polémique en Russie. Cela signifie que la Révolution est finie, ces évènements sont devenus l’Histoire”, estime Dmitri Chibalov, historien à Saint-Pétersbourg.

    UN FILM A ÉTÉ FAIT SUR NICOLAS ET ALEXANDRA

    On a émis un timbre en leur honneur en 1998.

    OBJET APPARTENANT AU TSAR ET À LA TSARINE

    Le symbole des Romanoffs.

    La robe de son couronnement ainsi que sa mante or à côté.

    LA DEMEURE PRÉFÉRÉE DE NICOLAS II, TSARKOIE-SELO.

    Bureau du tsar à Tsarkoie-Selo.

    Nicolas II dans son pavillon de chasse en 1901.

    Nicolas II en captivité à Tsarkoie-Selo en 1917.


    RÉFÉRENCES :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_II_de_Russie

    http://www.rdl.com.lb/1998/3646/nicolas2.htm

    http://fr.news.yahoo.com/28092006/202/la-mere-du-dernier-tsar-nicolas-ii -inhumee-saint-petersbourg.html

    http://romanovfundforrussia.org/family/empress.html

    http://www.les-derniers-romanov.com/index.php

    http://www.les-derniers-romanov.com/service-blog.html

     

     

     

     

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     Les Lettres de La grande-duchesse Olga Nicolaïevna

     
      
      
    "Tu es emplie d'angoisse pour la souffrance des autres. Et nul chagrin ne t'as jamais laissée froide. Tu es impitoyable seulement envers toi-même, toujours froide et sans pitié. Mais si seulement tu pouvais voir ta propre tristesse avec recul, une fois seulement avec un esprit aimant. Oh, comme tu aurais pitié de toi-même, comme tu pleurerais tristement.
    A ma maman adorée – Olga", avril 1917.


    [ Lettre d'Olga adressée au tsar Nicolas II, le 16 août 1904. ]
    Peterhof
    Cher Papa,
    Il pleut très fort aujourd'hui aussi nous sommes restés à la maison. Maria a fait une sieste cet après-midi. Anastasia a rampé sous le lit de Maria et a dormi là, en dessous du lit.
    Quand elle s'est réveillée nous avons tous ri, et elle aussi. Nous attendons ton retour avec impatience. Est-ce qu'il fait beau là où tu es?
    Je n'ai pas vu Maman et notre frère, j'espère pouvoir les voir ce soir avant l'heure du bain. Je t'envoie un gros baiser très cher Papa.
    Olga.


    [ Lettre d'Olga adressée à Alexandra Fedorovna, le 4 décembre 1908. ]
    De tout mon cœur, je te remercie très chère Maman pour ton adorable petit mot, je t'embrasse tendrement pour cela, je ne m'en séparerai jamais. J'essaierai de faire ce que tu m'as écrit dedans. Excuse-moi de ne pas t'avoir vu seule chère Maman. Je ne peux donc pas te dire ce que je voulais, mais ce sera plus facile de te le dire en l'écrivant, mais je n'ai pas le temps maintenant.
    Que Dieu te bénisse. Baisers de ta fille dévouée,
    Olga.



    [ Lettre d'Olga adressée à Alexandra Fedorovna, le 12 janvier 1909. ]
    Ma chère Maman adorée,
    Je t'écris une lettre en réponse à la tienne, qui était si gentille. J'essaierai de faire tout ce que tu m'as écrit. Ce n'est pas toujours très facile avec Marie, car elle se met en colère pour n'importe quoi et elle se contrarie pour un rien.
    Chère Maman, cela m'aide beaucoup lorsque tu m'écris ce que je dois faire. J'essaierai de le faire le mieux possible.
    Tendre baiser de ta fille dévouée,
    Olga.
    Que Dieu te bénisse.


    [ Lettre d'Olga adressée à sa grand-mère, l'impératrice douairière Marie Fedorovna, 1911. ]
    Je suis assise sur le pont arrière [du yacht], le soleil est merveilleux et brûlant. Ce matin je me suis baignée pour la première fois avec Maria. Le temps était magnifique. Il fait toujours chaud cet après-midi, spécialement dans ma cabine, qui se trouve côté soleil. Dans l'après-midi, nous sommes allés sur l'île [qui se trouve dans le parc du palais à Tsarskoïe-Selo]. Papa jouait pendant que je me réchauffais au soleil avec Anastasia.


    [ Lettre d'Olga adressée au Père Grigory Raspoutine (non datée) ]
    Mon cher et précieux ami,
    C'est tellement triste de ne pas vous avoir revu depuis tout ce temps. Je m'ennuie de vous et pense souvent à vous. Où allez-vous passer les vacances de Noël? Je vous en prie, écrivez-moi. Je suis toujours si heureuse de recevoir une lettre de votre part.
    Vous rappelez-vous ce que vous m'avez dit au sujet de Nikolaï? Ah, si vous saviez comme c'est difficile pour moi de suivre votre conseil. S'il vous plaît, pardonnez ma faiblesse mon bon ami. Que Dieu permette à Maman d'aller mieux cet hiver, ou je serai très triste.
    Je suis très heureuse de pourvoir voir de temps en temps le Père Feofan. Je l'ai croisé il n'y a pas longtemps dans la nouvelle cathédrale à Yalta. Notre petite chapelle privée est très jolie. Au revoir, mon cher et précieux ami, c'est l'heure du thé pour moi. Priez pour votre fidèle amie.

    Les Lettres  de La grande-duchesse Olga Nicolaïevna
    Si vous avez le second volume de "Notre Dame de Paris" envoyez le moi je vous en prie. Olga Romanoff. 13 Mars 1914." - Lettre d'Olga écrite en français pour Pierre Gilliard(?) en 1914.


    [ Lettre d'Olga adressée à Olga Alexandrovna (sœur de Nicolas II), le 21 juin 1917. ]
    Ma chérie, chère Marraine,
    Je suis extrêmement touchée par ta jolie lettre. Je voulais avoir une conversation de « cœur-à-cœur » avec toi lorsque nous étions à Kiev, mais je n'en ai pas eu l'opportunité.
    Ma pauvre Maman s'ennuie terriblement. Je ne n'arrive pas du tout à m'habituer à notre nouvelle vie ici [Olga et sa famille sont emprisonnées au palais Alexandre depuis maintenant trois mois], bien que dans l'ensemble je peux être heureuse à l'idée de nous retrouver tous ensemble en Crimée [où la famille possède un palais]. Je suis terriblement triste en pensant à nos chères nièces et à leurs parents, ainsi qu'à notre pays. Petites poupées! Mais c'est deux fois plus difficile pour toi, ma tante chérie. Puisse Dieu te protéger.
    Je t'embrasse ainsi que Mitia. Je t'aime de tout mon cœur.
    Ta filleule adorée,
    Olga.


    Les Lettres  de La grande-duchesse Olga Nicolaïevna
    Lettre d'Olga écrite pour Valentina Ivanova Chebotaryova en 1917.


    [ Lettre d'Olga adressée à Anna Vyroubova, février 1918. (Les Romanov sont alors emprisonnés à Tobolsk). ]
    Chérie, je suis de tout mon cœur avec toi dans ces jours difficiles. Que Dieu te vienne en aide et te réconforte, ma chérie. Sur la table de maman se trouve la bouteille mauve que tu lui as envoyée, elle nous fait tant penser à toi. Il y a beaucoup de soleil, mais il fait très froid suite à de fortes gelées et au vent. Il fait très froid dans les chambres, et spécialement dans la notre, qui se trouve à l'angle de la maison. Nous allons tous bien, et nous marchons souvent dans la cour. Il y a beaucoup d'églises aux alentours, aussi nous entendons toujours les cloches sonner. Que Dieu te bénisse, chérie. Comme c'est triste que ton frère et ta sœur ne soient pas avec toi.
    Ton Olga.


    [ Lettre d'Olga adressée à Anna Vyroubova, mai 1918 (Olga est alors encore retenue à Tobolsk avec Tatiana, Anastasia et Alexei) ]
    Chérie, je profite de la première occasion pour t'écrire les dernières nouvelles que nous avons eues de notre famille à Ekaterinbourg [où ses parents et sa sœur Maria ont été transférés en avril 1918]. Ils nous ont écrit le 23 avril que le voyage sur les routes raboteuses a été terrible, mais malgré une grande fatigue, ils vont bien. Ils vivent dans trois pièces et mangent la même nourriture que les soldats. Le petit [Alexei, atteint d'une crise d'hémophilie] va mieux, mais il est encore au lit. Dès qu'il sera assez en forme, nous partirons les rejoindre. Nous avons eu des lettres de Zina, mais aucune de Lili [des amies de la famille]. Est-ce que Alya [sœur d'Anna Vyroubova] et ton frère ont écrit? Le temps s'est adouci, la glace a disparu de la rivière Irtysh, mais rien n'est encore vert. Chérie, tu dois savoir comme tout cela est atroce. Nous t'embrassons tous. Que Dieu te bénisse.
    Olga.
     
      
      
      
      
      
    SOURCES
      
    http://anastasia-nicolaevna.skyrock.com/2995602013-Les-Lettres-de-La-grande-duchesse-Olga-Nicolaievna.html
     
     
     
     
     
     
     
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    L’assassinat des Romanov, petit exemple de l’humanisme de gauche

      

    Minuit. Iekaterinbourg dort paisiblement en cette nuit du 16 au 17 août 1918. La villa Ipatiev située en plein centre-ville est calme également, tout au moins en apparence. La famille impériale y est retenue depuis le 30 avril et depuis cette date les jours s’écoulent dans l’ennui (la propriété est isolée par de hautes palissades en bois). Ils s’écoulent aussi dans la crainte. Le comité de l’Oural a désigné un certain Avdéïev en tant que responsable de la maison. C’est un alcoolique à l’intelligence tristement limitée qui se révèle violent à l’occasion. Les gardes sont à l’avenant.

      

      

    Le 4 juillet, Avdéïev est remplacé par le commissaire Iakov Yourovski qui arrive avec dix gardes armés qui prennent la relève de ceux qui étaient sous les ordres d’Avdéïev. Youroski s’absente souvent, il parcourt la région à cheval. Le 16 août, peu avant minuit, Yourovski réunit les gardes et leur fournit des revolvers, puis il entre dans les chambres où dorment la famille impériale et leurs suivants (Evgueni Botkine, Anna Demidova, Ivan Kharitonov et Aloïs Troupp) afin de les avertir qu’ils vont être transférés. Les prisonniers descendent donc jusqu’au sous-sol où on leur a dit qu’ils devaient attendre l’arrivée des camions. Mais laissons la parole à Pierre Gilliard qui fut le précepteur des enfants du Tsar :

    Le 16 juillet au soir, Yourovski procura des pistolets à ses hommes. Après minuit, il demanda aux Romanov et à leurs suivants de se préparer à être transférés dans un lieu plus sûr. Tout le monde descendit par les escaliers intérieurs jusqu’au sous-sol. L’ex-tsar portait son fils dans ses bras. Il y avait deux chaises, où s’assirent l’empereur et l’impératrice, Alexis se trouvait sur les genoux de son père, les grandes-duchesses et leurs suivants se trouvaient debout à côté du couple impérial.

    Yourovski, prétextant qu’il allait chercher un appareil photographique pour prouver de leur bonne santé auprès de Moscou, alla régler les derniers détails du massacre avec ses hommes de mains. Puis il ouvrit la double porte où se trouvaient les prisonniers. Sur le seuil, les douze hommes s’alignèrent sur trois rangs. Dehors, le chauffeur du camion mit le moteur en marche pour couvrir le bruit des détonations.

    Au premier rang des tueurs, Yourovski sortit un papier et se mit à le lire rapidement : “Du fait que vos parents continuent leur offensive contre la Russie soviétique, le comité exécutif de l’Oural a pris le décret de vous fusiller.” La fusillade se déchaîna aussitôt, dans le désordre le plus absolu. Il n’était plus question de préséance révolutionnaire : la plupart des exécuteurs visèrent le tsar. Le choc des multiples impacts le projeta en arrière et il s’effondra, mort sur le coup. Alexandra et la grande-duchesse Olga eurent à peine le temps d’esquisser un signe de croix avant de tomber à leur tour, ainsi que Troupp et Kharitonov. Le massacre prit rapidement un tour dantesque.

      

    Dans la fumée de la poudre qui emplissait la pièce, le tsarévitch effondré par terre, faisait preuve, selon Yourovski, d’une “étrange vitalité” : il rampait sur le sol en se protégeant la tête de la main. Nikouline, maladroit ou trop énervé, vida sur lui un chargeur sans réussir à le tuer. Yourovski dut l’achever de deux balles dans la tête. Le sort des grandes-duchesses fut encore plus horrible : les projectiles ricochaient sur leurs corsets où elles avaient cousu des bijoux et des pierres précieuses pour les dissimuler aux gardiens.

    Yourovski dira, plus tard, qu’elles étaient “blindées”.

    Anna Demidova fut aussi très longue à mourir.

     

    Les tueurs ont vidé leurs armes mais cela ne suffit pas, trois des grandes-duchesses étaient encore en vie. Selon son témoignage, Kabanov alla chercher une baïonnette en forme de couteau d’une Winchester pour les achever. D’autres l’imitèrent. Les corps ensanglantés furent emmenés en camion dans une clairière, près du village de Koptiaki. Ils furent arrosés d’acide sulfurique, brûlés et démembrés avant d’être ensevelis sous un chemin forestier.

    Pour ceux qui croiraient que ce fut un incident de parcours :

    ” Le métropolite Vladimir de Kiev fut mutilé, castré avant d’être fusillé. Son corps laissé nu, exposé à la profanation publique. Le métropolite Véniamine de Saint-Pétersbourg, candidat possible à la succession du patriarche, fut transformé en un pilier de glace : on le passa sous une douche d’eau froide par un temps glacial. L’évêque Germogène de Tobolsk, qui avait accompagné le Tsar en exil de son plein gré, fut sanglé vivant à la roue à aubes d’un bateau à vapeur et déchiqueté par les pales en rotation. L’archevêque Andronnik de Perm, qui s’était acquis une réputation de missionnaire et qui avait œuvré au japon, fut enseveli vivant. Et l’archevêque Vassili a fini crucifié et brûlé. “

    Alexander Yakovlev – Le Cimetière des Innocents – page 189

    Il est là le véritable visage de l’homme de gauche, du révolutionnaire. 1789 / 1917 /1936 /1949 / etc., même combat. Mêmes aspirations frustrées de petits bourgeois envieux prêts à toutes les horreurs pour s’emparer du pouvoir; mêmes horreurs perpétrées au nom de la liberté et du bonheur du genre humain; mêmes machines politiques inhumaines créées pour instiller dans le bas peuple une saine peur du nouvel appareil de gouvernement; même volonté d’abattre tout ce qui fait sens, tout ce qui cimente la société humaine afin d’isoler les hommes face à la puissance publique.

     

     

    Sources

    https://koltchak91120.wordpress.com/2011/08/15/lassassinat-des-romanov-petit-exemple-de-lhumanisme-de-gauche/

     

     

     

     

     

     

     

     

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    biographie d' Alexandra Feodorovna Romanova

    la biographie d4 Alexandra Fiodorovna Romanova
      
      
      
    Alix de Hesse, de son nom complet Victoria Alix Hélène Louise Béatrice de Hesse-Darmstadt, la sixième enfant du grand-duc Louis IV de Hesse et de la princesse Alice du Royaume-Uni, est née le 6 juin 1872 au palais de Hesse, en Allemagne. Elle était surnommée "Sunny" ("rayon de soleil") par ses soeurs et sa mère lors de son enfance.
      
    Même si son premier prénom était Victoria (tout comme une de ses soeurs et plusieurs cousines), tout le monde l'appelait par son second prénom : Alix.
     
     
    photo d' Alexandra Fiodorovna Romanova
     
    Alix bébé
      

    Alix avait cinq frères et soeurs : Victoria (née en 1863), Elisabeth (née en 1864), Irène (née en 1866), Ernest-Louis (né en 1868), Frédéric (né en 1870) et Marie (née en 1874). A peine âgé de trois ans, son frère Frédéric, atteint d'hémophilie, meurt d'une hémorragie en tombant d'une fenêtre. Puis, le 16 novembre 1878, sa jeune soeur Marie décède de la diphtérie, tout comme sa mère qui décèdera quelques jours plus tard.
      
    Alix quitte alors Hesse avec son père, son frère et ses trois soeurs pour l'Angleterre, où sa grand-mère maternelle, la reine Victoria du Royaume-Uni, la prend sous son aile protectrice. Alix restera traumatisée tout au long de sa vie par la mort de sa mère.

     
    la biographie d4 Alexandra Fiodorovna Romanova
      
      
    Sa cousine, la reine Marie de Roumanie la décrira plus tard à une amie:
    "Son attitude vis-à-vis du monde était dépourvue de confiance, de tendresse, et dans une certaine manière, hostile...
      
    Elle était à la fois proche et lointaine comme si quelqu'un voulait lui voler quelque chose qui lui appartenait."
    Une autre de ses cousines, la princesse Marie-Louise de Schelswig-Holstein, fatiguée de ses chagrins continuels lui dit : "Alix, tu fais toujours la malheureuse; un jour, le Tout-Puissant t'enverra des chagrins accablants et que feras-tu alors?"


    En avril 1884, sa soeur aînée Victoria épouse le Prince Louis de Battenberg. Deux semaines plus tard, sa soeur Elisabeth (surnommée Ella) épouse le grand-duc Serge Alexandrovitch de Russie, fils du tsar Alexandre II et de la princesse Marie de Hesse-Darmstadt (une tante d'Alix), de son nom russe Maria Alexandrovna. C'est lors du mariage de sa soeur Ella et du grand-duc Serge Alexandrovitch, qu'Alix fait la connaissance du tsarévitch Nicolas Alexandrovitch, fils aîné du tsar Alexandre III. Alix est alors âgée douze ans et Nicolas de seize.
      
    Elle rencontre également les frères et soeurs du jeune tsarévitch : Georges, Xenia, Michel et Olga.

    Les mois passent, Alix et Nicolas s'envoient régulièrement des lettres. Nicolas pense même déjà à épouser Alix.
      
    Cependant, un obstacle s'oppose à cette union. En effet, les parents de Nicolas, Alexandre III, mais surtout Marie Fedorovna montrent une hostilité courtoise envers la jeune Alix.
      
    Ni l'un, ni l'autre ne souhaitent introduire une nouvelle princesse allemande dans leur famille. D'ailleurs, Alix apprend quelque temps plus tard que les parents de Nicolas veulent lui imposer un mariage avec une princesse française, Hélène d'Orléans, fille du comte de Paris.
      
      
     
      
    Bien que meurtrie par la réticence dont elle est l'objet de la part de la famille impériale, Alix ne veut pas s'avouer vaincue. Afin de marquer sa prédilection pour la Russie, elle achète dans une foire des poupées taillées dans du bois de bouleau, arbre symbole dans la patrie de Nicolas.
      
    Rentrée en Angleterre, elle exige d'apprendre le russe et se lance dans de longues discussions théologiques avec l'aumônier de l'ambassade de Russie.
     
      
    Agacée de rester si longtemps dans l'expectative, la reine Victoria écrit à son autre petite-fille, la grande-duchesse Elisabeth, pour lui demander si Alix n'a pas attiré sur elle "l'attention d'un des membres de la dynastie russe". Dans ce cas, elle ne confirmerait pas Alix dans la religion anglicane et préparerait sa conversion à l'orthodoxie.
      
      
    Photo de La grande-duchesse Olga Nicolaïevna
    De gauche à droite: Marie Fedorovna, Olga, Xenia, Irène, Olga Alexandrovna, Nicolas et Alix.
      
      
    Obéissant aux consignes de la cour, Elisabeth laisse la lettre sans réponse.
      
      
    Du coup, Alix comprend que sa présence n'est décidément pas désirée à Saint-Pétersbourg et se rebiffe. Murée dans la solitude et la fierté, elle repousse la demande en mariage d'un obscur prince allemand, cherche une consolation dans la lecture des livres de piété, se fait confirmer dans le rite anglican et déclare qu'elle "aimerait mieux rester vieille fille que de renoncer au protestantisme".

    Cependant, le tsar Alexandre III tombe gravement malade, et sur la demande de son fils, il accorde à Nicolas de demander la main de la jeune Alix. Mais la princesse allemande s'oppose toujours à se convertir à l'orthodoxie :
      
    "Seigneur, quelle journée!" écrit Nicolas,
      
      
    "Après le café, vers 10 heures, nous sommes allés chez tante Ella (Elisabeth Fedorovna) dans l'appartement d'Ernie (grand-duc Ernest-Louis de Hesse Darmstadt) et d'Alix. Elle (Alix) a remarquablement embelli, mais elle avait l'air triste. On nous laissa seuls et c'est alors que commença entre nous cet entretien que depuis longtemps je souhaitais et redoutais à la fois. Nous avons parlé jusqu'à midi, mais sans succès.
      
      
    Elle s'oppose toujours au changement de religion. La pauvre, elle a beaucoup pleuré. Elle était plus calme quand nous nous sommes séparés." Le lendemain, le 6 avril, nouvelle note attendrie dans le journal de Nicolas: "Alix est venue et nous avons encore eu un entretien. Mais j'ai moins touché à la question d'hier. C'est déjà bien beau qu'elle ait consenti à me voir et à me parler."

    Enfin, deux jours plus tard, le 8 avril, cri de victoire:
      
    "Jour merveilleux, inoubliable dans ma vie! C'est le jour de mes fiançailles avec ma chère, mon incomparable Alix... Nous nous sommes expliqués tous les deux (...)
    J'ose à peine croire que j'ai une fiancée."
      
     
      
    Biographie d'Alexandra Feodorovna Romanova
      
    Photo rare, Nicolas II et Alexandra.... ( ils s'adoraient )
      
      
      
    Alix et Nicolas rentrent en Russie pour rendre visite à Alexandre III, toujours gravement malade. Aussitôt arrivés, Alix se convertit à la religion orthodoxe, et est à présent appelée la grande-duchesse Alexandra Fedorovna. Peu de temps après sa première rencontre avec lui, le tsar Alexandre III décède de sa maladie le 20 octobre 1894.
      
    Nicolas est à présent le tsar de toutes les Russies.

    Nicolas et Alix se marient juste après la mort du tsar Alexandre III. Peu de temps après l'union du jeune couple impérial, Alix donne naissance à leur premier enfant le 15 novembre 1895, une fille prénommée Olga ("bien-aimée" en russe).
     
     
      
    Biographie d'Alexandra Fiodorovna Romanova
     
    Sa naissance est suivie par trois autres filles, et finalement un garçon: Tatiana naît le 10 juin 1897, Maria le 26 juin 1899, Anastasia le 18 juin 1901, et après plus de trois ans de prières, Alix donne naissance le 12 août 1904 à un fils, le tsarévitch Alexeï.

     
    Après la naissance d'Alexei, on découvre au jeune garçon une terrible maladie, l'hémophilie.
      
    Déjà à cette époque, on savait que cette maladie ce transmettait de mère en fils. En fait, Alix a hérité cette maladie de sa grand-mère maternelle, la reine Victoria. La santé du jeune tsarévitch se dégrade jusqu'à ce qu'une cousine de Nicolas présente au couple impérial un guérisseur, Grigori Raspoutine. Ses dons vont lui permettre de sauver plusieurs fois le tsarévitch de la mort.
      
    Biographie d'Alexandra Fiodorovna Romanova
      
      
     
    La "Grande Guerre" débute. Nicolas part alors au front avec le tsarévitch Alexei. Alexandra envoie régulièrement des lettres à son époux parti au front et le pousse dans l'autocratie la plus extrême: "Soit Ivan le terrible, Pierre le Grand. Ecrase-les de ta grande stature" écrit Alexandra dans une de ses lettres adressées à Nicolas. Mais le tsar n'est pas fait pour être un autocrate et doit abdiquer suite à la révolution de février 1917. Alix est ensuite emprisonnée et assassinée avec toute sa famille le 17 juillet 1918 à l'âge de 46 ans.
      
      
    Biographie d'Alexandra Fiodorovna Romanova
      
     
      
    sources :
      
      
      
      
      
     
      
      
     
     
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    Le Tsar Nicolas II, “Empereur de toutes les Russies

    Nicolas II est tsar de toutes les Russies, de 1894 à 1917. Il sera exécuté par les bolchéviques, le 17 juillet 1918 à Ekaterinbourg. Il était le dernier empereur de Russie, roi de Pologne et grand-prince de Finlande.

    Le train du Tsar Nicolas II a été construit en 1894 mais il a été entièrement refait en 1902. Au total, il comprenait 10 wagons. Les principaux wagons étaient réservés au Tsar et à sa famille. On trouvait dans les autres wagons notamment une cuisine, un compartiment à bagages et un wagon pour l’intendance du Tsar.

     

     

    The salon in the Imperial train.

    The salon in the Imperial train.

    Le Prince Aleksey

    La gare impériale

    La ligne transsibérienne en 1904

     

      

      

    SOURCES :

    SUPERBE BLOG

    http://fotosix.wordpress.com/2011/12/05/le-train-du-tsar-nicolas-ii-1902/

     

     

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    la biographie de Nicolas II de Russie

    la biographie de Nicolas II de Russie 
      
    Nicolas Alexandrovitch Romanov est né le 18 mai 1868 au palais de Tsarskoïe-Selo. Il est le fils aîné du tsar Alexandre III et de l'impératrice Marie Fedorovna. Son père assista à sa naissance:
      
    "Les contractions devenaient de plus en plus fortes", relate-t-il dans son journal, "et Minnie (Marie Fedorovna) souffrait beaucoup. Enfin, à deux heures et demie ç'a été fini et ses souffrances ont cessé. Dieu nous a donné un fils que nous appellerons Nikolaï. Quelle n'a pas été notre joie indescriptible! J'ai aussitôt couru embrasser ma femme chérie qui s'est réjouie autant que moi, follement heureux. Je pleurais comme un enfant (...) Papa et Maman nous ont serrés dans leurs bras avec chaleur. Nous avons bu du thé en discutant avec Minnie jusqu'à 11 heures, et à plusieurs reprises je suis parti admirer notre petit ange."

    Aussitôt la naissance du futur tsar de Russie, les habitants de Saint-Pétersbourg sont secoués par une détonation triomphale venant de la forteresse Pierre-et-Paul de Saint-Pétersbourg. Cent deux coups de canon se succèdent à des intervalles assez éloignés pour qu'on puisse les compter. Le chiffre fatidique est dépassé, la Russie apprend avec une grande joie que la grande-duchesse Marie Fedorovna vient de donner naissance à un fils

    Nicolas passa une enfance joyeuse auprès de ses frères et soeurs, de ses parents et de ses grands-parents. Cependant, Nicky allait vivre en mars 1881, un événement qui allait l'influencer toute sa vie. Alors que le tsar Alexandre II, le grand-père de Nicolas, rentrait au palais d'hiver de Saint-Pétersbourg, des bombes furent lancées sur le cortège impérial. Alexandre II fut littéralement déchiqueté, mais était encore en vie. Il mourut quelques heures plus tard au palais d'Hiver.
     
     
    Nicolas et son cousin, le roi Georges V du Royaume-Uni.
    photo du Nicolas II de Russie
      
    Immédiatement, les canons de navires de guerre, ancrés dans le port de Yalta, saluent une dernière fois le tsar défunt et on dresse sur la pelouse, devant le palais, un autel en plein air pour le serment d'allégeance au nouveau souverain, Nicolas II.

     
    Alix et Nicolas vers 1894
    photo d' Alexandra Fiodorovna Romanova
      
    A peine le tsar Alexandre III enterré, on procède à l'union de Nicolas et d'Alix, de son nom russe, Alexandra Fedoovna. Les fêtes du couronnement des jeunes souverains doivent avoir lieu à Moscou en mai 1896. Cependant, une grande joie s'offre à Nicolas avant son couronnement: Alix donne la vie à leur premier enfant. C'est une fille: on lui donnera comme prénom Olga.
     
    Nicolas, Alexandra et Olga en 1895.

    photo du Nicolas II de Russie

    Nicolas, Alexandra, Olga et Tatiana en 1897.
    photo du Nicolas II de Russie
    Nicolas, Alexandra et Tatiana en 1897.
    photo du Nicolas II de Russie
    Nicolas, Olga et Tatiana vers 1898

    photo du Nicolas II de Russie
    Nicolas, Alexandra et Maria.

    photo du Nicolas II de Russie


     
     

    Lors du couronnement du jeune couple, plusieurs centaines de personnes meurent piétinées alors qu'elles étaient invitées à manger gratuitement en raison de l'avènement des nouveaux souverains. Nicolas et Alexandra battent alors des records d'impopularité, qui se renforceront lors de la guerre Russo-Japonaise et lors de la révolution de 1905, qui mit à mort plusieurs dizaines de personnes dans les rues de Saint-Pétersbourg.
    La famille du dernier empereur de Russie. Photos.
      
    Au comble de leur malheur, Alix n'arrive pas à donner d'héritier mâle au trône de Russie. En effet, elle met successivement au monde quatre filles: Olga en 1895, Tatiana en 1897, Maria en 1899 et Anastasia en 1901.

     
      
    Cependant, elle donne naissance en 1904 à un fils, Alexeï. Nicolas et Alix sont remplis de bonheur par la naissance de leur fils. Mais, on lui découvre vite une maladie incurable, l'hémophilie. Nicolas se referme alors peu à peu sur lui, et délaisse son statut d'empereur pour s'occuper de sa femme et de ses enfants.
     
     

    Après les cérémonies du tricentenaire de la dynastie des Romanov, il ne verra pas la première guerre mondiale arriver, et ne mesurera pas les conséquences de l'entrée en guerre de la Russie dans ce conflit sanglant.
      
    Des milliers de soldats russes sont sacrifiés. Une révolte dans le pays voit alors le jour, ce qui entraîne l'abdication de Nicolas en mars 1917 et son emprisonnement avec toute sa famille. Après un an et demi de captivité, Nicolas est assassiné avec sa femme et ses enfants le 17 juillet 1918 à l'âge de 50 ans.
     
     
     
     
     
     SOURCES
     
     
     
     
     
     
     
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     Extrait des journaux intime de la grande-duchesse Tatiana Nicolaïevna

     

    Prière écrite par Tatiana en captivité.

    "Que Dieu nous bénisse et que Sa parole nous accompagne.
    Pourquoi, à la vue d'un cimetière orthodoxe, notre coeur se fait-il lourd ?
    Parce qu'il nous rappelle que la vie terrestre n'est qu'une agitation.
    Nous ne savons jamais lutter contre nos désirs,
    nous servons notre chair et cherchons un bien-être paresseux
    dans la calomnie et la rancune.
    Pourquoi, cependant, près d'un tombeau de gens pieux,
    nous sentons-nous apaisés ?
    Parce que le sacrifice de leur coeur nous apparaît.
    Comme, à Pâques, le Christ a souffert et supporté son martyre,
    l'homme pieux supporte la rancune et la persécution."


    Pensée de Tatiana écrite sur une feuille retrouvée dans son journal.

    "Le Seigneur nous rappelle que ce n'est pas le mal qui vainc le mal, mais l'amour.
    Nous devons aussi lutter car la réponse au bien est le mal, et le mal règne."


    extrait des journaux intime de la grande-duchesse Tatiana Nicolaïevna
    Journal intime de Tatiana.

    Entrée du 17 juillet 1914.

    Dans la matinée, ai fait de l'équitation avec Maria et Anastasia. Nous avons rencontré Pavel Alexeïevitch. Ai eu des cours. Tous les cinq, avons pris le petit-déjeuner avec papa et maman. Nous avons joué de la musique et chanté avec Ania [Anna Vyroubova] et Viktor Erastovitch. Papa n'était pas là - il travaillait à la maison. Nous avons bu du thé ensemble. Ai nagé avec Anastasia dans la mer. Nous avons dîné toutes les deux avec papa, maman et tante Olga. [la soeur de Nicolas]
      

     

     

    Beginning of Grand Duchess Tatiana’s Diary, 1915-16.

      
      
    SOURCES
      
      
      
      
     
     
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    Extrait des journaux intimes de la grande-duchesse

    Olga Nicolaïevna

      

     

    extrait des journaux intime de la grande-duchesse Olga Nicolaïevna
    Dernier journal intime d'Olga, 1917-1918.
     
    [ Entrée du 11 avril 1911 ]

    Déjeuner avec papa et maman. Dans l'après-midi, revue des nouvelles recrues de la garde rapprochée et d'une autre compagnie. La revue fut vraiment très belle. Thé avec S[ophia] I[vanovna Tiutcheva, une gouvernante]. Après le thé, contact téléphonique avec Nik[olaï] P[avlovich Sablin] et P.A. Voron[ov, un ami d'Olga]. Dîner avec maman et Ania [Anna Vyroubova]. Office religieux. Papa a dîné avec les hussards.


    [ Entrée du 20 août 1911 ]

    A 10 heures départ avec Papa, T[atiana] et Al[exei] vers Krasnoïe Selo pour la parade du régiment moscovite. Il y a eu un office et la parade. Dans l'après-midi, promenade dans le jardin. Puis, rien de spécial. Après le dîner, travail dans la chambre de maman.


    [ Entrée du 8 novembre 1911, Livadia ]

    Une délégation de mon régiment était là. Papa a présenté tout le régiment, vêtu de la pelisse blanche des hussards [un manteau ressemblant à une cape] qu'ils portaient autrefois. Il y a longtemps, lorsque le régiment est devenu le régiment des dragons, la pelisse a été supprimée, l'uniforme a été conservé, mais pas la pelisse. Aussi, un sentiment de joie a envahi le régiment.


    [ Entrée du 13 septembre 1913, Livadia ]

    D'abord, je suis restée à la maison à cause de la pluie. Puis, je me suis promenée avec Papa, T[atiana], S[okrovishce, Pavel Voronov] et Zlebov. Cette après-midi, Papa est allé se promener avec trois gardes du corps, mais je suis restée à la maison. Et je ne le regrette pas car mon S. [Voronov] et T.S. étaient dans la chambre de Maman. S. a fait une liste des dernières choses pour la vente de charité.
      
    J'étais assise à côté de lui et j'étais si heureuse de le voir. Je ne voyais que lui... Des sans-abri ont été accueillis dans l'autre pièce, puis j'ai joué du piano pour lui et Papa est rentré. Nous avons pris le thé. Maman a eu des maux de tête. Nous sommes allés à l'église pour Vsenoschnaya. Dans la soirée, Papa a rencontré Prokopy personnellement. Nous avons travaillé. 12°C.


    [ Entrée du 17 novembre 1913 ]

    Avec Alexey, P[apa], N.P, Anya [Vyroubova] et S.[Voronov] chéri, à Oreanda et Kurpaty. Nous avons pris le thé ensemble. A 7 heures, invités à diner puis un bal jusqu'à minuit et demi. Très, très amusant et terriblement beau... J'ai vraiment apprécié. S [Voronov] est un homme gentil et doux.
     
     
     

    extrait des journaux intime de la grande-duchesse Olga Nicolaïevna

    Poême et peinture réalisés par la grande-duchesse olga.

     
    Tante Ella [Elisabeth Fedorovna] est passée 5 minutes. Mon coeur ne se porte pas aussi bien qu'auparavant, j'ai des douleurs au coeur, mon coeur n'est pas en bonne santé. J'ai seulement dormi une heure et demie.


    [ Entrée du 20 octobre 1916 ]

    Avec maman à l'église de Znamenie et à l'infirmerie. Sommes allées immédiatement donner des médicaments, puis avons écrit, fait les lits... Ce soir, sommes allées toutes les quatre à l'infirmerie. L'enseigne Petrov du 44ème régiment de Valtaisk est rentré hier, blessé au ventre et à la poitrine. Sommes passées tous les voir.


    [ Entrée du 10 décembre 1916 ]

    Maman est allée chez Ania [Vyroubova] et a vu Kalinin. A 19h, nous sommes allées à la veillée. Dans la soirée, nous sommes tous passés chez Ania. Grigory Efimovich [Raspoutine] et Feodosia Stepanovna étaient présents. Ils ont diné. Puis, à l'hôpital. Tout allait bien là-bas. Je n'ai rien fait de particulier. A 23h, nous avons pris le train de nuit pour Novgorod.


    [ Entrée du 17 décembre 1916 ]

    Nous sommes allées toutes les 2 à Znamenia. Comme d'habitude, nous avons fait les lits. Nous avons joué au bloshki avec Kasyanov contre Tatiana et les Ulan. Nous avons mangé avec Maman. Ania a bu du thé et a diné. Nous sommes restées avec Maman toute la journée. Père Grigory [Raspoutine] a disparu pendant la nuit. Ils le cherchent partout. C'est tellement pénible. Lili Dehn est venue. Papa a écrit. Nous avons veillé jusqu'à presque minuit. Nous attendions un appel de Kalinin, etc. Nous avons dormi ensemble toutes les 4. Oh, Seigneur, viens à notre aide !
     
     

    extrait des journaux intime de la grande-duchesse Olga Nicolaïevna
     
      
    [ Entrée du 18 décembre 1916 ]

    Lithurgie à 9h. Maman et Ania [Vyroubova] ont communié. Elle reste avec nous car Maman s'inquiète à son sujet. Vers 11h, nous sommes allées à l'hôpital toutes les deux. Pas grand chose à faire, simplement trier et nettoyer, etc. Kasyanov est en ville depuis hier. Hier et aujourd'hui, Papa a eu un conseil de guerre et a été obligé de partir après quatre heures et demie. Oh ! Seigneur viens à notre aide, c'est si douloureux et dur !

    Ania [Vyroubova] et Lili [Dehn] étaient ici le matin et pendant la journée. Nous sommes allées nous promener avec elles et Titi. C'était une matinée radieuse, claire et ensoleillée mais extrêmement froide. Nous étions assises toutes ensemble. Dieu, protège-nous et sauve-nous. Lili et Ania ont pris le thé et vont diner. N.P a diné et est parti à 22h. Nous nous sommes séparés à seulement 23h. Tout est si douloureux ! T[atiana] et moi avons dormi avec Maman. Moi, dans le lit de Papa et T[atiana] sur le canapé.


    [ Entrée du 19 décembre 1916 ]

    Comme d'habitude, nous nous sommes rendues à Znamenia et à l'hôpital. Presque rien à faire. Nous sommes allées avec Kasyanov dans la salle de réception. Les portes étaient fermées et il n'y avait personne. J'ai joué et il a chanté tout un panel de nouvelles et jolies choses. Il était très, très charmant ! Ensuite, j'ai distribué des médicaments et j'ai de nouveau joué. Après midi, après avoir fait des bandages, j'ai commencé à jouer au bloshki - comme d'habitude - et nous avons gagné avec Kasyanov. J'ai mangé avec Maman. Finalement, nous avons appris que le Père Grigory [Raspoutine] avait été tué. Il semble que ce soit Dmitri [Pavlovich] qui l'ait fait, et ils l'ont jeté du pont à Krestovsky. Il a été retrouvé dans l'eau. C'est si difficile à supporter - je ne peux même pas écrire. Nous avons bu le thé avec Ania [Vyroubova] et, tout ce temps, nous avons ressenti sa présence.
    Nous sommes sortis à 17h et nous sommes allés saluer Papa et Alexei à 18h. Quel bonheur ! Nous avons diné ensemble ! Après 22h, Papa et Maman ont reçu Kalinin, puis oncle Pavel. Nous étions avec Ania dans sa chambre. Nous sommes allés au lit à minuit.


    [ Entrée du 20 décembre 1916 ]

    Nous sommes allées à Znamenia et à l'hôpital. Nous avons rédigé des prescriptions, comme d'habitude et avons pris les températures. Kasyanov nous a aidées et nous a dicté ce que nous avons écrit. Nous sommes restés logntemps près des casiers. Je n'ai vraiment pas fait grand chose. Ensuite, bloshki avec Meyer contre Tatiana et Kasyanov. J'étais confuse tout le temps et mal à l'aise, je ne pouvais y jouer sans lui. Je me suis habillée pour aller en ville.

    J'ai mangé avec Papa, Maman et Alexei. Je suis allée me promener avec Papa après 15h. Un jour clair et ensoleillé, il fait 13°C en dessous de zéro. Après le thé, nous sommes restés avec Ania. Rien de particulier dans la soirée. Nous sommes restés ensemble. Après 23h, nous nous sommes couchés.


    [ Entrée du 21 décembre 1916 ]

    A 9h, nous 4, Papa et Maman sommes allés à l'endroit où l'église d'Ania [Vyroubova] sera construite. Père Grigory [Raspoutine] a été enterré du côté de la future église. Dieu sacré sauve nous ! Les seules personnes présentes étaient Ania [Vyroubova], Lili [Dehn], Akilina, Feodosia Stepanovna, Zhuk, le colonel Maltsev, l'architecte et le prêtre. Après cela, nous nous sommes rendus à Znamenia et à l'hôpital. J'ai dicté quelque chose à Kasianov. J'ai fait les lits et donné des médicaments.


    [ Entrée du 22 décembre 1916 ]

    ... Papa et Maman acceptent tout. Mon Dieu, ils travaillent si dur et c'est vraiment pénible et difficile à supporter pour eux. Seigneur, aide les et bénis les.


    extrait des journaux intime de la grande-duchesse Olga Nicolaïevna
    Journal intime d'Olga, 1916.
      
      
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    la biographie de La grande-duchesse Olga Nicolaïevna

    la biographie de La grande-duchesse Olga Nicolaïevna OLGA est née le 15 novembre 1895 au palais de Tsarkoïe-Selo. Elle est la fille aînée du tsar Nicolas II et de l'impératrice Alexandra Fedorovna. Nicolas note dans son journal le jour de sa naissance:
      
    "Un jour qui ne s'effacera jamais de ma mémoire, pendant lequel j'ai souffert tellement, tellement! Dès une heure du matin, ma chère Alix a senti les douleurs qui ne lui ont pas permis de dormir... Je ne pouvais la regarder sans partager son mal. Vers deux heures, ma chère maman est arrivée de Gatchina. Tous les trois, elle, Ella (Elisabeth Fedorovna, soeur de l'impératrice) et moi, nous n'avons pas quitté un instant Alix. A neuf heures, juste, un vagissement enfantin se fit entendre et nous avons tous respiré librement! Dieu nous a donné une fille... Grâce à Dieu, Alix a très bien supporté l'accouchement et s'est sentie, dès le soir, ragaillardie..."
     
    Etant bébé, Olga était quelque peu potelée. A ce sujet, lors d'une visite en France de la famille impériale en 1896, Nicolas eu quelques remarques concernant le poids d'Olga. En 1897, Olga est rejointe par une petite soeur, Tatiana. Les deux soeurs étaient très proches l'une de l'autre et partagaient la même chambre au palais Alexandre, au palais Peterhof, sur le yacht impérial, et dans toutes les autres propriétés de la famille impériale. Les deux filles étaient surnommées "la grande paire" par leurs poches. En 1899, Olga est rejointe par une autre soeur, Maria, puis par Anastasia en 1901 et enfin par un frère, Alexei, en 1904.
      
    Les quatre filles du tsar étaient très proches les unes des autres, se partageaient tout et signaient même parfois leurs lettres d'une signature commune de leurs initiales respectives "OTMA" (Olga, Tatiana, Maria et Anastasia). Etant la plus âgée, on attendait d'Olga qu'elle soit un peu autoritaire envers ses soeurs et son frère, mais c'est la deuxième fille du tsar, Tatiana, qui prit le rôle de la soeur autoritaire.
     
    Le tuteur des enfants Romanov estimait qu'Olga était meilleure élève que ses soeurs. Dans ses mémoires, le professeur de français des enfants, Pierre Gilliard, écrit à propos d'Olga qu' "Elle possèdait une remarquable intelligence" et qu'"elle avait de bonnes initiatives et un très bon cerveau de déduction". La jeune fille adorait lire des nouvelles, des romans, mais surtout des poèmes et en écrivit d'ailleurs beaucoup. Olga empruntait souvent des livres à sa mère sans lui demander la permission. Il arrivait alors à l'impératrice de devoir faire le tour du palais pour retrouver les livres qu'Olga lui avait pris.
     
    Beaucoup de personnes affirmaient qu'Olga ressemblait plus physiquement à son père qu'à sa mère. Elle avait les cheveux blonds, les yeux bleus, un long visage, et le nez retroussé des Romanov. Olga était potelée étant bébé, mais a maigri lors de son enfance et est devenue une belle jeune femme. Cependant, ses contemporains la trouvaient moins jolie que Tatiana et Maria.
    Des quatre filles du tsar, Olga était pour ainsi dire la plus "désagréable". Elle était très lunatique et quelques fois agressive avec ses soeurs.
      
    Elle se disputait également souvent avec sa mère, et Tatiana devait intervenir régulièrement pour calmer sa soeur aînée. La jeune fille était très sensible et un seul "mot de travers" pouvait l'énerver. Cependant, selon la baronne Sophia Buxhoeveden, Olga "avait beaucoup de charme, et était souvent très joyeuse". Etant enfant, elle était très taquine, un peu comme Anastasia et inventait beaucoup de farces contre son précepteur. Ainsi, un jour, en accord avec Anastasia, elle avait enfermé la fille d'une femme de ménage dans les toilettes car celle-ci les avait énormément embêtées.
     
    Olga et ses soeurs faisaient souvent du bricolage et de la broderie, qu'elles revendaient dans le but de récolter des fonds pour des oeuvres caritatives, des orphelinats, des églises et des hôpitaux. Olga était très touchée par la pauvreté, et espérait se servir de son rang lorsqu'elle serait adulte pour sauver des enfants de la misère.Olga eut beaucoup de demandes en mariage. A ce sujet, une possible union avec le prince Edouard du Pays de Galles fit l'objet de discussions, ainsi qu'avec le grand-duc Dimitri Pavlovitch, le prince Carol de Roumanie et le grand-duc Boris Vladimirovitch. Mais les projets de mariage sont abandonnés avec l'entrée de la Russie dans la Première Guerre Mondiale.

    Lorsque l'Allemagne déclare la guerre à la Russie en 1914, l'impératrice, Olga et Tatiana troquèrent leurs robes de bal pour des uniformes d'infirmières. Elles étudièrent pendant deux mois les rudiments pour soigner des blessés et passèrent un examen qui fut une réussite. Ainsi, elles s'occupèrent des soldats blessés installés dans l'hôpital aménagé au palais d'Hiver de Saint-Pétersbourg. Pendant que les deux filles aînées du tsar s'occupaient des blessés, Maria et Anastasia rendaient visite aux soldats, leurs jouaient du piano et faisaient des parties de cartes avec eux.
      
    Contrairement à sa mère et à Tatiana, Olga eu beaucoup de mal à voir des soldats mourir.
    Lorsque vient la révolution, les cinq enfants du tsar tombent malades. Les plus touchées par la maladie sont Olga et Maria. En plus de la rougeole, Maria attrape une pneumonie et Olga une péritonite, c'est-à-dire une infection de l'appindice. Lorsque Nicolas revient au palais Alexandre en mars 1917, il n'avoue pas immédiatement son abdication à Olga et lui cache leur arrestation, par crainte de voir son état de santé se dégrader.
     
    Pour soigner les cinq enfants, il est décidé de leur donner un traitement qui a pour effet secondaire une chute importante de cheveux. Alexandra décide donc de raser les cheveux de ses filles et les protégea ainsi des humiliations auxquelles elles étaient exposées avec les soldats chargés de leur captivité. Olga est emprisonnée avec sa famille de mars 1917 à août 1917 au palais Alexandre de Tsarskoïe-Selo.
      
    Puis, les Romanov sont conduits à Tobolsk, en Sibérie.
      
    En avril 1918, Nicolas, Alexandra et Maria sont transférés à Ekaterinbourg. Olga, ses deux autres soeurs et son frère les rejoignent en mai 1918. D'après les gardes chargés de la captivité des Romanov à Ekaterinbourg, Olga, contrairement à ses soeurs et à son frère, s'était beaucoup renfermée sur elle même. Elle ne sortait plus beaucoup, était devenue très pâle et avait beaucoup maigri vers la fin de sa vie. Le 17 juillet 1918, Olga est assassinée à l'âge de vingt-deux ans avec toute sa famille. Dans ses affaires personnelles saisies après son assassinat, on retrouve son journal intime où figure une prière qu'elle a écrit quelques jours avant sa mort:
     
    "Donne-nous, Seigneur, la patience de supporter l'oppression populaire et les tortures de nos bourreaux en cette année tumultueuse remplie de journées tristes. Donne-nous la force, oh Seigneur de justice, de pardonner les offenses de notre voisin et par la croix si lourde et ensanglantée de ton humilité, en ces jours où nos ennemis nous volent, Seigneur notre sauveur, aide-nous à supporter la honte et l'humiliation. Maître du monde, Dieu de l'univers, donne-nous de prier et donne à notre humble esprit le repos en cet insupportable et horrible moment. Au seuil de notre tombe, inspire aux lèvres de tes serviteurs une force surhumaine afin de prier humblement pour nos ennemis."
      
      
      
    SOURCES /
      
      
     
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    Costume de Cour impériale des femmes dans la Russie impériale

     Femmes Costume de Cour et les Positions dans la Russie impériale »
    par Nick Nicholson

     

    « La splendeur de la robe était le meilleur coup d'oeil, que je n'avais jamais vu. » (1847)

    Jusqu'au couronnement de Pierre I (le grand), la Cour de la Moscovie étais connu pour sa splendeur d'élégance et de l'isolement dans lequel il est développé. Russes avaient hérité d'un héritage religieux et somptuaires de Byzance, et si les vêtements de la Cour de Russie étaient encore la soie riche de l'Orient ; longues robes fortement brodée et cousue avec perles et pierres précieuses. Ces caftans (robes) et Sarafans (plus de robes) aurait été à la maison de Pékin, Constantinople, Samarkand ou tout les légendaires villes le long de la Route de la soie. Robe russe est restée pratiquement inchangée depuis le Xe siècle jusqu'au XVIIe.

      

     Costume de Cour impériale des femmes dans la Russie impérialeÀ gauche : Fancy Cour robe de Alexandra Feodrovna, reproduire la robe de la tsarine Marfa Ilyinichna, épouse du Tsar Alexeï Michaelovitch, 1903.

    Quand Peter I (le grand) monta sur le trône, il a préconisé l'européanisation de l'Empire russe. Jeter l'ancien titre de Tsar et en supposant que de l'empereur, il déplaça la capitale à port plus à l'ouest de l'Empire et créé la ville à couper le souffle de Saint-Pétersbourg sur la Neva, près du golfe de Finlande. Peter a également supprimé les modes anciens de robe et des manières de vivre qui avait marqué la Cour moscovite. Les femmes ont été retirées de la Terem (quartiers isolés), et tous les membres de la Cour étaient tenus d'adopter la robe occidentale.

    En 1700, Pierre le grand fait occidentalisation officielles et a publié les importantes réformes somptuaires de 1700 décourager le port du costume russe à la Cour et à la maison. À la fin de la première décennie du XVIIIe siècle, son usage est devenu pratiquement disparu entre les membres de la noblesse russe, bien que certains messieurs encore portaient la « geôle » à la maison sur leurs domaines seigneuriaux.

     

    Par le début du XVIIIe siècle, tenue à la Cour de Peter n'était pas différente de celle des tribunaux de l'Europe centrale, mais il aspire toujours (à l'instar de tous les monarques) au niveau de sophistication en France à la Cour de Versailles. Dans la nouvelle, la Russie impériale, comme tous les autres cours européennes, cérémonies publiques exige un style spécifique et magnifique robe qui reflète la puissance de l'autocratie, mais qui reflète aussi l'identité nationale de ses habitants.

     

    À sa nouvelle Cour à Saint-Pétersbourg, Pierre les grandes femmes ordonnées à s'habiller en premier dans la mode allemande et autrichienne populaire qui est venu à la Russie par la Pologne et la Hongrie. À la fin du premier quart du XVIIIe siècle, la mode française avait trouvé son chemin vers la Russie par les gravures et les poupées magnifiquement habillées qui ont été envoyées à titre d'exemple les talents des couturiers français, tapissiers et marchands de tissu. Fièvre française capturés et bientôt dépassé la mode perméable à la prééminence.

     

    Costume de Cour impériale des femmes dans la Russie impériale

    Costume de Cour impériale des femmes dans la Russie impériale

     

    Ci-dessus à gauche ; Maria Feodrovna, vers 1770 ; à droite, Catherine la grande.

    Sous le règne de Catherine la grande, style français, à la robe a été fermement établi à la Cour de Russie pour les occasions officielles - vastes panniered robes (cylindrique) et hautes perruques étaient de rigueur. Dans son « ermitage » et à loisir, cependant, Catherine consciemment porte Gallicized versions de la geôle russe, Sarafane et kokochnik à mettre l'accent sur son « russiannité » à sa Cour - une Cour très bien au courant

    qu'elle était étrangère - né et qu'il avait usurpé le trône.

     

      

    À la mode au début de 1830, en Russie et particulièrement la robe jugé approprié pour les fonctions de la Cour, avait peu de cohérence. Les styles de risque de l'empire français étaient considéré comme vulgaires, et les trains de longs et hautes plumes de la Régence anglaise n'avaient aucune résonance pour les Russes. Les femmes à la Cour portaient peu importe ils considérés comme les deux approprié et a la mode jusqu'à ce que finalement, Nicolas j'avais eu assez.

      

    Nicholas, germanique dans son cœur, a ressenti le besoin de voir l'unité chez les femmes de sa Cour, qu'il vit parmi les hommes, qui étaient tenus de porter des vêtements militaires ou des uniformes de la Cour en tout temps. Cela a permis Nicholas (et tous les courtisans) de discerner le rang immédiatement, et cela a facilité les questions de protocole et étiquette qui a souffert de la Cour en raison de son développement inorganique et irrégulière au cours des deux siècles précédents.

    Dans le cadre de ses vastes efforts de codifier l'organisation de la Cour et l'État, Nicholas I et M.M. comte Speransky publié le Code des lois de l'Empire russe en 1833. Cet immense ensemble de lois incorporé tout ce qui concerne l'Empire, le rôle de l'empereur, les droits des sujets russes. En plus des 40 volumes de lois civiles, il y avait un seul volume réservé pour les lois promulguées sous le règne de Nicolas I lui-même ; et l'une de ces lois était l'édit sur la robe de Court.

     

    Costume de Cour impériale des femmes dans la Russie impériale

    À gauche ; Alexandra, femme de Nicolas I.

     

    L'édit a spécifié que les femmes de la Cour de Russie étaient de porter « Uniforme russe. » (Paradnaya Plat'e) Cela a été initialement décrite comme « un blanc brodé robe de soie, avec un ou des velours brodé à manches longues, ouvertes dans le style moscovite. » Les jupes étaient rouched et attaché à la taille, maintenue ensemble par un cordon d'or. La forme de la jupe était comme bell et complète, les manches gonflée légèrement sur les épaules. Il s'agit d'une combinaison de style « Romantique » actuel de la mode et le style russe ancient.

      

    En conséquence, ce costume reflète la tradition nationaliste russe donc préconisé par Nicholas I, et son utilisation est devenue loi. Ces robes ont été extraordinairement encombrants et lourd, les corsages étroitement désossées. Les trains de la robe ont été confiés et renforcés pour soutenir le poids de la broderie d'or. Bien que pittoresque, les robes étaient trop compliqués, et les femmes de la Cour a commencé à s'habiller pour des occasions Court comme « mettre sur la cuirasse. »

     

      

    Tandis que les autres tribunaux s'installe sur, évolution et adaptation de la robe de leurs tribunaux, la Russie reste fermement dans son mode historique slave et donc, de 1834 jusqu'en 1917, les robes ethniques inhabituelles des dames de la Cour de Russie devient instantanément reconnaissables, et est une source de fierté à la maison et à l'étranger - femmes russes démarquaient de tribunaux étrangers et à la maison ils ont fait une impression inoubliable sur les visiteurs et les autochtones.

    Le premier changement à cette nouvelle robe est arrivé dans les années 1840, quand l'ou velours (sarafane) et la soie sous la robe (kaftan) ont été adaptés pour ajuster les modes corsetées contemporaines. Le costume est devenu trois pièces séparées, plutôt que de deux ; un jupon de soie blanche brodée, sur laquelle était placé un train accroché à la ceinture et un corsage corsetée qui incorpore les manches longues moscovite et une soie blanche brodée « corsage. » L'illusion de la blouse tripartite d'assemblés était semblable à celle d'une robe portée par-dessus une sous la robe.

     

    Également requis pour être portés a la kokochnik, une coiffure diadème ressemblant. Pour les femmes de la famille impériale, il s'agissait de velours parsemées de bijou à l'origine, avec Perle garni clair velours pour leur accompagnateur.

      

    Depuis longtemps, voiles de tulle de plancher-longueur étaient portés par les femmes mariées. À la fin du XIXe siècle, cependant, la plupart des femmes de la famille impériale avaient abandonné ce style plus simple en faveur de menottes entièrement en conservant la forme kokochnik prescrit des pierres précieuses.

      

    Ces superbes oeuvres de Fabergé et Bolin étaient des chefs-d'œuvre de l'art du joaillier le russe et est devenu très à la mode dans toute l'Europe ; la Tiare Russe est devenue une référence incontournable des bijoutiers comme Cartier, Boucheron, Chaumet et d'autres.

     

    Costume de Cour impériale des femmes dans la Russie impériale

    À gauche ; L'impératrice Alexandra dans une tiare impériale massive des diamants et des perles de l'ère de Catherine la grande, une robe de Cour fortement brodée et le ruban écarlate de l'ordre de Sainte-Catherine. Cette même robe est illustrée ci-dessous.

     

    Les matériaux, la construction et l'exécution des robes de Cour étaient strictement contrôlées. Dans le décret sur la robe, il déclare: « les trains et les robes des dames doivent être brodés de la même manière que celle de la Cour Chamberlains de rang correspondant. »

      

    Cependant, c'est une exigence lâche. Tandis que le costume de Chamberlain à chaque Court était brodé identique, aucune telle uniformité n'existe dans les costumes féminins. Le style de la décoration a été en grande partie à la femme qui a ordonné la robe, mais l'ampleur de la décoration coûteuse a été tranchée par la Cour.

      

     En 1885, une robe commandée par la princesse Yusupova a 1500 roubles (le œuf impérial de Faberge de 1888 coût le même!), et cette robe aurait été loin plus chère que l'ordre d'un membre de la famille impériale. Les robes ont pris n'importe où de 6 à 8 mois pour terminer, et, donc, les panneaux brodés pour les manches, train et corsage étaient souvent exécutés à l'avance et stockées à plat.

      

    Femmes serait arrivée à la couturière, choisir les panneaux qui convenait à son goût, la position et le livre de poche, et la robe serait être Assemblée, désossée et terminée pour lui comme à tout établissement de couture. Les robes étaient souvent retournées pour les réparations et les modifications et sont parfois envoyés à nettoyer aussi bien.

     

     
    Costume de Cour impériale des femmes dans la Russie impériale

    Ci-dessus : Robe de Cour de Alexandra Feodrovna, vers 1890

     

    Robes de drap d'or et de tissu d'argent ont été réservés pour l'impératrice et les filles de l'empereur. Lorsque l'impératrice portait drap d'or (généralement qu'à leur couronnement), les grandes-duchesses pouvaient porter le drap d'argent. Comme la plupart des impératrices préféraient tissu d'argent (c'est plus flatteur et beaucoup moins lourds), les grandes-duchesses avaient rarement l'occasion de porter sauf à leurs mariages, lorsque c'est nécessaire. Pour les autres occasions, les grandes-duchesses portaient des robes de velours dans une couleur de leur choix, qui a été réservé à leur usage exclusif.

     

     Costume de Cour impériale des femmes dans la Russie impériale

    robe de Cour de la grande-duchesse Xenia Alexandrovna, 1894 ;

      

    photo d' Alexandra Fiodorovna Romanova

    Court Gown de Alexandra Feodrovna par Bulbenkova, vers 1890.

     

    Les préposés à l'impératrice (ou après 1894, impératrices) et de la famille impériale porte des robes de Cour en deux couleurs, rouge grenat et vert émeraude. La hiérarchie a été perfectionné et rigide. Le plus haut titre a été que de chef hôtesse de la maison, qui, comme une femme mariée, portait une robe de Cour de velours vert brodée en or, avec un train, dont la durée est déterminée par son rang (menton »).

      

    Rendez-vous après la chef hôtesse de l'air (seconde et troisième classe dans les rangs de la maison impériale, déterminée par la longueur du service). Les rendez-vous étaient des femmes mariées de naissance noble sélectionné par l'impératrice. Ils portaient également le velours vert, mais avec des trains plus courts. La quatrième classe d'agents féminins était pleine Maids of Honor de la chambre à coucher.

      

    Ces femmes non mariées de la plus haute noblesse portaient les mêmes types de robes de chambre, mais de velours pourpre. Ils avaient également des petites capes, qui couvrait les épaules nues, révélés par les femmes mariées. Ces femmes a servi exclusivement les impératrices.

      

    Au milieu du XIXe siècle, il existent également les postes de chef Ladies (la classe de cinquième), qui sont l'équivalent des rendez-vous, mais les grandes-duchesses et les Princesses du sang et la sixième position de la classe de chef-Ladies-In-Waiting et dames d'honneur de la chambre à coucher. En 1881, le cinquième par le biais de classes de septième furent abolies comme redondant.

    Les dames de la Cour avaient également certains insignes - hôtesses de l'air de la maison, les rendez-vous et les dames d'honneur pouvaient porter des portraits des impératrices décorées avec des diamants sur le côté droit de la poitrine, si elles avaient été honorés par l'impératrice.

      

    Ces femmes étaient connues comme « Damy Portrety » ou Dames-a-portrait. Les dames d'honneur était tenus de porter des « chiffres » couronné les monogrammes des impératrices ou grandes-duchesses dont il a été décoré de diamants sur le ruban bleu de Saint-André sur le côté gauche de la poitrine. Beaucoup de plus haut niveau de ces femmes étaient également membres de l'ordre de Sainte-Catherine, et ces femmes portaient aussi le châssis et de l'insigne de l'ordre.

    Le titre de demoiselle d'honneur a été accordé plus fréquemment. En 1881 189 203 dames de la Cour étaient Maids of Honor et en 1914-261 de 280. Le titre de demoiselle d'honneur et demoiselle d'honneur de la Chambre pourrait envisager uniquement aux femmes célibataires. Sous Nicolas I une « suite » de Maids of Honor me créé et attribué à l'impératrice et les grandes-duchesses.

      

    Ils étaient 36 en tout et ont été appelés « Servantes-of-Honor de la suite. » Le Maids of honor qui n'était pas « de la suite » n'a aucune fonctions permanentes. Le Maids of Honor de la « suite » a reçu leur dot, de la Cour lorsqu'ils se sont mariés. Certains d'entre eux ont reçu des titres plus élevés après leur mariage, mais la plupart ont été rejetée par la Cour après leur mariage.

      

    Encore ces femmes avaient le droit d'être introduit à la présence de l'impératrice et ont été invitées aux boules Grand dans le palais d'hiver avec leurs maris indépendamment de rangs officiels de leur mari. Ces femmes ont été très appréciées comme épouses en raison de leur accès inégalé de Court, même après la cessation de leur emploi à la Cour.

    La broderie de ces robes de chambre était extraordinaire. Parfois avec des motifs floraux, ou rocailles inspiré par l'architecture de la capitale, l'art de la broderie est à un niveau très élevé. Ces robes de Cour étaient fréquemment démontrés lors d'expositions internationales textile comme une vitrine de talents russes dans le domaine. Le droit de produire des robes Court était strictement contrôlé et le XXe siècle a été limité à :

      

      

    Olga Nikolaevna Bulbenkova (vers 1835-1918)


    Fonde une maison de mode à Saint-Pétersbourg au milieu du XIXe siècle, qui a survécu jusqu'en 1917 et a été appelé par Madame Olga. La maison fut populaire pour ses robes de Cour, le Paradnaya Plat'e. Or et broderie d'argent a été exécuté pour Mme Olga par les ateliers de I.L. Vasiliev du canal Yekaterinsky. Robes commandées pour la famille impériale ont été brodés à l'atelier de Novotikhvinsky couvent qui se spécialise dans cette threadwork d'or. Au début du XXe siècle, nièce de Olga a repris la gestion pratique de la maison.

      

      

    Izembard Chanceau


    Propriétaire d'une maison de mode de Pétersbourg qui fait aussi robes de Cour officiel à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Le travail de Izembard Chanceau est reconnu par son utilisation de paillettes, ou paillettes, plutôt que de la broderie ornée de fil d'or qui était caractéristique de Madame Olga.

      

      

    A.T. Ivanova
     

    Saint-Pétersbourg couturière qui avait également une licence pour produire des robes de Cour pour des clients privés du début du XXe siècle. Elle produit en grande partie robes pour des clients privés. Ivanova était une couturière populaire, et son cabinet ont survécu à la révolution.

      

    Ivanova et son principal rivalisent Lamanova, devinrent tous deux concepteurs de costumes pour le cinéma et le théâtre à l'ère soviétique.

    La période soviétique a vu la fin de non seulement le port du costume de Cour, mais la disparition virtuelle de l'art russe de broderies ecclésiastiques.

    Beaucoup de femmes qui ont été capables de ce type de broderie ont fui la révolution et s'installe en France, où ils travaillaient avec empressement par les couturiers tels que Chanel, Lanvin et Patou.

     Les couvents commencent à faire revivre l'art de la broderie en Russie, mais les jours de la plat'e de paradnaya sont dépassés.

     


     
      
    BIBLIOGRAPHIE

    Style russe de 1700-1920 ; Cour et robe de pays de l'Hermitage Barbican Editions, Londres, 1987

    Sharaya, N. et Moiseyenko, Ye., Costume au XVIIIe au début du XXe siècle Russie Léningrad, 1962

    Korshunova, T.T. Costume du XVIIIe au début du XXe siècle Russie provenant des collections de l'Ermitage Leningrad, 1982

    Histoire de Russie Costume Metropolitan Museum, New York 1976

    Onassis, J. (dir.) dans le Style russe Viking, New York 1977

    Code des lois de l'Empire russe, 1834, édition Télécopieur, New York, 1983, NYPL.

      

    SOURCES :

    http://www.alexanderpalace.org/palace/ctCostume.html

      

      

     

      

      

     

     

     

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    Extraits du journal de 1917 de Nicolas II

     

     

    Le 12 mars, lundi

    Troubles ont commencé quelques jours auparavant à Petrograd ; Malheureusement, même les troupes ont commencé à prendre part à eux. C'est une sensation écœurante pour être so far away et recevoir fragmentaire, de mauvaises nouvelles. Je n'a pas dépensé beaucoup de temps à écouter les rapports. Au cours de la journée, j'ai pris une marche le long de la route vers Orcha. Le temps était ensoleillé. Après le dîner, je décide d'aller rapidement à Tsarskoïe Selo et au 01 le matin [13 mars] est monté à bord du train.

     

     

    Le 13 mars, mardi

    Je suis allé au lit à 03:15 que j'ai eu une longue discussion avec [General] N. Je Ivanov, dont je suis envoi à Petrograd avec des troupes pour rétablir l'ordre. Nous avons quitté Moguilev à cinq heures du matin. J'ai dormi jusqu'à 10. Le temps était froid et ensoleillé. Au cours de la journée, nous sommes passés par le biais de Viazma et de Rjev Likhoslavl à 09. Le 14 mars, mercredi

    Au cours de la nuit nous avons rebroussé chemin de Malaïa Vichera, comme seenied Liuban et Tosno à être occupée par les rebelles. Nous sommes allés à Valdaï, Dno et Pskov, où j'ai arrêté de la journée. Vu Ruzski.(Général N. V. Ruzski, commandant de l'armée du Nord). Il a, avec Danilov et Savich, dîné. Gatchina et Louga, aussi, à avoir en sa possession [des rebelles]. Honte et déshonneur. N'ont pu atteindre Tsarskoïé, [Selo] mais mes pensées et sentiments sont toujours là. Dur comment il doit être de pauvre Alix [impératrice] passer par tous ces événements seule. Seigneur de nous aider.

     

     

    Le 15 mars jeudi

    Le matin Ruzski vint et lire son très long fil direct parler avec Rodzyanko. Après cela, la situation de Petrograd est telle qu'un ministère de la Douma serait maintenant impuissant à faire quoi que ce soit, elle a dû composer avec le Parti social-démocrate, représentée par le Comité des travailleurs. Mon abdication est requise. Ruzski transmis cet exposé au siège et Alexeev il transmet à tous les commandants en chef. Par 02 réponses ont été reçues d'eux. L'essentiel d'entre eux est que, afin de sauver la Russie et de garder l'armée au front calme, une telle mesure doit être prise. J'ai accepté. De l'administration centrale a été envoyé une ébauche d'un manifeste. Dans la soirée Goutchkov et Shulgin arrivent de Petrograd, avec qui j'ai discuté la question et je remis leur le manifeste signé et altéré. À 01 heures du matin [16] j'ai quitté Pskov, avec un cœur lourd à cause des choses traversé. Tout autour de moi, il y a trahison, de lâcheté et de tromperie.

     

     

     

    Le 16 mars, vendredi

    Je dormais depuis longtemps et bien. Se réveilla bien au-delà de Dvinsk. La journée était froide et ensoleillée. Parlé hier avec ceux près de chez moi. Lisez beaucoup sur Julius Caesar. Arriva à 08:20 à Moguilev. Tous les rangs de l'équipe étaient sur la plate-forme. Alexeev a reçu dans la voiture. À 09:30 Je suis allé au cours de la maison. Alexeev venus Rodzyanko avec les dernières nouvelles. Il s'avère que Misha [grand-duc Michael] a abdiqué. Son manifeste se termine par une formule de quatre-queue (universel, direct, égal et secret le suffrage. Il n'y n'avait aucun ensemble de temps précis pour l'Assemblée constituante) pour l'élection d'une Assemblée constituante dans les 6 mois. Dieu sait qui mettre en tête de signer de telles choses. De Petrograd, les troubles ont cessé-si elle resterait seulement de cette façon.

    Nicolas II - 1917

     

    Le 17 mars, samedi

    Bien dormi. À 10 a été la bonne Aleck (Prince A. P. Oldenburg.). Puis je suis allé écouter les rapports. À 12, j'ai conduit à la plateforme, de rencontrer la chère mère, qui vient d'arriver de Kiev. Je lui prit à ma place et déjeuné avec elle et de notre propre famille en charge. Nous avons assis et a parlé longtemps. Aujourd'hui, enfin, j'ai reçu deux telegrarns de Monsieur Alix. J'ai pris une marche. La météo était très mauvaise-froid, avec une tempête de neige. Après le thé, j'ai reçu Alexeev et Fredericks. Vers 08 je conduit à dîner avec mère et est resté avec elle jusqu'à 11.

     

    Le 18 mars, dimanche

    Il a soufflé très fort pendant la nuit. La journée était clair et froid. 10 j'ai conduit à la masse. Mère est arrivé plus tard. Elle a déjeuné avec moi en charge et est restée jusqu'à 03:15. Je me promenais sur le petit jardin. Après le thé, j'ai reçu N. I. Ivanov, qui revient de sa mission. Il était à Tsarskoïe Selo et vu Alix. J'ai pris congé du pauvre comte Fredericks et Voeikov, dont la présence, pour une raison quelconque, a été irritant, tout le monde. Ils sont allés à sa succession, dans la province de Penza. Au 08 je suis allé pour dîner avec la mère.

    Le 19 mars, lundi

    Dernier jour à Moguilev. À 10:15, j'ai signé l'ordre d'adieu aux armées. À 10:30, je suis allé dans la maison de garde pour dire au revoir à tous les rangs de l'état-major et le bureau. Dans ma propre maison, je fait ses adieux aux officiers et aux Cosaques, de ma garde, cavalerie et d'infanterie. Il s'est presque brisé mon coeur. À 12, je suis allé à la mère et déjeuné avec lui et sa suite en charge. 04:30 1 Quitte son, Sandro, Sergei, Boris (Grand duc Alexander et Sergei Mikhailovich et le grand-duc Boris Vladimirovitch) et Alexandre. Pauvre Nilov n'était pas autorisé à aller avec moi. À 04:45, j'ai quitté Mogilev ; une foule qui a été considérablement déplacé est venu me voir au large. Quatre membres de la Douma m'a accompagné. A titre d'Orcha et Vitebsk. Le temps est froid et venteux. C'est dur, douloureux et triste.

     

    Le 22 mars, jeudi

    Arrivé rapidement et en toute sécurité à Tsarskoïe Selo à 11:30. Mais, Dieu, quelle différence ! Dans la rue, autour du palais, à l'intérieur du parc, où que vous activez y sont des sentinelles. Est allé à l'étage et j'ai vu Monsieur Alix et les précieuses enfants. Elle avait l'air joyeux et bien. Les enfants sont trouvaient dans une pièce sombre, mais étaient de bonne humeur sauf Maria, qui est venu récemment avec la rougeole. Nous avons déjeuné en charge et ont dîné dans la playroorn avec Alexei. J'ai vu bon Benckendorff. Marchait avec Valia Dolg (Dolgorouki)... et a travaillé avec lui dans le petit jardin, que nous ne pouvons pas aller au-delà de... Après le thé, j'ai joué un jeu de Solitaire. Dans la soirée, nous avons visité tous les occupants de l'autre aile et ont trouvés leurs places.

     

    Le 23 mars, vendredi

    Nous avons bien dormi. Malgré les circonstances actuelles, la pensée que nous sommes tous ensemble, acclamations et consoles. Le matin, j'ai reçu Benckendorff. Plus tard j'a regardé par, arrangé et brûlé les papiers. SAT avec les enfants jusqu'à 02:30. Marchait avec Valia Dolg... accompagné par la garde même, qui sont aujourd'hui plus agréable. Avait un bon exercice travaillant dans la neige. Temps ensoleillé. Nous avons passé la soirée ensemble.

     

    Samedi le 24 mars

    Le matin, j'ai reçu Benckendorff. Appris grâce à lui que nous devons rester ici pendant un certain temps. C'est une pensée agréable. A continué de gravure des lettres et des documents. Anistasia a Earache Records, tout comme les autres. De 3 à 04:30, je marchait avec Valia Dolg... et a travaillé dans le jardin. Le temps était désagréable et venteuse, avec 2 degrés de gel. À 06:45, nous sommes allés au service de la soirée à la chapelle du domaine. Alexei a pris son premier bain. Appelé Ania, Lilly D., (Anna Vyroubova et Lili Dehn) et les autres.

     

    5 Avril, jeudi

    Après 02 elle effacée et décongelé. Le matin à pied pendant une courte période. Trié mes effets personnels et des livres et trié les choses que je veux prendre avec moi au cas où je vais en Angleterre. Après le déjeuner, je pris une marche avec Olga et Tatiana et a travaillé dans le jardin. Passé la soirée comme d'habitude.

     

    9 Avril, lundi

    Nous avons commencé à préparer la sainte communion, mais il n'a pas bien commencé. Après que Kerenski masse est arrivé et a demandé que nous limitons nos réunions à l'heure des repas et que nous nous asseyons mis à part les enfants. Cela, il disait qu'il était nécessaire pour apaiser les soviétiques des travailleurs et des députés des soldats. J'ai dû soumettre afin d'éviter la possibilité de violence. Pris une marche avec Tatiana. Olga a pris encore une fois au lit avec un mal de gorge. Les autres se sentent bien. À 09:45 Je suis allé ma chambre. Tatiana assis avec moi jusqu'à 10:30 Afterwards j'ai fait quelques lectures, bu du thé et est allé se coucher...

     

    12 Avril, jeudi

    Au cours de la journée un vent fort dispersé les nuages. À 10, nous sommes allés à la messe, où beaucoup de nos gens ont pris la communion. Parcouru pendant une courte période avec Tatiana. Aujourd'hui était l'enterrement de « victimes de la révolution » dans notre parc, en face de la partie centrale du palais Alexandrovski, non loin du palais chinois. Nous pouvions entendre les souches de la marche funèbre et la Marseillaise... Elle était âgée de 05:30. Au 06, nous sommes allés au service des douze apôtres ; Père Bieliaiev, tout seul, bravement lire d'entre tous. Le soir, j'ai passé comme toutes les plus récentes.

     

    Le 20 avril vendredi

    La météo s'est améliorée, et il a augmenté plus chaude. Était hors portes longtemps ce beau matin. Au cours de la journée j'étais occupé avec Tatiana et Alexei. L'apparence des soldats, et leur incidence négligé ont fait une impression de dégoût sur nous tous. Lire beaucoup. De 10:15 sur J'étais dans ma chambre, au rez-de-chaussée.

     

    Le 21 avril, samedi

    Fêté le 23 de notre engagement tranquillement. Temps était chaud et printanière. Dans la matinée a passé un long moment avec Alexei. Découvre pourquoi garde d'hier était tellement désagréable : il a été fait parmi députés des soldats. Aujourd'hui, elle a été une bonne garde, du bataillon de réserve du quatrième Rifles. A travaillé à la phase d'atterrissage, en raison de la foule, et nous avons apprécié le soleil chaud. Passé la soirée comme d'habitude.

     

    Le 1er mai mardi

    C'est la première de mai à l'étranger, donc notre blockheads ont décidé de célébrer le jour de défiler dans les rues avec des groupes de musique et de drapeaux rouges. Ils étaient évidemment venus dans notre parc à placer des couronnes de fleurs sur la tombe, mais la météo est mauvaise. Neige humide dense est tombée... À 03:15, quand tout était fini, sort pour une promenade et le soleil guigna sort. A travaillé une heure et demie avec Tatiana. Le soir, j'ai commencé à lire à haute voix aux enfants.

     

    Le 14 mai, lundi

    Belle et chaude journée. Le matin, j'ai eu une belle promenade. De 12 j'ai donné une leçon de géographie Alexei. Au cours de la journée, j'ai travaillé une fois de plus dans notre jardin potager. Le soleil était brulante, mais le travail progresse. Lire à haute voix à dîner et le soir. Hier, nous avons appris que le général Kornilov, a renoncé à son poste de commandant du District militaire de Petrograd, et ce soir que Goutchkov a démissionné. Les deux donnent le même motif : l'ingérence irresponsable de députés soviétiques de travailleurs et de certaines autres organisations qui sont beaucoup plus radicales, avec les autorités militaires. Quelle Providence organise en magasin pour la Russie pauvre ? Dieu sera effectué.

     

    Le 16 juin, samedi

    Après le petit déjeuner Kerenski arrivée inattendue de la ville par moteur. Il ne reste pas avec moi est long. Il m'a demandé d'envoyer à la Commission d'enquête, documents ou lettres qui ont une incidence quelconque sur la politique interne. Après ma marche et jusqu'au déjeuner, j'ai aidé Korovichenko à trier ces documents. Le reste de la journée, il a l'aide de Kobylinski (Korovichenko Commandant du palais. Kobylinski lui succède entre le 10e et ' 15.). J'ai fini de scier les arbres sur la première place. À cette époque, l'incident du fusil de Alexei s'est produite. Il avait joué avec elle sur la petite île et les soldats, qui marchaient dans le jardin, l'a vu et a demandé à l'agent d'être autorisé à retirer et emporté à la maison de garde. Plus tard, il est apparu que le fusil, pour une raison ou une autre, a été envoyé au-dessus de la salle commune. Fine des agents de ceux-ci, qui n'osent pas refuser les demandes de leurs soldats ! A assisté le soir. Passé la soirée comme d'habitude.

     

    Le 22 juin, vendredi exactement trois mois depuis que je suis venue de Moguilev et ici nous sommes confinés comme prisonniers. Il est difficile d'être sans nouvelles de la chère mère, mais en ce qui concerne les autres questions, je suis indifférent. Aujourd'hui le temps est encore mieux à 20 degrés à l'ombre et 36 dans le soleil. Il y avait une odeur de feu en l'air. Après ma marche, j'ai pris Alexei dans mon étude, où il est plus frais, s'est rendu au cours de sa leçon d'histoire et accompli quelque chose. Alix ne vont pas à l'extérieur. Jusqu'au dîner, les cinq d'entre nous étaient ensemble. La météo a été relativement cool. La journée passa comme d'habitude. juste avant le dîner est entré la bonne nouvelle du lancement d'une offensive sur le front du sud-ouest. En direction de Zolochev nos troupes, après deux jours d'action de l'artillerie, percer les positions de l'ennemi et capturent environ 170 officiers et 10 000 hommes, 6 canons et 24 mitrailleuses. Le Seigneur soit loué ! Que Dieu accorde que cela peut être une heure de bon augure. Je me sentais complètement différent après cette nouvelles en liesse.

     

    Le 9 juillet, lundi

    C'était une journée glorieuse. Notre bon commandant, le Colonel Kobylinski, m'a demandé ne pas serrer la main avec les agents en présence d'étrangers et ne pas de saluer les soldats. On a déjà plusieurs reprises lorsqu'ils ont refusé de répondre. A travaillé avec Alexei en géographie. Nous avons sciés jusqu'à un énorme pin non loin de la maison verte. Les soldats eux-mêmes, offert leur aide. La soirée s'est terminée par la lecture.

     

    Le 18 juillet, mercredi

    Il a plu toute la matinée ; par 02 la météo améliorée ; et vers le soir, elle a augmenté plus fraîche. A passé la journée comme d'habitude. De Petrograd il y troubles ces jours, accompagné de tir. De nombreux soldats et marins y arrivent hier de Kronstadt pour s'opposer au gouvernement provisoire. Chaos absolu. Où sont les personnes qui pourraient prendre en main de ce mouvement et mettre un terme à l'effusion de sang et de conflits ? La graine de tout ce mal est à Petrograd et pas partout en Russie.

     

    Le 19 juillet jeudi

    Heureusement, l'écrasante majorité des troupes à Petrograd restée fidèle à leur devoir et ordonnance est rétablie une fois de plus dans les rues. La météo a été merveilleuse. A pris une belle promenade avec Tatiana et Valia. Au cours de la journée, nous avons travaillé avec succès dans le bosquet de la forêt vers le bas à découper et à scier des quatre arbres. Le soir, j'ai commencé à...[traduction]

     

    21 Juillet, samedi

    Un jour beau et chaud. À pied tout autour du parc avec Tatiana et Maria. Au cours de la journée, nous avons travaillé dans les mêmes lieux. Hier et aujourd'hui les gardiens de la quatrième et les premiers fusils ont agi correctement dans l'exercice de leurs fonctions et ne nous ne pas ombre pendant notre marche. On a des changements dans la composition du gouvernement. Prince Lvov a disparu. Kerenski est d'être premier ministre, reste ministre de la guerre et la marine à la même époque et également diriger le ministère du Commerce et l'industrie. Cet homme est certainement au bon endroit en ce moment : plus de puissance, il a le mieux.

      

    Le 24 juillet Mardi

    Le matin, j'ai pris une marche avec Alexei, et quand je suis retourné a appris que Kerenski était arrivé. Dans notre conversation il a évoqué la probabilité de nos cours du Sud, compte tenu de la proximité de Tsarskoïe Selo la turbulente capitale. Comme c'était jour de nom de Olga, nous avons assisté à l'église. Après le déjeuner nous avons abattu deux arbres plus au même endroit, faisant au total près de soixante-dix arbres qui ont été sciés à. Fini de lire le troisième volet de la trilogie de Merezhkovski, PETER. Il est bien écrit, mais rend une impression douloureuse.

     

    26 Juillet, jeudi

    Le dernier jours quelques mauvaises nouvelles a été en provenance du front sud-ouest... Suite à notre offensive à Galitch, nombre d'unités, complètement infecté par la propagande défaitiste méprisables, non seulement a refusé d'avancer, mais dans certains secteurs même quitté leur poste bien qu'ils n'étaient pas pressés par l'ennemi. Profitant de cette occasion favorable, les Allemands et les autrichiens, avec petites forces, a brisé nos lignes en Galice du Sud, qui peut obliger l'ensemble du front sud-ouest de se replier en direction de l'est. C'est déshonorant et déchirante. Aujourd'hui, enfin, il y a eu une proclamation du gouvernement provisoire que la peine de mort est en vigueur dans le théâtre des opérations militaires pour les personnes reconnues coupables de trahison. J'espère que cette mesure n'est peut-être pas trop tardive. La journée a été chaudes et humides et chaudes. Nous avons travaillé au même endroit, le long des bords de la clairière.

    Nous avons abattu trois arbres et sciés en deux. Je commence peu à peu à percevoir mes choses et livres.

     

    [TOBOLSK]

    Le 2 novembre, vendredi

    Chaude journée. Sur 04 il pleuvait un peu. Maintenant tous nos gens qui désirent faire une promenade sont obligés de passer à travers la ville, escortée par les soldats.

     

    Le 3 novembre, samedi

    De notre fenêtre, nous avons vu les funérailles d'un soldat de la quatrième fusils... À la tête de la procession marcha un groupe composé d'élèves du secondaire qui jouent très mal. À la messe 11 a été dit à notre maison. SAT jusqu'à l'heure du thé avec Kostritski. Il y avait un service Vespertilionidae 09, et puis nous avons fait une confession à père Alexei.

    Est allé se coucher tôt.

     

    Le 17 novembre, samedi

    Le matin, I was made heureux par une lettre de Xenia. Beaucoup de neige était tombé ; J'ai nettoyé un endroit pour la marche, et au cours de la journée, nous avons effectué des bois de la grange. Il y a déjà deux jours toute agence télégrammes ont été reçus. Au cours des deux derniers jours, il y n'a eu aucune nouvelle télégraphique, qui peut être due à des événements malheureux dans les grandes villes.

     

    Le 23 novembre, vendredi

    Une autre journée chaude - il est allé à zéro. Au cours de la journée je sciés bois. Termine le premier volume de « 1793. » Dans la soirée j'ai lu à haute voix « Mémoires d'un chasseur » de Tourgueniev.

     

    Le 24 novembre, samedi

    Beaucoup de neige est tombée. Aucun les journaux ou les télégrammes ne proviennent de Petrograd pendant une longue période. À un moment aussi grave, c'est grave. Les filles étaient occupées avec les balançoires, saut de leur part sur un tas de neige. 09 Il y avait un service Vespertilionidae.

     

    Le 27 novembre, mardi

    Anniversaire de la chère mère et 23e anniversaire de notre mariage. 12, Il y avait un service religieux. La chorale a obtenu des choses mélangées et chante désaccordé, probablement parce qu'il n'avait pas été répétitions. Le temps était ensoleillé et chaud, avec des vents soufflant en rafales. Après le thé de l'après-midi, je relis mes occupation diarie-agréable antérieure.

     

    30 Novembre, vendredi

    Au même temps désagréable, avec un vent de pénétrer. Déchirante à apprendre des Description des articles de ce qui s'est passé il y a deux semaines à Petrograd et à Moscou. C'est bien pire et plus déshonorant qu'avant.

     

    Le 1er décembre, samedi

    Il est venu à l'attention un rapport plus incroyable que les trois délégués de notre cinquième armée s'est rendu aux Allemands avant Dvinsk et signé les conditions préliminaires d'un armistice. Tel un cauchemar que je n'attend jamais. Se comment pourraient ces crapules bolcheviques courber si faibles quant à transporter en vigueur leur rêve chéri de proposer la paix sans demander l'avis du peuple et à un moment où l'ennemi occupe les grandes étendues de notre pays ?

     

    Le 3 décembre lundi

    Le givre a augmenté et la journée était claire. Il y avait le mécontentement parmi les soldats parce qu'ils n'avaient pas reçu leur solde de Petrograd pour trois mois. Cela a été rapidement réglée par un prêt temporaire de la somme nécessaire à la Banque. Au cours de la journée je m'irrigation avec le bois de chauffage. 9, Il y avait un service Vespertilionidae.

     

    Le 4 décembre, mardi

    Le jour de la fête de la présentation, nous avons dû aller sans église de service parce que Pankratov (V. S. Pankratov était un commissaire envoyé par le Capital.) n'a pas daigné lui. Le temps était chaud. Tout le monde a travaillé dans le jardin.

     

    9 Décembre, dimanche

    Au 08, nous sommes allés à la messe. C'est un jour férié en l'honneur de ceux décorés de la Croix de St. George. La ville a donné un dîner et autres divertissements dans la maison de la communauté en l'honneur d'eux. Parmi les membres de notre garde ont plusieurs chevaliers qui leurs camarades, ne sont pas membres de l'ordre, ne libérerait pas même sur une journée comme ça. Liberté... Pied de long et une grande partie ; modérée de la météo.

     

    Décembre 14-15, vendredi-samedi

    Les deux jours passé identique. Il y a eu un gel mordant avec le soleil. Après notre promenade quotidienne, nous nous réunissons tous les jours...[sic] à répétition... Il y avait 9, vêpres.

     

    16 Décembre, dimanche

    Alix et Alexis ne vont pas à la masse, en raison de la froide-il était de 16 degrés. Toute la matinée, nous avons répété nos pièces dans le salon, où, avec l'aide de nombreux écrans et toutes sortes de meubles, nous avons mis en place quelque chose comme une étape. Le soir il a tout remis en place. Nous avons marché tant qu'il n'y a été avancée. Alors que le Bésigue est joué, je suis maintenant lire à haute voix de Tourgueniev « À la veille. »

     

    Le 19 décembre, mercredi

    Mon nom journée passa tranquillement et pas comme les années précédentes. À midi, il y avait un service religieux. Les hommes de la quatrième fusils, la garde dans le jardin, a félicité le moi et je les, à l'occasion de leur fête régimentaire. J'ai reçu des tartes du trois Saint jour et l'un d'eux est envoyé à la garde. Dans la soirée, Maria, Alexei, et... [sic] emporté nos pièces dans le jeu très bien, et il y avait beaucoup de rire.

     

    10 Janvier, jeudi

    Journée magnifique, ensoleillée, chaude, avec 2 degrés de gel. Restée longtemps à l'air libre, matin et soir. Savant avec indignation que notre bon Alexei de père est actuellement examinée par les autorités et tenu en état d'arrestation dans sa maison. Cela se produit car le service de Noël dans l'église le diacre fait référence à nous par notre titre en présence des soldats de la deuxième. Pankratov et sa foule avaient probablement un coup de main à cet égard, comme ils le font pas toujours.

     

    Le 13 janvier dimanche

    Pas une journée froide, avec un vent soufflant en rafales. Vers le soir, Alexei s'est levé. Il a été capable de mettre  sa botte. Après le thé, nous avons été séparés, jusqu'à l'arrivée de la nouvelle année.

     

     

     

    Seigneur, sauver la Russie.

     

     

     

    De « Na Chuzhoi Storone » III, pages 112-120

    Ce texte a été analysé par Rob Moshein.

    Veuillez envoyer vos commentaires sur cette page et la Machine de temps à boba@pallasweb.com

      

    SOURCES :

    http://www.microsofttranslator.com/bv.aspx?from=&to=fr&a=http%3A%2F%2Fwww.alexanderpalace.org%2Fpalace%2Fndiaries1917.html

      

     

     

     

      

     

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    Liste des objets trouvés à Iekaterinbourg

      

    Ce qui suit est une liste d'éléments appartenant autrefois à la famille impériale assassinée ont été trouvées par les enquêteurs du gouvernement blanc à Iekaterinbourg. La liste est calculée pour le palais Alexandre, car il montre les types d'objets personnels, livres et vêtements utilisés par la famille dans le palais et pris donc à Tobolsk et Ekaterinbourg. Il est évident que les autres articles ont été ajoutés à Tobolsk et la famille a fait des achats de livres, icônes, lunettes et autres choses. Les éléments supplémentaires ont également été envoyés par le commissaire du palais Alexandre - son intention était d'alléger le sort de la famille. Paquets ont été également reçus d'amis ou de parents.

    Cette liste sera d'intérêt pour ceux qui s'intéressent à la vie de la famille impériale en capivity et en leur destin. Les objets ci-dessous ont été volés par les gardes ou trouvé partiellement détruit par le feu ou trambled dans les ordures tas près de la villa Ipatiev. Ils représentent une petite fraction des possessions de la famille en exil. Les objets plus précieuses ne furent jamais retrouvés. Articles du palais Alexandre ont retourné au palais et ajouté à la collection du Musée. Nombre d'objets est restée inconnue pendant l'occupation blanche et relevée lorsque les bolcheviks ont repris la ville.

    Certains de ces a fini par revenir à la villa Ipatiev lorsqu'il est devenu un musée célébrant l'assassinat des Romanov. La liste provient de l'édition française de l'enquête de Sokolov sur le meurtre de la famille impériale. Il a été traduit par Rob Moshein.

    La traduction n'est peut-être pas parfaite, mais Rob s'est porté volontaire pour faire ce travail gratuitement et nous sommes très reconnaissants.

    Nos remerciements à Rob Moshein.

    Cette information est uniquement à des fins éducatives et ne devrait être reproduite ou utilisée commercialement sans avoir obtenu l'approbation écrite préalable. Si vous trouvez cette liste ou autres parties du site précieux pour que nous vous demandons de considérer faire un don à l'APA la préservation du Palais des archives dans l'archive de Romanov à Moscou ou de Saint-Pétersbourg.

     

    bludgeonedbeauties:

    OTMA’s room in the Ipatiev house after their murders

    The Duchesses bedroom in the Ipatiev House.

    The middle room, lit by a single, tall arched window, had originally served as a dressing room; when the prisoners arrived, it became the grand duchesses’ bedroom. If the heavy, masculine atmosphere of the study, drawing room, and dining room reflected the taste of Nicholas Ipatiev, this and the adjoining room mirrored that of his wife. Two corner stoves warmed the room, with its parquet floor and walls covered in pin, red, and green floral paper. The furnishings, too, were simpler: in one corner stood a tall pier glass, with a table, bookcase, and several Biedermeier and Bentwood chairs scattered across the Oriental carpet. A fire screen, painted with flowers, stood in front of one of the stoves. From the ceiling hung another of Ipatiev’s Italian purchases: an electric chandelier, decorated with clusters of green bronze leaves and three handblown, tulip-shaped shades of red and white Venetian glass.

    - The Fate of the Romanovs, pg. 110.*

     

     

     

     

    Bob Atchison


    A. DÉBRIS DÉCOUVERTS DANS LES POÊLES DE LA VILLA IPATIEV

    1.   Un boîtier recouvert à l'extérieur de moire de soie lilas et les lignes à l'intérieur de blanc satin, de la maison de Fabergé.
    2.   Une bourse de pièces de monnaie en cuir brun, avec attache de laiton.
    3.   Fragments d'un tissue-uni"(?) »
    4.   Fragments d'une bande intermédiaire noire (nb: un morceau de tissu utilisé pour rejoindre les deux panneaux de robe)
    5.   Une boucle et une attache, brûlé, de la Jarretière d'une femme
    6.   Une boucle de sangle de fer
    7.   Les fragments d'un tissu avec deux petits anneaux
    8.   Une petite feuille de papier de la lettre sur laquelle on peut distinguer écrit à l'encre, les mots suivants: « Siednef...Nostalgie... chagrin... profonde... »
    9.   Un petit cadre Conseil d'un aéronef d'icône sur son revers, l'inscription suivante: « X.V. 1916. A »
    10. Un petit couvercle de cercueil (nb: coffret)
    11. Un petit cercle de métal et d'appartenance avec aucun doute de la même coffret
    12. Une poignée de bronze d'un cercueil
    13. La lame de fer d'un calendrier de la maison de Sytine
    14. Un petit tube de verre jaune avec les boutons
    15. Les morceaux brûlés d'un manche de brosse à dents
    16. Deux égale des morceaux de verre blanc, apparantly d'un objet rond
    17. Quatre fragments de verre
    18. Une fine plaque de cuivre (? nb « lamelle »)
    19. Deux morceaux d'une soucoupe de porcelaine
    20. Une pièce ronde d'un autre objet de porcelaine
    21. Tiges de fleurs artificielles, chute de cendres quand on la touche
    22. Un flacon de verre avec spirale filetés cou
    23. Un petit morceau brûlé du tissu en soie
    24. Deux pièces de tissu
    25. Une tresse epaulette d'un général de la suite (suite), transportant un monogramme cousu « N II » et la Couronne
    26. Une petite boîte métallique des aiguilles gramophone
    27. Une tête d'épingle de porcelaine avec les initiales « SV »
    28. Fragments de brosses à dents et brosses à ongles
    29. Fragments de dominos porcelaine
    30. Morceaux de fer d'origine indéterminée
    31. deux pièces d'un bâtiment de porcelaine
    32. Deux écluses
    33. Une boucle de ceinture
    34. Les fragments d'épaulettes
    35. Pièces d'objets en verre
    36. Métalliques pièces de cadres
    37. Une nervure métal corset
    38. Deux chandeliers en métal
    39. Un dé à coudre
    40. Épingles et broches
    41. Deux pinces à sucre
    42. Deux crochets
    43. Le métal au dos un calendrier
    44. Les clous et autres fragments de métal
    45. Un métal net
    46. Le haut du couvercle rond en bois, avec un design
    47. cinq pièces de métal léger délavé
    48. Une boîte de petite porcelaine avec un couvercle métallique
    49. Le corps de métal d'un rasoir affûtage outils
    50. Sept pièces métalliques de diverses pièces d'attache du châssis, les sacs à main et porte monnaie
    51. Huit morceaux de tiges ovales de deux petits cadres, un noir et l'autre bleu
    52. Deux corps des cadres avec des agrafes de pliage de métaux
    53. Quatre boucles de trois différents types de métaux
    54. Six portes peu de cadres ou de cercueils (coffrets)
    55. Les fragments de verre différents flacons
    56. La pièce d'une poignée de gutta percha
    57. Un bouton de gant
    58. Une petite clé
    59. Le brûleur d'une petite lampe
    60. Un bouclier brûleur de mèche et ovale avec couvercle métallique
    61. Le bouchon d'un coussin d'air
    62. Un tube de verre
    63. Fragments de petits anneaux en métal, conseils d'axe
    64. Une boîte aiguilles gramophone petits boutons womens'
    65. Deux croisements de mica
    66. Aiguilles à tricoter
    67. Or threads d'une tresse
    68. Les bits de l'or fondu avec d'autres métaux
    69. Fragments de bois de brosses, six petites balles et une petite chaîne
    70. Une broche filetée avec des grains de verre
    71. Six morceaux de bois, de verre et d'argile
    72. Quatre cartouches de revolver, type Nagan
    73. Un montage cuivre, une plaque de cuivre (nb: lamelle) et un petit tube de cuivre aplati
    74. L'ossature métallique de sac à main de la femme
    75. Un petit sac à main, noir
    76. Une pièce d'un mouchoir, marqués d'un « A », apparantly appartenant à Demidova
    77. Plusieurs petits morceaux d'une trame détruite
    78. Une pièce d'une étole retiré une icône
    79. Une petite carte à jouer (8 de diamants)
    80. Un petit morceau de soie vert foncé et un ruban de velours noir
    81. Un métal monogramme « 18 9/VIII 9... »
    82. Or thread d'une tresse et cordon
    83. Une cocarde agents
    84. « Archal"(?) fil
    85. Le Conseil d'une icône
    86. Un petit coussin de soie avec le montage d'une icône
    87. Deux plaques de métal
    88. les bouts de carton
    89. Les bits d'une lettre
    90. Les bits d'un cadre en métal avec verre
    91. dix plumes acier
    92. Boucles quatre hommes, mark queue Lidval, six petits boutons militaires avec les aigles, les boutons de verre trois womens', les restes de boutons en bois et nacre (mère de perle)
    93. Plusieurs pièces de bas de soie pour femmes, à jour (moderne), un mans de chaussures talon, avec des restes de ferronnerie

     

     

     

    B - OBJETS TROUVÉS DANS LES POÊLES ET LES DÉBRIS DE MAISON POPOV

    94. Une boîte en carton avec dix diapositives de lanterne magique de verre
    95. Une icône bois ovale, de l'Ange Sauveur, effectuer sur sa face antérieure une scission se produite par un coup et sur son postérieur de côté cette inscription au crayon noir, à la main de Empress: « Christ est Risen, 25 mars 1912, Livadia »
    96. Trois bobines de film, « Kodak » 12 1/2 par 10
    97. Trois plaques de métal qui, sans aucun doute, d'une valise, un trouvent le monogramme « AF »

     

     

     

    The half-basement room in the Ipatiev House, where the imperial family was killed. Alexis and Alexandra were seated; the other victims — including three family servants and the Romanovs’ physician — stood. Yakov Yurovsky had positioned his victims on the pretense that the Communist authorities in Moscow required a photograph. In the last second of her life Olga attempted, but failed, to make the sign of the Cross. She was killed almost instantly; her sisters and brother took much longer to die, and the maid Demidova received more than thirty bayonet wounds. By the end of the massacre the room was awash with blood.

     

     

     

    Tsarevich Alexei as an infant: 1904

     

    Tsarevich Alexei as an infant: 1904

     

     

    C - LES OBJETS TROUVÉS DANS LA FOSSE DE LATRINES, DE LA VILLA IPATIEV

    98. Une icône en bois avec un petit anneau de métal tordu. Il est impossible de distinguer le visage du Saint le retour, l'impératrice a écrit à la main » nous sauver et nous protéger, mère. 1917, Tobolsk ». Au-dessus de l'inscription, une croix est dessinée
    99. Une icône en bois. Impossible de distinguer la figure du Saint. Sur le dos, on voit les restes d'une inscription en vieux slave, où seul le terme « affligé » est déchiffrable
    100. A blanc blouse, d'une femme plus âgée à disséminer et brodé avec des plats points
    101. Mouchoir blanc d'une femme, Batiste
    102. Un sac de soie noire
    103. Un petit ruban de soie rose avec bords gris
    104. Un collier noir, de moire typique, portant un ruban cousu de l'ordre de St. Vladimir coupé en place avec la Croix
    105. Un petit ruban de Saint-Georges, 6 1/2 pouces de long et 2,5 cm de large, coloré avec de la boue
    106. La tresse d'un agent
    107. Un pot de verre
    108. Une petite bouteille d'eau, remplie d'eau, à l'image de St. Simeon de Verkhoutsk
    109. L'image, dans un cadre en métal, de St. Séraphin de Sarov le miracleworker
    110. l'image dans l'émail de St. Simeon de Verkhoutsk
    111. Une petite bouteille d'eau, portant l'inscription: « votre foi vous permet d'économiser. Le monastère de la Sainte Trinité »
    112. Six bouteilles de différentes tailles, contenant des produits pharmaceutiques
    113. un morceau de cuir brun avec des dessins repousse d'un sac à main
    114. Un tube de verre contenant une poudre blanche
    115. Un petit tour de cadre photo, décoré sur le bord intérieur et extérieur avec une bande de cuir
    116. Un montage de charpente métallique
    117. Un médaillon petit charme avec une photo où l'image a été rendue méconnaissable
    118. Un médaillon ovale de charme avec les lettres gravées « XV »
    119. Une bande de cuivre (nb: « lamelle ») d'une necessaire a marqué avec une couronne
    120. Le verre rond à un cadre photo
    121. Une petite bouteille sous la forme d'une carafe contenant une poudre
    122. Un tube de plomb d'une pommade
    123. Une couverture métal blanc d'une boîte de savon
    124. Un pot en métal
    125. Une pièce d'une tasse de thé de la poterie
    126. Une bouteille d'onguent
    127. La couverture de cuivre d'une bouteille de poudre
    128. Une bouteille de parfum petit avec un pulvérisateur cuivre
    129. Epaulet du un général
    130. Tresse d'un soldat
    131. Quatre petits bateaux en étain et un petit cavalier en étain (cavalier) - jouets enfant
    132. Un cinq pièces de monnaie Kopek
    133. Un caméo de moyenne taille, pompéien, représentant le profil de la femme
    134. Trois boules de Loto, numéros 1,4,9
    135. Six blocs de construction, jouets d'enfant en bois
    136. La couverture d'une soupière faïence
    137. Un dé à coudre en métal

     

     

    Tchemodorov a déclaré que les numéros d'article 100-103 inclusive appartenaient à Anna Demidova de Stepanova » le no.102 sac à main, dit-il, accrochés au mur du lit. Demidova jamais séparé et il a tenu les objets qu'elle trouve toujours nécessaire. Le collier uniform noir avec le ruban de Vladimir (n) appartenait au docteur Eugene Sergeavich Botkin. Il portait toujours la Croix de Vladimir, 3e classe. En ce qui concerne le ruban de Saint-Georges (no 105) il avait été enlevé à la voile avec laquelle il est jamais séparé de l'empereur. »

    Voici ce que Tchemodorov dit sur le sujet de deux icônes, no 98 et 99 :

    « Ils appartenaient à la famille impériale et ont été trouvés dans la grande chambre. » Après Tchemedorov, l'agent de la cocarde et la boîte de petit verre appartenaient à l'empereur - no 108-123 inclusivement pour les grandes-duchesses - l'épaulette de la générale (no.129) au Prince Dologoruki - nos 130-135 inclusivement pour le tsarévitch - no 136 pour les plats de l'empereur et la cartouche (no 137) à Demidova.

     

     

     

    D. LES ICÔNES DANS LA VILLA IPATIEV ET SES DÉPENDANCES

    138. L'image du Divin Sauveur, de grande dimension, bordée de brun. Sur le verso, il y a une croix dessinée et l'inscription: « Nous sauver et nous protéger--25 mai 1913, A.V. Moscou »
    139. L'image du Divin Sauveur, de grande dimension, bordée de brun clair, portant sur son dos l'inscription: « Ts S. Anastasia 1914, 5 juin »
    140. L'image du Divin Sauveur, de dimension moyenne et bordée de brun. Sur le verso une croix est dessinée au crayon qui accompagne l'inscription: « Nous sauver et nous protéger, d'a. 1913 »
    141. L'image du Divin Sauveur, de dimension moyenne, bordée de gris
    142. Petite image du Divin Sauveur dans une armature en bois avec des bandes de noir et or
    143. La petite image du Divin Sauveur, transportant sur son revers une inscription en anglaise, avec seulement les mots suivants peut-être lisibles: « Dieu... vous protéger... de Rose qui vous aime. Mai 10, 1909 »
    144. La petite image du Divin Sauveur, dans une petite armature métallique, portant gravé sur le verso: « ceux qui souffrent dans votre chair cessent d'être un pécheur. Lorsque la douleur augmente en nous, Christ augmente notre espérance dans le salut de qui il trouve nous digne »
    145. La petite image du Sauveur, gravées et ornées, sur une bande de fer blanc, avec un support en bois. Sur son dos, on lit les traces de l'inscription: « cette image apparaît à notre cousin quand elle est morte... »
    146. Une grande image de la Vierge de Potchaiov, l'inverse est recouvert de velours bleu
    147. Une grande, âge, image de la Vierge, sur bois, en noir sur fond rouge
    148. Une grande image de la Vierge de Tobolsk, avec une bordure bleue autour de l'icône, on sur son dos une croix dessinée et l'inscription de l'impératrice: « nous sauver et nous protéger. -Noël 1917. Tobolsk. Alexis »
    149. Une petite icône de la Vierge de Tobolsk
    150. Une image, la taille moyenne, de la très Sainte Vierge d'Abalagh, sur les couleurs, portant sur son dos un dessin de la Croix et cette inscription dans la main de l'impératrice: « À notre chère Tatiana, bénédictions pour le 12 janvier 1918, Tobolsk, Papa et maman »
    151. La petite image de la Vierge, joie des affligés, en couleurs, portant sur son dos, cette inscription en la main de l'impératrice: « T.N. 27 février 1913, Ts.S. de Mama »
    152. Une grande image de la Vierge de Kolomna, sur bois
    153. La petite image de l'apparition de la plus Sainte Vierge, avec l'image sur son dos: « de Anya, 1916. T.N. »
    154. Une petite image de la très Sainte Vierge, en couleurs, portant sur son dos, cette inscription en la main de l'impératrice: « À notre chère Olga, bénédictions de Papa et maman. SPALA 3 novembre 1912 »
    155. La petite image de la très Sainte Vierge d'Abalagh, en couleurs, portant sur son dos, cette inscription en la main de l'impératrice: « T. nous sauver et nous protéger. Mama. Noël 1917. Tobolsk. »
    156. La même image avec la même conception et inscription
    157. La petite image de la très Sainte Vierge l'utile, peint sur bois, portant sur son dos l'inscription ; « De Anya. 9 Septembre 1915. N »
    158. La petite image de la très Sainte Vierge l'utile, peint sur bois
    159. L'image de la très Sainte Vierge l'utile sur la toile, en couleurs
    160. L'image de la très Sainte Vierge qui allège la souffrance, en couleurs, transportant de l'arrière: « A.F. Oct. 1908 »
    161. L'image de la Vierge de Vladimir, sur bois, avec sur le revers, l'inscription: « Tobolsk (Sainte icône) 3 septembre 1917. De Nastienka »
    162. Une petite image de la Vierge, en couleurs, avec sur le revers, l'inscription: « de Anya. 1916 »
    163. La petite image de la Vierge, en couleurs, au verso et sur le fond l'inscription: « de la sœur de Mercy O. Sechevtchcuk. »
    164. L'image de taille moyenne de saint Nickolas Miracle en Alabama, en couleurs, au revers l'inscription suivante: « Les bénédictions de l'Ermitage russe de Saint-André à Athos. »
    165. Une petite image de Saint Nikolas le Miracle Worker.
    166.²A petite image de Saint Nikolas le Miracle Worker, couvert d'argent doré.
    167. La petite image de Saint Séraphin de Sarov, peinte sur bois.
    168. Petite image de Saint Séraphin de Sarov, dans un cadre en métal sous verre
    169. L'image de Saint-Georges le victorieux, travail de vieux, dans un cadre ovale, suspendu à une chaîne, avec le revers de la main de l'impératrice: « Kh. V. Maria, Papa et maman, 1913 »
    170. Une petite image de Saint Siméon de Verkhoutsk, en couleurs, avec le revers de la main de l'impératrice: « À mon cher Tatiana de Anya, 1916 »
    171. Une petite image dans un cadre en métal de Saint Siméon de Verkhoustk
    172. Une petite image de Saint Anthony de Martyrs, de John et Eustache, sur bois
    173. La même image avec un petit anneau sur le côté arrière
    174. La même image avec sur le verso au crayon du dessin d'une croix et l'inscription: « A. Tobolsk. »
    175. La même image avec sur le verso, écrit de la main de Tatiana Nickolaevna: « Tobolsk en 1917, 22 décembre, T.N. »
    176. La même image avec sur le revers: « décembre 1917. Tobolsk, la fête du 14 avril. »
    177. La petite image du saint Martyr Maria Paraskeva Piatnitza, sur bois, avec sur le revers: « de l'ancienne Mikhaïlovna de Maria. Novgorod. 11 Décembre 1916. »
    178. Image, taille moyenne, de Saint Serge Radoniejski, sur bois
    179. La petite image de Saints Cosmos et Damien
    180. La petite image du Saint prophète Élie
    181. Petite image de Saint-Jean de Tobolsk, en couleurs, avec sur le revers: « Bénédiction de Saint-Jean, métropolite de Tobolsk et de la Sibérie, 23 avril 1918 »
    182. La même image avec la même inscription accampanied à la date du 5 mai 1918.
    183. La même image, de la même date, dans la main de Tatiana Nickolaevna: « T.N. Tobolsk »
    184. Image beaucoup plus petit de Saint-Jean de Tobolsk, avec sur le revers: ² « Tobolsk, 11 août 1917, de Nastienka »
    185. La même image avec à l'inverse « Tobolsk, 11 août 1917 »
    186. Image encore beaucoup plus petit de Saint-Jean de Tobolsk
    187. Image plus grande de saint même
    188. L'image sur le bois du Sauveur, avec sur le revers, à l'encre noire: « Ils ont reçu leur consolation et leur bénédiction de Gregori et Anna » tous les mots, sauf « Gregori » sont écrits dans la même main, celle de Vyroubova. Que de Gregori est dans la main de Rasputin.
    189. L'image de la très Sainte Vierge de l'Annonciation, sur bois avec au verso à l'encre noire et avec la mauvaise écriture: « Dieu se réjouit et consoles et donne l'alerte au monde ». Surtout écrite dans une autre main: « Décembre 1910 » l'inscription est de toute évidence que Raspoutine. Sur l'image, on voit la Vierge Marie, l'archange tient une branche et l'esprit Saint sous forme une colombe.
    190. L'image de Saint John Voin, sur bois, avec sur le revers, à l'encre noire et de la main de Raspoutine: « Dieu nous bénisse pour que »
    191. L'image de la Vierge sur bois, avec sur le verso, à l'encre noire dans la main de Raspoutine: « Les bénédictions pour l'anniversaire de Tatiana »
    192. L'image de la Vierge. Cette image, après Tchemodorov, est celle de la Vierge de Féodoroff. Le halo est perforé et contient une étoile de diamants
    193. L'image de la Vierge de Kazan
    194. L'image de la Vierge de Tchenstokovo

     

     

     

     

     

    E - BOOKS DANS LA VILLA IPATIEV ET SES DÉPENDANCES

    a. livres de de l'IMPÉRATRICE

    195. THE LADDER OF PARADISE, lié en rouge et doré. Sur le verso de la page de garde est un losange en forme de papier avec le monogramme A.F. et la Couronne impériale. Sur la page de titre, l'impératrice a écrit au crayon « A.F. Ts.S. mars 1906 »
    196. le livre De la PATIENCE en souffrance. Elle est recouverte de bleu, d'or et de niellage. Sur le verso de la couverture un papier façonné dans un losange avec le monogramme A.F. et l'impérial Couronne. Au verso de la page de garde, l'impératrice a écrit à la main: « A.F. Peterhof, 1906 »
    197. A COLLECTION de prières, couvert de calicot bleu foncé. Sur la page de garde, un papier rond gravé avec liée monogrammes de N.A. et A.F. avec la Couronne impériale. Sur la dernière page est écrit à l'encre que la date « 6 mai 1883 » dans le livre se trouve un petit anneau et fleurs séchées
    198. La BIBLE, couvert de calico noir. Beaucoup de passages est soulignés et le livre contenait des herbes séchées, de feuilles et de fleurs sauvages
    199. Un livre français
    200. Le grand dans le petit par Serge Nilus
    201. Bleu et or par Avertchenko
    202. Les contes de CONVALESCENTS de Avertchenko
    203. A.P Chekov, livres II, VIII, XIII

    b. livres de la grande-duchesse OLGA NICKOLAEVNA

    204. Un livre en anglais brocart. Sur la première page, le dessin d'une croix et le verset anglais écrit à la main de l'impératrice et sur le verso, écrit dans la même main: « V.K. Olga 1917. Mama. Tobolsk » le livre contenait trois petites feuilles de papier. Sur l'un est écrit le poème de Sully-Prudhomme, Le VASE brisé. Sur les deux autres, Olga Nickolaevna a écrit ce qui suit :

     

     

    1. - DEVANT L'ICÔNE DE LA VIERGE, MÈRE DE DIEU
    « Reine du ciel et terre, consolation des affligés, écouter les prières des pécheurs, vous êtes l'espoir et le salut.
    Nous sommes enlisés dans la saleté de la passion, nous avons commis une erreur dans les ténèbres du vice. Mais... notre père ! O, tourner vers son regard qui voit tout.
    The Sainte Russie, votre logement lumineux est en danger de périr. Nous appeler vous, Protecterice, nous ne savons rien d'autre que vous.
    Do n'abandonner pas vos enfants, esprit des affligés. Pas détourner votre regard de notre chagrin et notre martyre.

      

     

     

    ‘The Rosary’ was one of GD Maria’s favorite books.

     

      

      

    2. LA PRIÈRE
    Envoyez-nous la patience, le père, pour nous soutenir dans cette année des tempêtes et des jours sombres, ces persécutions du peuple et ces tortures de nos bourreaux.
    Nous donner la force, O Dieu juste, pardon la méchanceté de nos voisins et de transporter les lourds sanglante Croix avec votre humilité.
    And en ces jours riotious, quand nos ennemis nous dépouiller, nous aider, Dieu Sauveur, à souffrir de la honte et les insultes.
    Master du monde, nous bénir avec votre prière et donne la paix à notre âme apaisé à cette heure terrible et insupportable.
    Et aux portes de la tombe, font de nous né à nouveau avec les lèvres de vos esclaves la force surhumaine de l'humble prière pour nos ennemis.

     

     

    Personal possessions of the Imperial family found at the Ipatiev House by the White Army after the execution: 1918.

     

     

    205. L'EAGLET, par Rostand, avec couvercle rouge vermeil. Sur le verso de la troisième page est l'image en français « G.d.O.N. de P.G., Spala 3-XI-1912 »
    206. Un livre en anglais : la princesse et le gobelin, transportant en anglais sur la deuxième page « pour darling Olga, de tante Irene, 1903 »
    207. Un livre français, FRANCE et toutes les époques de son. Sur le verso de la couverture, le Tsar a écrit « Noël 1911, 24 décembre. Tsarskoïe - Selo, de maman et Papa » et à côté d'elle « Olga – N »

    c. livres de TATIANA NIKOLAÏEVNA

    208. Rituel pour la préparation de la Sainte COMMUNION. Livre à couverture bleue, portant sur la première page à la main de l'impératrice « À mes cher Tatiana, de Mama, 9 février 1912, Tsarskoïe Selo »
    209. Les faveurs de la Vierge, avec une couverture rouge, sur le verso de la couverture, à la main de l'impératrice, partie dans la partie anglais russe ; « Pour ma darling Tatiana, sa maman aimante. Tobolsk, 12 janvier 1918 »
    210. Un livre d'heures, en couverture cartonnée brune. Sur la première page cette inscription en main de l'impératrice « T.N. Tobolsk, » 1917, 30 septembre
    211. Lettres sur la vie chrétienne, avec une couverture noire. À l'intérieur de la couverture, l'impératrice écrivit dans sa main « À Tatiana », 1917, T. S. 12 juillet
    212. De la PATIENCE en souffrance, Brocart gris. Au coin de la couverture, l'impératrice a écrit « T.N. 1917 »
    213. La vie et MIRACLES de ST. SIMEON le vient de VERKOUTSK, avec couverture grisâtre, avec à l'angle de la main de l'impératrice: « T.N., Tobolsk, 1918 »
    214. La vie de notre Saint Père SAINT SÉRAPHIN de SAROV, avec couverture grisâtre sur le coin de l'impératrice main par la « T.N. Tobolsk, » 1918
    215. Chanter À la gloire de la Sainte Vierge, avec l'inscription de l'impératrice « T.N. 27 février 1913, Ts.S. »
    216. Douze ÉVANGILES, avec papier glacé gris couvert, avec à l'intérieur de la main de l'impératrice: « À mon cher Tatiana, de Mama 1905 »
    217. Ma vie en CHRIST, couverture reliée au brun. Sur la première page, l'impératrice a écrit: « T.N. 1915 »
    218. CONOLATIONS pour la perte de ceux près, couverture gris clair. Sur la couverture, l'impératrice a écrit: « T.N. 1917 »
    219. COLLECTION des conférences plus PIEUSES de Valuiov
    220. CONVERSATIONS ON souffre, par Philarete, couverte de bleu avec des trucs dorés
    221. Grand CANON, par Andre Kritski
    222. COLLECTION de SERVICES, de prières et de cantiques, avec une couverture rouge brillante et dorés conseils. Sur les feuilles volantes l'inscription « À Madame Tatiana, de S. Tutcheva, qui aime, 1908 25 novembre. »

    223. Un livre en anglais Les plus larges de la vie, avec la couverture bleue lumière brillante et doré à l'arrière. Derrière la première page, l'impératrice écrit (en anglais) « pour darling Tatiana, d'a. 1909 »
    224. Un livre en anglais
    225. Un livre en anglais, porte ouverte de la vie
    226. Vie audacieuse, par Tcharski, avec couverture reliée avec une petite peinture. Sur le verso de la les feuilles volantes l'impératrice a écrit « à mon cher Tatiana de Papa et maman. Janvier 1908 »
    227. L'histoire de PETER le grand, par Tchistiakov avec couverture verte bleu
    228. Un livre en anglais, THE MAMBO KING, avec l'auteur, dédicace de Paul du Chulus
    229. Un livre en anglais par le même auteur, Mon royaume fort, avec un dévouement, d'une couverture verte lumineuse
    230. Un livre en anglais, Le pays des nains, avec dévouement et la même couverture
    231. Un livre en anglais, Contes de SHAKESPEARE, avec une couverture sur papier glacé brun
    232. Les FABLES DE LA FONTAINE en français
    233. Anthologie de l'enfance de Frédéric Bataille, en français

    d) livres de la grande-duchesse MARIE NICKOLAEVNA

    234. À PARIS, par Avenarius, avec sur le verso de la feuilles volantes « M.N. Noël 1913, de P.V.P »
    235. Manuel pour l'étude des langues étrangères , avec la signature de Marie
    236. Réflexions par Popov, le livre de l'école
    237. Un livre en anglais Le rôle et l'anneau

    e. livres de la grande-duchesse ANASTASIA NICKOLAEVNA

    238. Quatre livres de l' Œuvres de Lazietnikov, volumes 1 & 2 avec couverture de couleur sur papier glacé

    f. livres du TSARÉVITCH

    239. Méthode pour jouer la BALALAÏKA, couverture bleu brillant, monogramme a et la Couronne sur la couverture
    240. Un cahier d'école avec la couverture jaune sur lequel le tsarévitch a écrit: « Portable français, Alexis » cinq pages sont pleines de traduction
    241. Cahier avec une couverture bleu avec le sceau du gouvernement de Tobolsk et l'Empire de la Sibérie. Sur le dessus est marqué « 1916-Souvenir », à l'intérieur sont vues de Tobolsk
    242. Carnet de 1916 avec couverture en bois sur papier glacé et fermoirs de cuivre. Il contient des notes de ses professeurs GIBBS et GILLIARD sur ses utilisations du temps et de son état de santé

     

     

     

     

     

     

    F - OBJETS TROUVÉS DANS LES MAISONS DES GARDIENS DU TSAR :

    a. à la maison de MICHAEL IVANOV LETEMINE, Iekaterinbourg

    243. Journal du tsarévitch, cartonné et couvert de soie couvert acier. Il est entièrement écrit à la main par le tsarévitch. Il a commencé avec 11-24 mars 1917 et s'est terminée le 9 novembre 1917: « Aujourd'hui transmis comme hier et aussi tristement. »

    Sur la première page du journal, l'impératrice a écrit: « toutes les créatures sont choisis par le créateur. Temps et les années sont en son pouvoir. Nous bénir dans ta miséricorde et de préserver l'empereur dans la paix. Et nous sauver... » Sous ces mots, le dessin d'une croix.

    Sur la deuxième page, l'impératrice écrit aussi « À mon cher Alexis, votre maman, Tsarskoïe Selo »

     

     

     

     

     

     

    244. Un petit livre de comptes, couvert de cuir marocain rouge. Les recettes sont inscrits des sommes de la Chancellerie de sa Majesté. Presque tous les frais sont de l'église. Le livre commence en février 1912 et fin juin 1917.
    245. Un reliquaire d'argent
    246. L'image de Saint Alexis, métropolite de Moscou, de forme ovale en porcelaine, enfermé dans un cercueil d'argent avec des accents d'or, ouverture du dessous. L'intérieur contenue des reliques. Autour de l'image étaient des émeraudes et des diamants
    [247 omises]
    248. Un chapelet fait de coquillages, avec un petit cassé Croix
    249. Deux bougies de cire blanche, sur l'un est liée avec un cercle d'or et l'autre est orné d'un dessin d'or et un petit bouquet de fleurs
    250. Deux bougies solide « stéarine »
    251. Parapluie d'une femme en soie noire, un manche de bois noir avec une poignée d'argent tête gravée « Alix 1891 »
    252 Un appareil photographique panoramique
    253. Les instructions pour cet appareil
    254. Deux boîtes avec 33 négatifs
    255.22 vues de lanterne magique
    256. Deux buckes petit métal blanc avec brillants
    257. Un flacon d'eau de toilette
    258. Un porte-savon verre sans sa couverture
    259. Une boîte de clous os de fabrication français
    260. Un peigne tortiseshell
    261. Une brosse à chaussure
    262. Une paire de gants des filles blanches
    263. Deux petits boutons uniformes avec armoiries
    264. Cinq tours noir boutons, quatre avec des pierres brillantes
    265. Quatre noir boutons ordinaire et l'autre noir avec design
    266. Un coussinet de fil blanc
    267. Un paquet d'épingles à tête noire
    268. Deux paquets de peignes
    269. Un petit coussin pour le collage des épingles avec plusieurs épingles à tête noire et un avec une tête de métal
    270. Chemise d'un homme de petite taille, blanc
    271. Chemise de nuit d'un homme, blanc, avec une trace d'une marque de suppression
    272. Une nappe de velours avec des dessins et modèles et franges
    273. Un chiffon cramoisi
    274. Un couvre-lit avec une marque supprimée
    275. Un couvre-lit de batiste blanche avec la marque « n.d. » et la Couronne
    276. Un oreiller en satin de rouge vers le bas. Le haut de la taie d'oreiller Carry la marque « M.a. » et la Couronne
    277. Un coussin de petit fin en soie
    278. Dix blanche nappes faites à la main
    279. Un déchiré on taie d'oreiller la trace d'une marque « M »
    280. Une petite serviette de même conception que les nappes
    281. Trois taies d'oreiller, dont deux sont à la main en fil blanc
    282. Les lacets pour un couvre-lit
    283. Noir jarretières de caoutchouc de l'homme
    284. Chaussons de femme
    285. Un strop de fin cuir jaune avec une boucle blanche
    286. Un thermomètre l sur un montage métallique
    287. Une lampe à alcool étain
    288. Une plaque de lampe à alcool pour un fer à friser
    289. Une lampe à alcool « Zella »
    290. Deux paires de ciseaux acier, un grand les autres petits
    291. Le corps en bois d'un miroir et une partie du miroir
    292. Un couteau de découpe de papier acier, pliage
    293. Le manche d'un couteau de table
    294. Une fiole utilisée pour « seccotine »
    295. Une boîte avec huit ampoules électriques
    296. Un petit paquet de poudre
    297. Une boîte en étain, avec candy
    298. Une petite boîte verte en carton
    299. Une cloche de main cuivre
    300. Pinces acier
    301. Un pinceau d'artistes de collage
    302. Deux artistes, pinceaux
    303. Un crayon rouge
    304. Une boîte de cigarettes, de marque « Régie »
    305. Une grande coupe en verre mat
    306. Une boîte de faïence blanche
    307. Un couvercle de faïence blancs
    308. Deux soucoupes faïence de tasses de thé et deux petites plaques de faïence
    309. Deux verres à facettes
    310. Un paquet de poudre
    311. Une boîte de poivre en étain
    312. Une petite boîte d'étain
    313. Deux cadenas
    314. Eleven blanc enveloppes, dans lequel quatre contenaient des feuilles de papier à lettres bleues, fort
    315. Cinq petites enveloppes gris avec doublure blanche
    316. Une boîte de verre de forme cylindrique
    317. Une cantine de voyage, couverte de cuir noir, fermé par une ceinture, les coins supérieurs et les côtés sont renforcées par des bandes de cuir
    318. Une sacoche jaune pour un téléphone de champ, recouvert de lin avec des boucles en cuir
    319. Jouets de l'enfant en acier : un bateau, un dériveur, deux caissons avec leurs canons, le corps d'un canon, sept fantassins, cavaliers de six et deux chevaux
    320 . Épagneul du tsarévitch de chien « Joy »

     

     

     

    Tsarevich Alexei and his spaniel Joy: 1913.

     

    Tsarevich Alexei and his spaniel Joy: 1913.

     

     

     

    Michael Ivanovitch Letemine remis ces articles lui-même, déclarant qu'il les avait enlevé de la maison Ipatiev ; sa déclaration est contenue dans les actes verbaux de l'enquête.

    Au cours de son interrogatoire par Serguiev, il a déclaré qu'il avait réunis tous les objets laissés dans la villa Ipatiev et ses motifs et qu'il avait donné refuge hors de pitié au chien du tsarévitch.

    Tchemodorov a participé à l'enquête. Il a reconnu ces objets qui appartenaient à la famille impériale dans leur suite et ont été trouvés dans la villa Ipatiev.

     

     

     

    b) objets trouvés dans la maison de KOUZMA Ivanovitch LETTEMINE, frère du précédent

    321. Sept jouets similaires ; deux bateaux, un dériveur, deux chevaux et deux soldats.

    Kouzma a confirmé qu'elles avaient été reçues de son frère plusieurs jours avant l'enquête.
     
     

    c) objets trouvés dans la maison de PAUL SPIRIDONOVICH MEDVIEDEV

    322. Un sac de voyage en cuir jaune avec verrous de métalliques
    323. Un portefeuille de petit bordé de cuir marocain rouge
    324. Deux manchette ; un ovale, ronde, avec la date du 27 juillet 1914. Chacun fermé par un petit anneau suspendu sur une petite chaîne d'or
    325. Un gros rouleau de compress
    326. La boussole
    327. Un petit anneau d'argent, en émail bleu foncé
    328. Un petit anneau d'argent, couverts en émail noir, plus large en son milieu à un bouclier avec une conception d'or. Sur l'émail: « Nous sauver très Sainte mère de Dieu, »
    329. Trois paires de gants en tissu gris
    330. Une paire de chaussettes laineux
    331. Une serviette

     

     

    Tchemodorov le 10 août a déclaré que les anneaux appartenaient aux grandes-duchesses et le reste à Dr Botkin.
     
     
     

    d) objets trouvés à la maison de IVAN ANDREYAVICH STARKOI

    332. Une boîte jaune en bois poli
    333. Trois fourches « melchior »
    334. Deux bougies de cire rouge, enveloppés dans du papier d'or, 2 et un 3 fond, l'autre ensemble
    335. Un thermomètre l
    336. Une bouteille de parfum
    337. Un fichier fer avec poignée en bois
    338. Un mouchoir de batiste blanche petite, la première a été découpée
    339. Un mouchoir similaire, l'initiale a été découpée
    340. Un mouchoir similaire avec une bordure bleue et coupe initiale
    341 Un mouchoir similaire sans frontière, l'initiale a été découpée
    342. Un petit cadre en bois brun. Dans le cadre d'une petite aquarelle représentant un yacht avec trois mâts et deux cheminées
    343. Un cadre très petit, couvert de cuir bleu, enveloppé avec deux filets d'or
    344. Un cadre très petit, couvert de cuir lilas, avec deux filets d'or
    345. Même cadre recouvert en cuir bleu
    346. Le même cadre, mais un peu plus grand
    347. Les pinces avec un manche de bois noir

     

     

    Tchemodorov a déclaré que tous ces objets ont été trouvés dans la villa Ipatiev et que surtout la boîte, fichier, cadres, pinces appartenait au Tsarevitch, les mouchoirs pour les grandes-duchesses, la fourche de dîner à l'empereur.

    348.e) icône de ST. JOHN de TOBOLSK, trouvé dans le cimetière de la SYSSERT FACTORY

    Elle est formulée dans le bois. Du côté du coude du Saint a été rompu une petite boîte qui contenait des reliques.

    L'icône a été découvert dans le cimetière où elle avait été levée pendant l'enquête. Il a été présenté à Tchemodorov qui l'ont reconnue comme appartenant à l'impératrice.

      

      A painting of Empress Alexandra Feodorovna

      

      

    G. OBJETS TROUVÉS DANS L'APPARTEMENT DU GARDIEN DE L'OURAL SOVIÉTIQUE LOCAL, PETER ILIARONOVICH LYLOV

    349. Un crayon émail lilas, avec l'algorithme de chiffrement « M.a. » et la date de 1915
    350. Un cadre petit, vert clair pour des photos
    351. Un petit cadre en émail clair, pour les photos, ornée d'une guirlande de roses
    352. Un petit cadre bronze pour des photos avec une petite couronne de lauriers
    353. Une boîte de poudre petit en émail vert
    354. Un anneau d'or de mariage, pureté « 94 »
    355. Un hatpin en émaillé métal, avec, au Centre, une place vide pour une pierre
    356. Un médaillon en or avec une croix en or sur la partie supérieure
    357. Un médaillon semblable, mais un peu plus petit que le premier
    358. Une médaille d'or
    359. Un médaillon d'or. Sur un des côtés extérieures la date « 6 février 1875 ». À l'intérieur, sous verre, une mèche de cheveux blonds lumineux
    360. Le médaillon d'or
    361. "
    362. "
    363. « avec les dents
    364. Une petite croix de forme non orthodoxes, en or
    365. Une petite croix de forme non orthodoxes, en argent avec le Christ crucifié en relief
    366. Une petite croix orthodoxe en or
    367. Un petit collier d'or, transportant trois croix
    368. Une image ronde en argent dépeignant le Divin Sauveur
    369. L'image exactement de la même
    370. Quatre breloques petits
    371. Quatre bouteilles de cosmétiques
    372. Trois morceaux de savon à la glycérine
    373. Un atomiseur pulvérisateur
    374. Un parapluie moire soie blancs dans un fourreau de soie blancs. La pointe et la tête de la poignée est en ivoire, le point de jaspe vert foncé, rejoint à la tête par un anneau d'or avec deux couronnes d'argent
    375. Une ombrelle en soie noire. Le point est métallique avec la fin en argent torsadé
    376. Une ombrelle en toile de lin blanche
    377. Une bouteille vert avec un produit de la pharmacie Court
    378. Une petite bouteille de la médecine
    379. Un oeuf Porcelaine blanche sur un ruban de soie rose. Le carry de l'oeuf en or la lettre « N » et la Couronne impériale
    380. Une lampe
    381. Image de Saint Jean Baptiste, d'une grande taille
    382. Une petite broche noire sous la forme d'un bouton
    383.56 échevettes de soie à coudre de différentes couleurs
    384. Quatre jaunes d'aiguilles à tricoter bois
    385. Deux couette coussins
    386. Un coussin long et étroit, bien farci, en satin d'un côté, de chamois sur l'autre
    387.14 blanc serviettes de table avec des dessins et modèles ; chacun transportant sur le coin, l'initial « N » et la Couronne
    388. Une nappe blanche en lin
    389. Un corsage unsewn en lin et soie pistache
    390. Un corsage en très bonne soie, Rose, avec la dentelle bien fait grossièrement cousu avec du fil simple
    391. Robe de transport lilas d'une femme ; jupe et veste. Cette dernière bordée de soie blanche, avec col et poignets en velours lilas foncé et quatre boutons velours lilas
    392. Un corsage de soie de couleur vert sombre, ornée de dentelle noire sur les poignets et sur le dos
    393. Robe d'une femme anglaise, léger, gris clair ; veste et jupe, la veste en soie grise, bordée plié collier arrière, ornée de ruban gris rayé
    394. Un corsage en laine, avec deux poches sur le dos, les poignets doublés en soie grise rayée, à col de dentelle, fermée au dos par une cravate de soie grise
    395. Une jupe et un corsage en beau tissu gris, orné d'un ruban de soie gris avec design
    396. Une longue veste de lin blanc garni de soie blanche, un collier de dos plissé orné d'un ruban simple avec design
    397. Un costume en laine blanche, démonté et refait. Les bords conservent des traces de décoration antérieure
    398. Une veste longue en laine blanche, démonté et refait. Les bords conservent des traces de décoration antérieure
    399. Blouse une petite femme, fine, tissu de pigeon gorge gris
    400. Une jupe d'étoffe de laine fine, gris clair
    401. Une jupe et une blouse, en lin blanc avec incrustations
    402. Un petit chemisier de soie blanche avec incrustations, doublé en soie
    403. Une jupe blanche été, plissée
    404. Une jupe blanche en mousseline de soie. Il est unsewn
    405. Deux robes, plaine, en batiste de couleur foncée
    406. Un jupon chaude doublé en soie
    407. Un jupon de soie noire
    408. Un jupon de soie noire
    409. Un jupon en Batiste blanche
    410. Un jupon en Batiste blanche
    411. Un jupon en Batiste blanche
    412.
    413. Un corsage, noir, de lin, avec col haut et poignets courts
    414. Un costume léger, couleur gris étoffe fine, bleu, refaites
    415. Un chapeau de petite hiver en fourrure de loutre, avec une visière rigide, reconstitue et napeflap
    416. Chemise d'une femme, en lin, refaites
    417. Les parures du fond d'une chemise de womans, en soie
    418. La gaine d'un manteau en whith fine batiste
    419. Le haut refait d'une jupe en soie womans
    420. Une jupe où le dos a des petits plis
    421. Un morceau de soie blanche
    422. Un morceau de blanc « madapolam » [?]

     

     

    NOTE : 12/04/98. Sur votre page web, j'ai noté que l'article 422 est un morceau de « Madapolam ». Il s'agit d'un tissu de coton fine ordinaire encore utilisé pour recouvrir les ailes du planeur et les surfaces de l'avion légèrement chargé. Je suppose qu'il avait une utilisation avant l'utilisation massive sur les avions, et puisqu'il s'agit de haute résistance et de qualité, que je dirais qu'il peut avoir été utilisé pour la pratique de la couture de base ou même linge de lit. Espérons que cela aide.

    Jonathan Howes.

     

     

    423. Un corsage, blanc, en soie, où les côtes de corset ont été supprimées
    424. Un corsage, avec côtes de corsets, les parements unsewn
    425. Un corsage, soie, unsewn
    426. Un corsage, soie, poignets courts, mère de boutons de nacre
    427. Un blanc soie corsage, pas tout à fait resewn.
    428. ""
    429. Trois corset soie, bleu, Rose et crème
    430. Quatre corsages de mousseline
    431. Une camisole blanche, tricotée en soie, avec la mère de boutons de nacre
    432. Front de chemise d'une femme, blanche en laine tricoté
    433. Une écharpe blanche en gaze, où le milieu est recouvert de taches noires
    434. Trois voiles de gaze de soie, blanche avec des points noirs
    435. Un châle de soie, fin, de type oriental, à fond vert, jaune et Rose, avec un rouge de la frontière, jaune, bleu et pigeon gorge grise
    436. Le même châle avec fond jaune, avec un design rouge et vert
    437. Noir foulard en soie en peluche et frangée en peluche
    438. Une paire de bas de femme, noires, en soie
    439. Une paire de bas de femme, blanches, du fil scotch, pour la journée
    440. Un foulard en soie, étroit, de type oriental, avec fond rose
    441. Ceinture d'une femme, blanche, en soie, annulée
    442. Un rectangle de soie jaune, prêt à être coupé
    443. Deux bandes cousues, chacun avec des morceaux de fine soie blanche, avec des dessins bleus
    444. Un foulard de soie blancs avec franges
    445. La garniture d'une chemise en soie, lilas pâle
    446. Un rectangle de soie prêt à être coupé
    447. Plusieurs bobines de ruban moire, couleur bleu et de la gorge de pigeon
    448. Un morceau de toile jaune, sur lequel un dessin ou modèle a été préparé au crayon. La conception a été démarrée avec de la laine colorée
    450. Une couleur de couverture soie, sable, clair, garni de fourrure de loutre et doublées de soie pistaches.
    451. Le revêtement d'un coussin de divan, en soie
    452. Une couette en tissu blanc
    453. Pantoufles de femme chambre, avec lacets, en cuir suédé
    454. Un lit sham avec incrustations et de tresses, de couleur foncée et ornée de dentelle
    455. Une taie d'oreiller en tissu en lin, coarsly cousue avec différents threads
    456. Un chandail de laine, de couleur brune
    457. Chemise d'un homme blanc, pli dans le dos
    458. Chemise un homme avec des rayures brunes

    459. Le bas en bas de laine peluche, de couleur grisâtre.

     460. Veste un homme, gris à bandes noires
    461. Lit factice, avec incrustations et dentelles ordinaires de travail grossier, fait d'un drap.

      

      

    SOURCES :

    http://www.microsofttranslator.com/bv.aspx?from=&to=fr&a=

    http%3A%2F%2Fwww.alexanderpalace.org%2Fpalace%2Fyelist.html

      

      

      

     

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    certains rouleaux de Kodak film ont été trouvés

    dans les poêles de la maison Popov

      

    La force de garde de Tobolsk était composée d'hommes des régiments de fusiliers de la garde 1er, 2e et 4e.

      

    Le fusil de gardes Brigade se composait de 4 régiments de fusiliers de la garde numérotés de 1 à 4 chaque 2 bataillons.

      

    Dans le livre « Nicolas et Alexandra ils appellent leurs « tireur d'élite gardes régiments. Je crois que les termes Sharpshooter et fusil/carabinier sont à peu près la même chose dans certaines armées européennes.

      

    Il faut faire souvenir à l'ordre numéro 1, qui a détruit la disicpline dans l'armée russe, le Colonel Kobylivsky n'avaient pas de contrôle sur ses troupes.

      

    C'était une réunion du Conseil des hommes du 2e régiment de fusiliers qui interdisent les officiers portent des épaulettes et pogani soldats.

      

    Je crois que c'était en février 1918 est quand Nicholas a été obligé d'arrêter son port.

      

    N'importe quelle photo en plein air de lui au cours de cette période avec lui qui les portaient donc avant cette date.

     


     

      

    la peinture de Yakovlev avec NAM. Je crois que j'ai lu quelque part que Alexandra et maria ont été usure agneau manteaux au cours de ce voyage.

      

    Aussi, on dirait que c'est maria portant un collier de perles ? et un chapeau de brimed. Je ne pense pas était coiffures vraiment convenable pour le voyage, qu'elle a traversé tout.

      

      

    Maria aussi je crois est sur la même hauteur que ses parents 5'7 "à cette époque.
     1er homme de photo sur l'extrême droite portant une épée est vêtue d'une tunique « Française » qui était populaire avec les officiers de l'armée russe pendant le WW je.

      

    Donc je pense qu'il est un officier.
     que le soldat avec l'épée est très probablement un officier, il semble qu'il est vêtu d'épaulettes.


    Voir le livre « L'armée russe 1914-1918 » Nik Cornish par balbuzard pour les détails d'uniforme et de l'organisation de l'armée russe

     

     

     These three photos have been chasing each other in my files for a long time. I finally have them together and thought they would be interesting to post. It's three photos of the GD's room at Tobolsk when they were three....the visible beds are Anastasia and Marie's...Olga and Tatiana's being opposite. I 'm posting the photos as a pan from left to right.

      

    Of course that is Anastasia at the table in the first one. It's touching how they tried to recreate AP here . Who wouldn't love to see clearly the photos on the walls ? In the last one we see what appears to be identical jackets on the chairs

     



     

      

    Sarushka's mention of Trewin's book made me look it up ( thank you! ) and the photo of the girl's room it has pans even more to the right than the ones I posted....shows the door way ... So I include it here .

      

    The Imperial eagle is on one of the pillows...plus a scan of the whole photo in the book



     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     



    In the first photo, Nicholas's servant, Zhuravski, Prince D. AN , NA II and guard. Not sure what's going on in the 2nd photo...but there's the Tsar looking on ...also the recent post done on the scanner....I now see a GD behind Nicholas as well....so on either side of the shed...imo

     

     

     

     

     

     

      Re Reply # 287: As for the servant Zhuravski, he is identified twice in the Lyons' book on pp. 210 and 211. In both cases he is dressed the same (Russian shirt) and has no facial hair/glasses. He is specifically identified in photo # 139 as standing on the side of the Grand Duchess AN ("On either side of Anastasia, Prince Dolgoruki (wearing a cap) and Zhuravski." While I am not terribly conversant with the servant Zhuravski, I AM certain that Prince Dolgoruki IS correctly identified, thus I trust that then Zhuravski is correctly identified by virture of specific location (with Dolgoruki and Zhuravski on EITHER side of AN, not both on the SAME side, as it would be if you indicate the man with the axe) within the group and being named/identified as such in two different photos.
    For comparasion, have you other positively identified photos of "Zhuravski" wearing a beard/glasses and dressed "in a suit" that (he) "seemed to always wear"? Also you will note that OTHER palace servants are indicated in the "wood-cutting party" photo, which could potentially include the man with the axe.
    Regards, AP.

     

    My understanding is the man in the suit with an axe on AN's right side is Zhuravski . I've seen it elsewhere and can't remember now where ( of course, just when I need to) But my main point is that man doesn't seem to be the same fellow as the man in the 2nd photo I posted with NA even though both are identified in Lyon's book as Zhuravski ....in truth either one could be Zhuravski. My point is they don't look like the same man to me . One has glasses and a beard...the other has no glasses and just a mustache. How Prince Dolgoruki got into this discussion I'm not sure...of course that is Count Fredrick's stepson, Prince Dolgoruki next to and slightly behind AN. I called him Prince D. in my first post . Are you saying because the book is right about the Prince, it can't be wrong about Zhuravski? That's an interesting approach to photo captions ! lol! =)

     

     Re Post # 289: Hello, again! You write: "My understanding is that the man in the suit.......is Zhuravski." "Understanding" based on what, specifically? Hopefully, you will soon be able to recall the source of your "understanding," as I would be interested, and would gladly stand corrected based upon proven documentation.
    I most definitely agree that the "man in the suit" is NOT the man pictured in the photo of the Emperor and the man that Marvin Lyons identifies (twice) as the servant "Zhuravski." Please refer to your post and look at the first and second photos of the individual labelled " Zhuravski." The features of the face (ie. nose, hairline, etc., and as to a "moustache" in the second photo, I believe it to be a shadow), IMO are the same, with the photos taken perhaps minutes/hours apart. Not at all like the "Axeman," who is NOT identified by name.
    Until positive, labeled, and source-documented photo/photos are produced on behalf of the "Axeman" being "Zhuravski," then in the clear absence of such, IMO Lyons has identified the servant Zhuarvsiki two separate times. Again, I would note that Lyons clearly states that Prince Dolgoruki and Zhuravski individually flank the GD AN on EITHER side (of her). If you were to consider "The Axeman" as truly "Zhuravski," then BOTH he and Prince Dolgoruki are on the SAME side of her, ie. to her right, NOT on EITHER side. (This, by the way, is "How Prince Dolgoruki got into this conversation....," as a pivotal placement-marker, if you will.) Consequently, I look forward to your (or others) posting/s of pictures documented as "Zhuravski," so that correct comparasions can truly be drawn.
    Many thanks for your observations/opinions! AP.

     

     

     

     

     

     

     

    Here is a photo that could be taken at that time or near it. In the book, The Romanovs Love power and Tragedy, on page 299 this photo appears. It identifies the sailor as Nagorny, which makes sense. It seems Nicholas is checking to see if the garden bed he dug is straight....Nagorny has string in his hands and string was used in the earlier photo. The book identifies the man behind N II as Prince Dolgorukov....since the man has a sword, and is therefore armed, I'm not sure. Countess Hendrikova is in the background looking for something it seems . We see her in the same outfit speaking with Olga in the garden resting photo with Olga, Alexis Anastasia and Tatiana
     
       

     

     

     

     

     

    I'm sure this had been noticed and discussed before but, while looking at a photo of the Tsar and Gillard ( it was his turn! ) cutting wood in Tobolsk, , I noticed a figure on the balcony above the main entrance . Seems like a GD going inside, who is glancing at the scene below as she does

     

      Hello, "nena"! I think the photo to which you refer (of the Emperor in a robe being shown sitting near a bed in a wheel-chair) is illustrated as the final photo in Marvin Lyons' book, "Nicholas II, The Last Tsar," St. Martin's Press, New York, NY, USA, 1974. It is on unnumbered page 217 and as numbered illustration # 356, but oddly it does not have a description (thus no location is given). The "Picture Sources" on page # 224 give credit to an "E. Uhlenhuth", potentially from the collection of "Princess Eugenie of Greece."
     

      

    Interestingly, in close proximity to # 356, this "Uhlenhuth" is also given credit to illustration # 354, "One of the guards" at Tobolsk, as well as #352, "Tatiana and an unidentified child," again at Tobolsk.
    As to the location shown in the interior photograph of the Emperor in the wheelchair, I am not conversant enough with the different wall-papers, curtains, etc. of the various locations in which the Emperor would have been, to comment further. Regards, AP.

     

     

     

     

     

    aAfkjfp01fo1i-15934/loc117/221129450_IMG3b_122_117lo.jpg

    Olga et le Tsar Nicolas, en train de couper du bois à Tobolsk.
    Par Peter Kurth livre « Tsar » 

     

    NICOLAS et ALEXANDRA 

    Prise à Tsarskoïe Selo, au printemps et l'été de 1917  

     

     

    Here is the famous photo nena speaks of showing Alix and the Big Pair on the balcony. Note the parasol.
    This is the best copy of it I have seen. It was doctored pretty heavy early on . The girls are fairly bald still
    as they are wearing tight head scarfs


    To me the guard appears both armed and at attention.

    The weather stayed warm a long time that year. 

      

      

      

      

      

     

      

     

    http://forum.alexanderpalace.org/index.php?topic=1251.375

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Trésor de la famille Narichkine découvert à Saint Petersbourg

     

    Un trésor a été découvert lors des travaux de restauration d’un l’hôtel particulier du 18 siècle, rue Tchaïkovski, à Saint-Pétersbourg. La famille aristocratique Narychkine-Troubetskoï, propriétaire de l’hôtel, a quitté la Russie après la révolution Bolchevik, en novembre 1917.

     

     

    Le porte parole de la société Intarsi chargée de la restauration de ce manoir a annoncé la découverte du trésor le 19 mars.

    Ces objets étaient dissimulés dans une petite pièce secrète située sous un plancher entre le deuxième et le troisième étages du bâtiment. Les objets avaient été enveloppés dans du papier et des journaux datant de mars, juin, août et septembre 1917.

     

     

    Ce trésors se compose de services de table d’apparat , en argent massif, vermeil provenant des plus grands orfèvres de la moitié du XIX° et du début du XX°, comme Sassikov, Ovchenikov, Khlebnikov, les Frères Grachev et Fabergé (Сазиков, Овчинников, Хлебников, братья Грачевы, Фаберже).

     

     

    Soit près de 2 168 objets comprenant 4 services complets pour divers occasions ( service de table, à café, à déssert) fin XIX° et début XX°. Le tout se trouvait dans des sacs en tissu, emballé dans du papier et des journaux datés de mars juin aout et septembre 1917, imbibé de vinaigre permettant un état de conservation parfait , prêt à être dressé sur une table.

     

    Soupière aux armoiries de la famille Narichkine

    Une autre partie de ce trésor se trouvait dans des écrins en bois à tiroirs pour les couverts, l’ensemble également imbibé de vinaigre. Sur beaucoup d’objets se trouvent les armes de la famille Narichkine,objets fabriqués par les meilleurs ateliers d’orfévreries et de bijoutiers russes du milieu du XIX.

     

     

    On a trouvé des plats caractéristiques de Fabergé, salières, quelques bijoux pascals sur une chaine en sautoir et une montre.

     

    Le vaisselle de table est en argent et en vermeil, les couteaux sont français à manche de perles et porcelaine peinte dans les écrins à tiroirs. Se trouvent également des objets aux armes impériales, des décorations : St Vladimir avec épées, des médailles en souvenir du 300° anniversaire de la Maison des Romanov et une médaille du 100° anniversaire de la guerre de 1812 ainsi qu’une décoration de l’ordre de la Serbie et du Monténegro.

    Il n’est pas rare de découvrir à l’occasion de restauration ou de transformation des objets qui furent cachés dans les murs d’appartements au moment de la Révolution de 1917.

    Il y a une dizaines d’années, l’on a découvert une pièce murée dans laquelle le propriétaires avait installé, dans l’espoir de revenir: de la nourriture, du tabac, des allumettes des bougies des livres et un modeste mobilier. A la suite de cette découverte beaucoup de propriétaires de logement se sont mis à fouiller: les murs, les plafond et les planchers à la recherche de trésors.

    La cache du fabuleux trésor Narichkine.

    Pour Intarsi ce n’est pas la première fois que l’on fait des découvertes lors de restauration à Saint Petersbourg durant ces 20 dernieres années, souvent lors de restaurations l’on découvre des choses étonnantes. Quelques œuvres artistiques ont une certaine valeurs d’autres seulement culturelle. Le trésor Narichkine est une découverte comme jamais nous n’en avons eue, déclare M. Novikov porte parole de la société. L’on a découvert lors de la restauration de l’Arc de Triomphe une étonnante collection de 5000 fume cigarettes représentant une valeur culturelle. Lors de travaux aux Griffons au Pont de la Banque l’on a découvert 1860 pièces de monnaies anciennes, dans un hôtel particulier sur la Moïka 122 pièces de monnaies sous le plancher, et sous un couche de plâtre des fresques et des panneaux décoratifs de sgraffites( techniques de finitions décoratives).

    Certains particuliers inventeurs de trésor ne dirent mot !

    Toutes les hypothèses sont envisagées pour le placement de ce trésor , soit au Palais Constantin ou directement au manoir Narichkine ou dans un musée comme l’Ermitage ou le musée de Pavlosk ou ailleurs, en attendant la fin des investigations du gouvernement, des experts, des fonctionnaires et bien sûr des propriétaires, s’il y en a ?

    Un des représentants de la famille Narichkine, Piotr Narichkine, âgé de 65 ans, vit en Afrique du Sud. Il n’exclut pas être un prétendant pour hériter du trésor familial à Saint Petersbourg. Mais il n’est pas le seul descendant de la famille Narichkine !

    Le musée de l’Ermitage souhaite obtenir ce trésor ainsi que le musée de Pavlosk.

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     Mythe autour d'Anastasia et Alexis

     
     
     
     
      
      
      
    Naissance du mythe ROMANOV:

    Le 17 Juillet 1918, l’assassinat de la famille impériale Romanov (avec leur suite, soit 11 personnes) par des soldats bolchéviques marque la fin d’une dynastie qui aura régné de 1613 à 1917 et le début de l’ère communiste qui va durer 80 ans.

    Cet événement majeur dans l’histoire moderne est également un drame familial qui a marqué les esprits. Les incertitudes et les zones d’ombre sur les circonstances exactes de l’exécution de la famille du dernier Tsar de Russie ont longtemps suscité de multiples interrogations et controverses quant à la survie de certains membres de la famille.

      
    Selon les déclarations du peloton d’exécution, les corps de la famille impériale et des membres de leur suite ont été rendus méconnaissables et enterrés dans la forêt d’Ekaterinbourg. Hormis ce témoignage, il n’existe aucune preuve alors du massacre de la totalité des Romanov. La destruction des corps crée des doutes sur leur identité d’autant qu’officiellement, seul le Tsar a été tué, sa famille aurait été évacuée vers l’Allemagne dont est originaire la Tsarine Alexandra, cousine du Kaiser Guillaume II.

    Cette hypothèse est plausible pour des raisons politiques. En effet, si les soviétiques ne peuvent laisser en vie le Tsar et vraisemblablement son héritier le Tsarevitch Alexeï sous peine de mettre en péril le nouveau pouvoir communiste, la Tsarine et ses filles vivantes peuvent servir de monnaie d’échange, pour mettre fin à la guerre entre la Russie et l’Allemagne.

    Selon certaines thèses, elles auraient bénéficié de la complicité et de la protection de leur famille dans toute l’Europe. Séparées pour ne pas éveiller les soupçons, elles vivraient sous de fausses identités, dans la crainte de représailles communistes. L’Impératrice se serait réfugiée dans un couvent en Italie, jusqu’à sa mort en 1942. Olga aurait vécu sous le nom d'emprunt Marga Boodts et meurt en 1976 en Italie, sans aucune descendance, Maria aurait épousé le prince Nicolas Dolgorouky en Roumanie, elle a laissé un testament à l’attention de ses enfants affirmant son identité, Tatiana aurait été évacuée vers l'Angleterre et aurait pris le nom de Marguerite Lindsay, on perd ensuite sa trace.

     
      
    Quant à Anastasia, une véritable énigme l’entoure. Selon une hypothèse, Anastasia aurait survécu au massacre grâce aux bijoux et aux diamants cousus dans sa robe, qui auraient fait ricocher les balles sans la toucher. Un soldat aurait certifié qu'il manquait un corps avant de les enterrer et qu’Anastasia aurait survécu, les soldats n’ayant pas vérifié si elle était morte. Le mystère commence avec la non-vérification de la mort d'Anastasia.

    Des dizaines de femmes ont prétendu être Anastasia la dernière fille de Nicolas II. Une seule sera reconnue par une grande partie de l'aristocratie russe, «Anna Anderson», découverte dans un asile psychiatrique allemand en 1922, morte aux Etats-Unis en 1984, à l'âge de 83 ans. Certains proches de la famille Romanov la reconnaissent alors que d’autres certifient qu’elle ne peut-être la grande duchesse. Elle connaît des détails troublants sur la famille impériale mais ne semble pas parler russe, un graphologue atteste que son écriture et celle d’Anastasia sont identiques, certains enquêteurs affirment qu’elle a été manipulée par des escrocs afin de capter l’héritage Romanov.
      
     
     
    Anna Anderson
      
      
    En 1938, ses avocats entament un procès pour la faire reconnaître officiellement. En 1970, le dernier verdict tombe: on ne peut ni confirmer ni infirmer son identité. Le doute et l’incertitude subsistent alors et il faudra attendre les récents tests ADN pour avoir la preuve qu’Anna Anderson ne pouvait pas être Anastasia ni aucun membre de la famille Romanov.


    Nicolas II
      
      
      
      
      
    Des photographies de Filatov devenu professeur de géographie soviétique, hémophile lui aussi, frappent par leur ressemblance avec le Tsarevitch. De plus, Filatov connaissait beaucoup de détails précis et anecdotes sur la famille impériale, et parlait plusieurs langues étrangères alors qu’il était fils de cordonnier et issu d’un tout petit village. Mystérieux Filatov qui sous-entend à ses enfants qu’il est le Tsarevitch, mais sans jamais rien affirmer ou revendiquer.


    La présence de Raspoutine dans la vie du fils du Tsar contribue au mythe. Raspoutine qui, lors d’une transe, avait prévu la naissance d'un héritier au trône. Alexeï est atteint d'une maladie que la médecine de l'époque soigne avec de l’aspirine, alors que son pouvoir anticoagulant accentue l’hémophilie dont il souffre et qui lui provoque des douleurs intenses, des maux de têtes et des accès de fièvre. La maladie de son fils déclenche chez la Tsarine un mysticisme dont profite Raspoutine qui apparaît comme le seul à pouvoir guérir miraculeusement à plusieurs reprises le jeune prince.

     

      
      
    La fin du mythe ?

    En 1979, deux chercheurs découvrent les restes supposés de la Famille impériale dans une fosse se situant à proximité d'Ekaterinbourg. En 1991 : exhumation officielle des restes retrouvés en 1979. Neuf corps sont ainsi retrouvés, alors que onze personnes ont été assassinées. Après de nombreuses expertises, les chercheurs découvrent que ces corps sont bien ceux des Romanov et de leurs derniers domestiques, mais que de deux des enfants ne s'y trouvent pas, à savoir le Tsarévitch Alexis et la Grande-Duchesse Maria, ce qui relance le mythe.


    En 1998 : Inhumation des corps de Nicolas IIOlga, Tatiana et Anastasia), dans la Cathédrale Pierre-et-Paul de Saint-Pétersbourg ; en 2000, l'Eglise orthodoxe de Russie canonise le tsar et sa famille en les élevant au rang de martyrs, rajoutant une dimension religieuse au destin de cette famille.


    En 2007, on découvre des restes humains dans les alentours d'Ekaterinbourg. En 2008, ils sont identifiés comme étant ceux de Maria et d'Alexis, les deux enfants manquants ; la Cour suprême de Russie réhabilite les Romanov en tant que victimes des répressions bolchéviques. Cette réhabilitation clôt en principe le dossier Romanov.

    Malgré les résultats scientifiques qui ont prouvé que tous les Romanov ont bien été tués en juillet 1918, certains historiens mettent en doute les résultats ADN comme une preuve absolue et pensent à une manipulation du gouvernement. Le mythe est toujours alimenté, un livre paru en 2009, L'autre fin des Romanov" par Elie Durel, cherche à démontrer que tous les Romanov n'ont pas été tués en 1918 et que Maria, la troisième fille Romanov, serait la clef de cette énigme. En effet, seule survivante de sa famille, elle serait devenue la mystérieuse épouse du juge Sokolov qui a établi le premier rapport sur l’évènement. Nouvelle et sans doute pas dernière thèse sur le sujet.

    En dépit de l'authentification officielle de tous les corps de la famille Impériale, nombreux sont ceux qui croient en la survie des femmes de la famille Romanov. Selon une enquête, près de deux russes sur trois ne pensent pas que les restes inhumés dans la Cathédrale de Saint-Pétersbourg soient ceux des Romanov.

    En 1977, à Ekaterinburg, la maison Ipatiev où fut assassinée la famille impériale fut rasée, le gouvernement soviétique de l’époque voyant d’un mauvais œil la ferveur des nombreux pèlerins venant prier et honorer le culte des Romanov.

      
      
      
      
    Alors qu’en 2011, un monument érigé près d’Ekaterinbourg à la mémoire des enfants martyrs représente les cinq enfants impériaux (Olga, Tatiana, Maria, Anastasia et Alexeï) descendant du paradis. Un autre monument est dédié la même année au Tsar Nicolas II de Russie et à son épouse. Ces monuments renforcent l’aura du mythe Romanov et attestent de l’attachement des Russes encore aujourd’hui à cette famille au destin tragique dont on croit encore aujourd’hui à la malédiction, près de la moitié des Tsars qui se sont succédés à la tête de la Russie ayant été assassinés.
     
      
     

     

    Sur les terres du domaine du monastère de Ganina Yama près d’Iekaterinbourg, un momunent représentant les cinq enfants du tsar Nicolas II et de la tsarine Alexandra de Russie a été inauguré. Les statues à l’effigie des grandes-duchesses Maria, Olga, Tatiana et Anastasia ainsi que le tsarévitch Alexis, ont été réalisées par le sculpteur Igor Akimov et bénies par le Métropolitain de Iekaterinbourg. (merci à Corentine – Copyright photos et source : Royal Russia)

     

      
    Drames, malédiction, mystères, énigmes, légendes, vérités et mensonges, croyances, imagination, questions sans réponses, incertitudes, désinformation, incompréhension, doutes, rumeurs, personnages extraordinaires : autant d’éléments qui construisent un mythe à partir d’un évènement réel, récit transmis de génération en génération entretenu par la mémoire collective.
     
      
      
      
    Sources: stephane.thomas.pagesperso-orange.fr
    et l'excellent BLOG
    http://familleromanov.blogspot.fr/
     
      
      
      
    La cathédrale –sur-le-sang-versé

    Elle est construite sur l’emplacement de la maison d’Ipatiev à Ekaterinbourg où a eu lieu l’assassinat du tsar et de sa famille. La maison a été rasée en 1975 sur ordre du K.G.B. car elle était devenue un lieu de pèlerinage à la mémoire des Romanov.

     

    La cathédrale construite en 2002, reproduit dans la chapelle du bas, la petite pièce où a eu lieu l’assassinat.

     

     

      
      
      
     

     

     

      
     
     

     

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    La fabuleuse histoire des OEUFS DE FABERGE

    offert par le TSAR Nicolas II à

    son Epouse  l'Impératrice Alexandra Feodorovna

      

    Etant fascinée par LES OEUFS DE FABERGE , ces créations de joaillerie hors du commun, j'ai fait des recherches afin de vous détailler l'histoire de chaque oeuf pour y déceler tous les secrets de leur beauté et la génèse de leur création.

     

      

    aprés LES OEUFS DE FABERGE , offert par le TSAR Alexandre III à sa femme, la TSARINE Maria Feodorovna , ceux offert par le TSAR Nicolas II à sa mère, l'Impératrice douairière Maria Feodorovna

      

     
     

     

     
    O primeiro ovo Fabergé
     

      

    voici ceux offert par le TSAR Nicolas II, Empereur de RUSSIE à sa femme l'Impératrice Alexandra Feodorovna :

    • L’Œuf à la rose, de 1895. Orfèvre M. Perchin. (Fondation Viktor VEKSELBERG, MOSCOU, RUSSIE)
    •  
    http://www.mieks.com/img/1895Rosebud.jpg
      
    Le TSAR ALEXANDRE III est décédé le 20 Octobre 1894. Son fils, le TSAR NICOLAS II monte sur le trône et la commande d'un œuf de Pâques a dû être prise d'urgence pour la nouvelle Impératrice ALEXANDRA FEODOROVNA qu'il avait épousée le 14 Novembre, à peine quelques semaines après la mort de son père.
     
    http://www.treasuresofimperialrussia.com/images/rosebud_inset.jpg
      
    En ALLEMAGNE, le pays natal de la TSARINE Alexandra Feodorovna, le jaune est considéré comme la couleur la plus noble et la plus digne pour une rose, la rose d'or !
    PETER-KARL FABERGE a donc considéré que c'était tout à fait approprié pour le 1er oeuf de la femme du TSAR NICOLAS II.
     
    http://home.btconnect.com/hungerfordarcade/images/faberge_rosebud_egg.jpg
    L'oeuf s'ouvrait pour révéler un bouton de rose jaune articulé. A l'origine, le bourgeon s'ouvrait à son tour et contenait deux surprises minuscules : une réplique miniature de la couronne impériale représentant la nouvelle vie de la TSARINE et un pendentif de rubis, aujourd'hui disparus.
     
     
    http://artseverydayliving.com/blog/wp-content/uploads/2011/09/Faberge-Engagement_of_Alexandra_and_Nicholas.jpg
    La rose d'or est aussi, un symbole de l'amour entre époux.
     
    http://www.mieks.com/img/1895Rosebud.jpg
    Pour la jeune femme qui avait, un peu le mal du pays de sa jeunesse, l'oeuf a été, aussi, un rappel de son pays natal, l'ALLEMAGNE, où la rose jaune est la couleur la plus prisée !
     
     
    http://media-cache7.pinterest.com/upload/133559945168741113_vvS7Xn6O_f.jpg
    • L’Œuf au carosse du couronnement, de 1897. Orfèvre M. Perchin.
    • (Fondation Viktor VEKSELBERG, MOSCOU, RUSSIE)
    •  
    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/15/fab15a.jpg
      
    C'est le plus populaire de tous les œufs de FABERGE. 
    Cet oeuf d'or émaillé jaune citron dont le dessin rappelle la robe portée par l'Impératrice Alexandra lors son couronnement.
     
    http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/c2/Coronation_of_Nicholas_II.jpg/310px-Coronation_of_Nicholas_II.jpg
    L'oeuf a été acheté 5650 roubles par le TSAR NICOLAS II.
     
    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/15/fab15b.jpg
      
    Le TSAR NICOLAS II aimait le faste et le rituel de la vie militaire.
     Le 9 mai 1896, le TSAR NICOLAS II et la TSARINE ALEXANDRA furent couronnés dans la cathédrale OUSPANSKI à MOSCOU et ce fut, l'une des cérémonies les plus magnifiques de l'histoire russe. 
    Rassemblant plus de sept mille invités venus du monde entier, y compris la plupart de la royauté d'Europe, les célébrations durèrent deux semaines. 
    Pour commémorer l'événement, la MAISON FABERGE imagina l'oeuf le plus gros et le plus luxueux jamais vu auparavant.
     

    Pour rendre cet œuf encore plus magnifique, FABERGE inventa un extraordinaire joyau "surprise" installé à l'intérieur de compartiments de velours doublés:

    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/15/fab15c.jpg

     

    Une réplique précise (moins de quatre pouces de long) du carosse du XVIIIème siècle, conçu pour l'arrière grand mère du TSAR NICOLAS II, CATHERINE LA GRANDE en 1793.

    Ce carosse servi à transporter l'Impératrice lors de son couronnement à la cathédrale OUSPENSKI à MOSCOU.

    Cette réplique demanda, environ 15 mois de travail acharné pour être terminée, juste à temps, pour être offert l'Impératrice ALEXANDRA.

    http://www.faberge-exhibition.com/images/coachegg2.jpg

    Cet oeuf semble être celui que la TSARINE Alexandra Feodorovna a le moins aimé car il lui rappelait de mauvais souvenirs du couronnement. En effet, les fêtes avaient été endeuillées par le massacre de KHODINKA, où des centaines de paysans, avaient été mortellement écrasés lors d'une émeute, en venant chercher la nourriture offerte par le TSAR.

    En Mars 1979, Malcolm FORBES avait acheté cet oeuf pour 2 160 000 dollars !

    http://www.mieks.com/img/sForbes11.jpg

    • L’Œuf au muguet, de 1898. Orfèvre M. Perchin. (Fondation Viktor VEKSELBERG, MOSCOU, RUSSIE)
     
    PETER-KARL FABERGE se faisait un point d'honneur de connaître, parfaitement, la vie privée de ses clients les plus importants. 
    Il savait que le rose était la couleur préférée de l'Impératrice Alexandra Feodorovna et le muguet, sa fleur préférée.
    Chaque printemps, la TSARINE Alexandra remplissait les chambres des palais de beaux bouquets de muguets. 
    Les perles étaient ses bijoux préférés.
    De sorte que la combinaison du rose, du muguet et des perles avait ravi l'Impératrice.
    Cet oeuf est un des rares exécutés dans le style Art Nouveau, dont l'Impératrice raffolait.
     
      
    Au sommet de l'œuf se trouvait une réplique minuscule de la couronne impériale. En appuyant légèrement sur elle l'oeuf s'ouvrait, libérant "la surprise" : trois miniatures ovales minuscules peintes par Johannes ZEHNGRAF représentant les portraits du TSAR NICOLAS II et de ses deux premièrs filles, les Grandes-Duchesses OLGA et TATIANA.
     
    • L’Œuf aux lys, de 1899. Orfèvre M. Perchin.(Musée du KREMLIN, MOSCOU)
      
      
    Cet Œuf aux lys qui est une horloge de table utilise le langage des fleurs :
    Les roses (symbole de l'amour), les fleurs de lys de la Madonne (symbole de pureté et d'innocence) le tout, représentant l'amour vertueux de la famille.
    La surprise contenue à l'intérieur de cet oeuf a disparue, il s'agissait d'un pendentif en diamant et rubis.
      
     
    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/19/fab19b.jpg
    • L’Œuf au Transsiberien, de 1900. Orfèvre M. Perchin.(Musée du KREMLIN, MOSCOU)
      
    En 1900, le chemin de fer qui relierait la Russie d'Europe avec la côte du Pacifique était presque terminé, un exploit dont le TSAR NICOLAS II tirait une grande satisfaction pour l'essor de la RUSSIE.
    FABERGE eu l'idée de concevoir un oeuf, particulièrement, ingénieux pour célébrer l'événement.
     
    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/21/fab21b.jpg
     
    A l'intérieur de l'oeuf se cachait, plié en trois sections, un modèle miniature du "Trans-Siberian Express" (un pied de long !).
    Ce train se composait d'une locomotive en or et platine, de cinq wagons en or avec des fenêtres de cristal de roche.
     
      
    Les phares étaient des diamants et les feux arrière des rubis.
    Les trois parties pouvaient être reliées, entre elles, pour former un train dont on pouvait remonter le mécanisme, à l'aide d'une clé en or, pour le faire fonctionner.
     Les wagons étaient étiquetés individuellement "mail", "pour dames seulement", "non fumeurs". Il y avait une voiture restaurant et la dernière voiture était désignée "chapelle", semblable au train impérial.
     
    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/21/fab21a.jpg
    • L'oeuf au panier de fleurs, de 1901. (Collection de SA MAJESTE LA REINE ELISABETH II D'ANGLETERRE)
    L'oeuf au panier de fleurs, également connu sous le nom de l'oeuf au panier de fleurs sauvages est fait d'argent, d'émail blanc et bleu foncé, de diamants, et d'émaux multicolores opaques pour les représenter les fleurs !
     
    • L’Œuf aux trèfles, de 1902. Orfèvre M. Perchin (Musée du Manège Militaire du KREMLIN, MOSCOU)
    •  
      
    L'oeuf aux feuilles de trèfles représente le symbole de l'heureux mariage du TSAR NICOLAS II et d'ALEXANDRA FEODOROVNA.
     
    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/25/fab25b.jpg
     
    En 1902, la fabrication de l'émail transparent est une toute nouvelle méthode appliquée à l'art de la joaillerie. Cet émail transparent fut trés difficile à créer et le travail de l'artiste est parfait, il n'y a aucune fissures ou bulles ! Cet oeuf est considéré comme un des plus beaux exemples de l'art du joailler FABERGE dans le monde entier !
     
    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/25/fab25c.jpg
    • L’Œuf de Pierre le Grand, de 1903. Orfèvre M. Perchin (Collection L. T. Pratt, Virginia Museum of fine Arts, RICHMOND, VIRGINIE, USA)
    •  

    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/27/fab27a.jpg

    Dans un somptueux style ROCOCO, cet Oeuf Pierre le Grand a célébré le bicentenaire de la fondation de SAINT PETERSBOURG en 1703.
      
    Des rubans d'émail blanc encerclent l'oeuf avec les inscriptions suivantes :
    "Le TSAR Pierre le grand, né en 1672, a fondé Saint-Pétersbourg en 1703 "
     
    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/27/fab27b.jpg
    "La première petite maison du TSAR Pierre le grand en 1703"
     
    voir l'image en grand

    "Le TSAR Nicolas II, né en 1868, monta sur le trône en 1894 "

     

    peter3

    "Le Palais d'hiver de sa majesté impériale en 1903"
     
    peter7
      
    A l'ouverture de l'oeuf, un mécanisme intérieur déclenche l'apparition d'une miniature en or représentant la statue équestre de Pierre le Grand créée par le sculpteur français Maurice FALCONET.
    Cette statue équestre de Pierre le Grand, érigée face à la NEVA à SAINT PETERSBOURG évoque l'éminent réformateur de la RUSSIE.
     
    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/27/fab27d.jpg
    • L’Œuf à la cathédrale USPENSKY de 1906, signé FABERGE. (Musée du KREMLIN, MOSCOU, RUSSIE)

    http://2.bp.blogspot.com/-fuPqbJICdfI/T4E7i_m2udI/AAAAAAAAALE/DPGUiI_U7Mw/s1600/Imperial+Faberge+Egg+-+Moscow+Kremlin+Egg.jpg

    C'est le plus "monumental" des oeufs FABERGE. Ce modèle élégant a été inspiré par l'architecture de la cathédrale de l'Assomption (USPENSKY) dans le KREMLIN de MOSCOU. Il commémore le retour à MOSCOU du couple impérial en 1903.

     

      
    La surprise, une boite à musique dont la clé en or se trouve à la base de l'oeuf, joue "IJE KHVERUVINY" qui était un des hymnes favoris du TSAR NICOLAS II.

    • L’Œuf au treillis de roses de 1907. (Walters Art Gallery de BALTIMORE, MARYLAND, USA)
      
    Cet oeuf doit son nom en référence aux croisillons de diamants l'entourant.
    La surprise contenue à l'intérieur de l'oeuf, était une chaine de diamants où était suspendue une aquarelle miniature du TSAREVITCH ALEXIS peinte sur ivoire.
     
    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/35/fab35a.jpg
    • L’Œuf au palais d’Alexandre de 1908. Orfèvre H. Wigstrôm. (Musée Manège Militaire du KREMLIN, MOSCOU, RUSSIE)
      http://www.antique-jewelry-investor.com/images/favorite-faberge-egg.jpg
    Cet œuf, sculpté dans de la néphrite (sorte de jade) de Sibérie célèbre les cinq enfants du TSAR NICOLAS II.
    Il est orné d'aquarelles miniatures des enfants de l'empereur NICOLAS II. Au verso de chaque portrait ovale est gravé la date de naissance de l'enfant :
     
    http://artseverydayliving.com/blog/wp-content/uploads/2011/09/Romanov-girls.jpg
    OLGA : 3 novembre 1895
    TATIANA : 29 mai 1897
    MARIA : 14 juin 1899
    ANASTASIA : 5 juin 1901
    http://artseverydayliving.com/blog/wp-content/uploads/2011/09/Alexei_Nikolaevich_Tsarevich_of_Russia_02.jpg
    ALEXEI : 30 juillet 1904
    http://www.mieks.com/img/1908alexopen.jpg
    Lors de l'ouverture, l'œuf révèle une minuscule réplique détaillée du PALAIS ALEXANDRE, résidence favorite de la famille impériale à TSARKOIE SELO et ses jardins contigus.
    Construit en 1769 par la Grande CATHERINE, le palais devint plus tard la résidence principale du TSAR NICOLAS et de sa famille.
    http://www.alexanderpalace.org/palace/img/maplecouch.jpg
    Sur la facture de FABERGE, on peut lire "oeuf de néphrite avec des incrustations d'or, orné de 54 rubis, de 2 diamants, de 5 miniatures des enfants impériaux et contenant une représentation du PALAIS ALEXANDRE en or. Fait àSaint-Pétersbourg, le 2 mai 1908, prix : 12 300 roubles".
     
    Cet oeuf n'a jamais été vendu, il est toujours resté en RUSSIE, de 1908 à 1917, présenté dans le SALON MAUVE du PALAIS ALEXANDRE à TSARKOEI SELO, puis confisqué en 1917 par le gouvernement provisoire de KERENSKY et transféré au Musée du Manège Militaire du KREMLIN à MOSCOU.
     
    http://www.mieks.com/img/1908alexpaldetail.jpg
    • L’Œuf au yacht "Standaart". Probablement de 1909. Orfèvre H. Wigstrôm. (Musée du Manège Militaire du KREMLIN, MOSCOU, RUSSIE)
    L'intérieur de cet oeuf en cristal de roche contient une réplique, reproduite à l'identique, du YACHT ROYAL "STANDAART" où la famille impériale vécue des jours heureux.
    L'élégant yacht "Standaart" en 1896.
      
    Le TSAR NICOLAS II à bord du yacht "Standaart" en 1912.
     
    http://artseverydayliving.com/blog/wp-content/uploads/2011/09/Faberge-Standard-Yacht-detail.jpg
      
    Le YACHT ROYAL "STANDAART" de 5 500 tonnes avait a été commandé par le TSAR ALEXANDRE III à COPENHAGUE.
    Il a été lancé en 1895 et mesurait 116 mètres de long, ce qui en faisait le plus grand YACHT du monde à cette époque !
    Ce YACHT ROYAL était équipé de 30 cabines et d'une étable prévue pour une vache pour que les enfants impériaux puissent boire du lait frais tous les jours !
    La famille impériale effectuait de fréquentes sorties en MER BALTIQUE et le long des côtes finlandaises.
     
    • L’Œuf du quinzième anniversaire de 1911, signé FABERGE.
    • (Collection FONDS SVYAZ VREMYON - Viktor VEKSELBERG, MOSCOU, RUSSIE)
    •  
      
    C'est l'oeuf le plus émouvant de toute la collection des oeufs FABERGE.
    Il fut présenté au TSAR NICOLAS II et à son épouse ALEXANDRA, le dimanche de PAQUES, 23 avril 1911.
    Cet oeuf a été fait pour commémorer le quinzième anniversaire de l'accession au trône du
    TSAR NICOLAS II.
     
     
     
      
    Les sept exquises miniatures de la famille impériale montrent des parents unis, quatre filles magnifiques et un trés beau garçon. Mais ces portraits idylliques cachent la grande souffrance de NICOLAS II, d'ALEXANDRA et de leurs filles, occasionnée par l'hémophilie du TSAREVITCH ALEXEI. Une maladie que la TSARINE voulu faire soigner par RASPOUTINE avec les conséquences dramatiques que l'on connait pour la famille impériale qui périt assassinée en 1918.
    http://www.mieks.com/img/1911151.jpg
    Détail d'une miniature : Le couronnement du TSAR NICOLAS II en 1896
     
    http://www.mieks.com/img/1911dtroo.jpg
     
    Exécuté par FABERGE pour la somme de 16 600 roubles, cet oeuf était trés cher au coeur de la TSARINE ALEXANDRA, car en plus des portraits de la famille impériale, sont peints le PONT ALEXANDRE III à PARIS et surtout la vénération de SAINT SERAPHIM DE SAROV, saint que l'impératrice admirait plus particulièrement.
    Cet oeuf fut présenté dans la SALON D'ERABLE au PALAIS ALEXANDRE jusqu'en 1916.
    • L’Œuf du tsarévitch, de 1912. Orfèvre H. Wigstrôm. (Collection L.T. PRATT, Virginia Muséum of Fine Arts, RICHMOND, VIRGINIE, USA)
    Cet oeuf de style LOUIS XV façonné en LAPIS-LAZULLI et orné d'entrelacs en or, est surmonté d'un diamant montrant les initiales de la TSARINE ALEXANDRA, de la couronne impériale et de l'année 1912.
    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/45/fab45c.jpg
    A l'intérieur, la surprise révèle l'aigle bicéphale (emblème de la RUSSIE) recouvert de diamants et une miniature émaillée du TSAREVITCH ALEXEI NICHOLAEVITCH âgé de 7 ans.
    http://4.bp.blogspot.com/-B-CGY_wSA1Q/Td6OA-LZYzI/AAAAAAAAAEI/tjr12INH8rU/s1600/tsarvich.jpg
    Cet oeuf était trés cher au coeur de la TSARINE ALEXANDRA car il a avait été conçu en hommage à la guérison du TSAREVITCH ALEXEI atteint d'hémophilie et qui avait frôlé la mort au cours de l'année 1912.
     
    • L’Œuf du tricentenaire des ROMANOV de 1913. Orfèvre H. Wigstrôm. (Musée des armoiries du KREMLIN, MOSCOU, RUSSIE)

     

     

     

     Cet oeuf commémore le 300ème anniversaire de la fondation de la dynastie des ROMANOV en 1913.

    http://30.media.tumblr.com/tumblr_lxyg28cdKL1qjufofo1_400.jpg
    L'oeuf repose sur un aigle tricéphale symbolisant la puissance et la gloire de la RUSSIE et de la dynastie des ROMANOV, à son tour, reposant sur une base circulaire imitant le bouclier des TSARS.
    L'oeuf recouvert d'or et d'émail est, entièrement, décoré des 18 portraits miniatures des TSARS de la MAISON DES ROMANOV
      
    L'oeuf recouvert d'or et d'émail est, entièrement, décoré des 18 portraits miniatures des TSARS de la MAISON DES ROMANOV dont vous trouverez le détail ci-dessous :
     
    czar01
    Mikhail Feodorovitch
    1613 - 1645
    czar02
    Alexei Mikhailovitch
    1645 - 1676
    voir l'image en grand
    Feodor Alexeevich
    1676 -1682
    voir l'image en grand
    Ivan V
    1682 - 1696
    voir l'image en grand
    Sofi Alexéevna
    1682 -1689
    voir l'image en grand
    Piotr le grand - Tsar 1682-1721 puis Empereur de RUSSIE 1721 - 1725
    voir l'image en grand
    Kathrin I
    1725 - 1727
    voir l'image en grand
    Piotr II 1727 - 1730
    voir l'image en grand
    Anna Ivanova
    1730 - 1741
    voir l'image en grand
    Ivan VI
    1740 - 1741
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    Elizaveta Petrovna
    1741 - 1761
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    Piotr III
    1761 - 1762
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    Kathrin la grande
    1762 - 1796
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    Pavel I
    1796 - 1801
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    Alexandr I
    1801 - 1825
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    Nikolai I
    1825 - 1855
     
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    Alexandr II
    1855 - 1881
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    Alexandr III
    1881 - 1894
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    Nikolai II
    1894 - 1917
      
      
    La surprise contenue, à l'intérieur de l'oeuf, est un globe terrestre en acier poli bleu imitant la mer et la terre est dessinée à l'aide de pluiseurs couleurs d'or (gris, jaune, rose). Ce globe se compose de deux hémisphères NORD, le 1er, représentant le territoire russe fin 1613, à la date d'accession au trône du premier des ROMANOV, MIKHAIL FEODOROVTICH et le second, le territoire de l'empire russe fin 1913, sous le TSAR NICOLAS II.
      
     
    http://30.media.tumblr.com/tumblr_lxyg28cdKL1qjufofo2_400.jpg
    • L’Œuf en mosaïque de 1914, signé par C.FABERGE. (Collection de SA MAJESTE LA REINE ELISABETH II D'ANGLETERRE)
    •  
    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/49/fab49a.jpg

     

    Les pierres précieuses employées pour décorer cet oeuf imitent l'art de la tapisserie, art que la TSARINE ALEXANDRA aimait pratiquer.
     

    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/49/fab49b.jpg

      

    La surprise est un camée représentant les 5 enfants impériaux.

      

     

    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/49/fab49c.jpg

      

    Le support sur lequel repose l'oeuf est émaillé, y sont inscrits les prénoms des enfants impérieux entourant un vase de fleurs et la date "1914".

      

     

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    • L’Œuf de la Croix-Rouge au triptyque de la Résurrection de 1915. Orfèvre H. Wigstrôm. (Collection Minshall, Cleveland Muséum of Art, CLEVELAND, OHIO, USA)

    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/51/fab51a.jpg

    L'économie de guerre a prévalue lors de la fabrication de ce joyau austère en 1915.

    L'oeuf est orné des portraits des Grandes Duchesses OLGA et TATIANA, qui, tout comme leur mère ALEXANDRA, ont été actives dans la CROIX ROUGE au cours de la 1ère guerre mondiale.

    Les miniatures d'OLGA et TATIANA ont été peintes par Vassily ZUIEV.

    http://artseverydayliving.com/blog/wp-content/uploads/2011/09/faberge-Red-Cross-egg-7_153212552282.jpg

    La surprise, à l'intérieur de l'oeuf, est une icône attribuée à Adrian PRACHOV est représente la herse de l'enfer, représentation orthodoxe de la Résurrection du CHRIST.

    Sainte OLGA, fondatrice du Christianisme en RUSSIE est représentée sur l'aile gauche du tryptique et Sainte TATIANA, martyre figure sur l'aile droite.

    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/51/fab51c.jpg

    Sur les panneaux des portes figurent le monogramme de la couronne de la TSARINE ALEXANDRA et la date "1915".

    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/51/fab51b.jpg

    Cet oeuf n'a pas été offert directement par le TSAR NICOLAS II puisque celui-ci était au front.

    http://andrejkoymasky.com/liv/fab/51/fab51d.jpg

    • L’Œuf militaire en acier de 1916. Orfèvre H. Wigstrôm.
    • (Musée du Manège Militaire du KREMLIN, MOSCOU, RUSSIE)

      

    En 1916, FABERGE dû fermer ses ateliers, tous ses ouvriers joaillers ayant été envoyés sur le front de guerre. Il, lui était, donc, devenu impossible de créer une œuvre de joaillerie. De plus, il était interdit aux bijoutiers de travailler les matériaux précieux, comme l'or ou l'argent. Alors, FABERGE, dû utiliser l'acier et le cuivre.

    D'autre part, il a semblé inopportun à la famille impériale de commander et d'acheter des œuvres d'art coûteuses alors que la RUSSIE était exsangue à cause de la guerre.

     

      

    Aussi, quand le TSAR NICOLAS II qui était loin de chez lui sur le front de guerre, envoya un télégramme à FABERGE pour lui demander de livrer cet oeuf à la TSARINE ALEXANDRA à TSARSKOIE SELO, il envoya son fils Eugène FABERGE qui livra, pour la dernière fois, un oeuf à la famille impériale. La veille de PAQUES, Eugène FABERGE fut reçu par la TSARINE ALEXANDRA et ses cinq enfants et offrit l'un des objets les plus simples jamais réalisé par FABERGE pour la famille impériale.

     

    http://artseverydayliving.com/blog/wp-content/uploads/2011/09/Romanov-Faberg%C3%A9-Steel-Military-Egg-1916.jpg

    La décoration se composait d'une miniature de St George terrassant le dragon encerclée d'une couronne de lauriers, de l'aigle bicéphale sous trois couronnes, emblème de la RUSSIE, du monogramme de la TSARINE ALEXANDRA FEODOROVNA, également encerclé par une couronne de laurier.

    Reposant sur les pointes de quatre obus d'artillerie miniatures, l'œuf d'acier est d'une sobriété exemplaire.

    La surprise était une scène peinte sur ivoire par Vassily ZUIEV montrant le TSAR NICOLAS II tenant conseil avec ses officiers. Le tableau reposait sur un chevalet surmonté de la croix de l'ordre St George et d'une couronne impériale.

    Au verso de ce tableau, était peinte une autre miniature sur ivoire représentant le TSAR NICOLAS II et son fils au front.

    En remerciement de cet oeuf, la TSARINE ALEXANDRA envoya le télégramme suivant au TSAR :

    "Eugène FABERGE vient de me remettre votre oeuf pour lequel, je vous remercie mille fois. Les miniatures sont merveilleuses et tous les portraits sont excellents"

    • L'oeuf constellation du Tsarévitch de 1917, jamais présenté à la famille impériale. (Institut Minéralogique FERSMAN, MOSCOU, RUSSIE)
    http://almodente.com/wp-content/uploads/2012/04/Faberge-exhibition-in-Riga-81.jpg
    En 1999, la publication de dessins dans les ateliers Wigström a alerté les chercheurs, sur le fait que deux œufs FABERGE avaient été conçus pour une livraison à PAQUES 1917.
    L'un des deux représentait la constellation d'étoiles du jour de naissance du TSAREVITCH ALEXEI.
    http://almodente.com/wp-content/uploads/2012/04/Faberge-exhibition-in-Riga-91.jpg
    L'oeuf était constitué d'un globe de verre bleu foncé et d'une base en cristal de roche.
    Cet oeuf fut retrouvé en 2001 au Musée Minéralogique FERSMAN à MOSCOU. Seule l'horloge et le cadran avait disparu ainsi que les étoiles en diamant. L'oeuf qui aurait du être offert à la TSARINE ALEXANDRA ne le fut jamais, le TSAR NICOLAS II ayant abdiqué avant PAQUES 1917.
     
    En 1925, Agathon FABERGE, l'un des fils de l'orfèvre Karl FABERGE, avait été forcé par le régime communiste de travailler sur l'inventaire des trésors impériaux et a envoyé une grande quantité de pierres précieuses, de bijoux, dont le fameux "oeuf constellation du Tsarévitch" au Musée FERSMAN à MOSCOU.
     

      
    En 2005, les ateliers FABERGE ont reconstitué l'horloge, le cadran et inscrusté de nouveaux diamants et désormais, cet oeuf rénové est exposé au Musée FERSMAN.

      

    Dans la nuit des 16-17 Septembre 1917, un train est arrivé à MOSCOU contenant les biens les plus précieux des PALAIS de SAINT PETERSBOURG.

    Tous ces trésors, qui appartenait à la famille impériale, ont été livrés au KREMLIN de MOSCOU.

    Parmi ces trésors, se trouvaient les œufs de PAQUES des ATELIERS FABERGE.

    De tous ces chefs d'oeuvres de joaillerie, il n'en est resté que 11 en RUSSIE, tous les autres ont été vendu dans le monde entier pour le plus grand bonheur des collectionneurs fortunés.


      
      
    SOURCES
     
    FABULEUX BLOG de " CHEZ  FLO"
     
     
     
     
      
      
     
     
      
     
     
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    A drawing by GD Tatiana Nikolaevna.

     

     

     

     

     

     

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    Maria’s drawing.

     

     

     

     

     

     

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    Il était le fils du grand-duc Paul (frère de Tsar Alexandre III, père de Nicolas) et de la princesse Maria de la Grèce (fille de Georgios roi de Grèce, frère de l'impératrice Maria, mère de Nicolas). 

    Sa mère meurt en donnant naissance, peu de temps après son père. Le  Grand Duc Paul a commencé une relation avec une femme mariée, après le scandale, loin de laisser cette idylle, il se maria avec cette femme, et fonda une famille.

    Avant le scandale, Romanov a décidé de quitter pour Dimitri et sa sœur maire de Maria dans la garde de la Serge Mikhaïlovitch de Russie (frère du grand-duc Paul et le Tsar Alexandre III) épousa, sœur de la tsarine Alexandra. Cependant, Sergei meurt dans l'explosion d'une bombe. Après cet événement, Marie était elle mariée à un Prince suédois, elle entra dans un couvent et Dimitri fut chargé de la famille de Nicolas et Alexandra. 

     

     

     

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    Robes de la dernière Impératrice de Russie

     

    Robes de l'Impératrice Alexandra de Russie

     

     

     

     

     

    Elle est aussi connue sous le nom de Alix Victoria Helena Louise Béatrice, princesse de Hesse-Darmstadt et Tsarine Alexandra de Russie

    Elle est la fille de Louis IV von Hessen-Darmstadt, grand-duc de Hesse et Alice Maud Mary Wettin, princesse.

    Elle nait le 6 juin 1872 à Darmstadt, Allemagne

    .

    Elle épouse Tsar Nicholas Alexandrovitch Romanov II de toutes les Russies, fils de Tsar Alexandre Alexandrovitvh Romanov III de Russie et Tsarine Dagmar de Danemark de Russie le 26 novembre 1894 ou septembre 1894 à Palais d'hiver, Saint-Pétersbourg, Russie. Elle était hémophile. Elle décède le 16 juillet 1918 à Iekaterinbourg, Russie

    massacrée par les révolutionnaires, avec toute sa Famille.

    Elle est inhumée le 17 juillet 1998 à cathédrale Sainte-Catherine, Saint-Pétersbourg

    D'autres robes de l'Impératrice Alexandra de Russie

     

     

     

    D'autres robes de l'Impératrice Alexandra de Russie

     

     

     

    Pratiquement toutes les robes de la tsarine Maria Feodorovna ont été conservées. Beaucoup de ces robes se trouvent au musée de l'Ermitage en voilà quelque une :

     

     


     


     


     


     


     


    Régiment de la Garde Cuirassier

     


     




    Source : Site de l'Hermiatge

     

     

     

    D'autres robes de l'Impératrice Alexandra de RussieD'autres robes de l'Impératrice Alexandra de Russie

     

     

    Robes de la dernière Impératrice de RussieRobes de la dernière Impératrice de RussieRobes de la dernière Impératrice de RussieRobes de la dernière Impératrice de RussieRobes de la dernière Impératrice de RussieRobes de la dernière Impératrice de RussieRobes de la dernière Impératrice de Russie

     

     

     

    Robes de la dernière Impératrice de Russie Alexandra  , épouse de Nicolas 2Robes de la dernière Impératrice de Russie Alexandra  , épouse de Nicolas 2Robes de la dernière Impératrice de Russie Alexandra  , épouse de Nicolas 2Robes de la dernière Impératrice de Russie Alexandra  , épouse de Nicolas 2Robes de la dernière Impératrice de Russie Alexandra  , épouse de Nicolas 2

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Robes de la dernière Impératrice de RussieRobes de la dernière Impératrice de RussieRobes de la dernière Impératrice de RussieRobes de la dernière Impératrice de RussieRobes de la dernière Impératrice de RussieRobes de la dernière Impératrice de Russie

     

     

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    Robe d'Alexandra Féodorvna épouse de Nicolas 2Robe d'Alexandra Féodorvna épouse de Nicolas 2Robe d'Alexandra Féodorvna épouse de Nicolas 2Robe d'Alexandra Féodorvna épouse de Nicolas 2Robe d'Alexandra Féodorvna épouse de Nicolas 2Robe d'Alexandra Féodorvna épouse de Nicolas 2

     

     

    Robes d'Alexandra Féodorvna épouse de Nicolas 2Robes d'Alexandra Féodorvna épouse de Nicolas 2Robes d'Alexandra Féodorvna épouse de Nicolas 2Robes d'Alexandra Féodorvna épouse de Nicolas 2Robes d'Alexandra Féodorvna épouse de Nicolas 2

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    1900

    1900

    1900

    Robe de visite 1895-1899

    Robe de Bal

     

     

     

     

     

     

     


    1900

     

     

     

     




     






     

     

     



     

     

     

     

     

     

     


     


     


     

     

     

     

     

     

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